installation


Nous sommes toutes réunies dans le hall dans le quartier des femmes. Le nouveau chef va s’adresser à nous. Cet homme me donne la nausée, il va nous mener la vie dur et il faut que l’on agisse intelligemment si l’on veut pouvoir le contrer.

Toutes les filles sont dans un état de stress impressionnant. Nous savons que tous les hommes ont été regroupé et que nous n’avons personne pour nous porter secours. Enfin, on voit le nouveau chef arriver. Il va s’adresser à nous depuis le quartier supérieur. Il se rapproche de la balustrade et place ses deux mains dessus il se met à nous détailler. J’ai la sensation qu’ils nous déshabillent du regard. Et à en juger par le frisson qui parcourt la foule, je ne suis pas la seule à avoir ce sentiment.

-Bonjour à toutes ! On s'est vu brièvement tout à l’heure. Je suis le nouveau commandant de bort. Je m’appelle Miller ! Je viens du futur. Et celui-ci n’existe plus ! Le monde entier est en train de mourir. Nous sommes les seuls survivants et s’il y en a d’autre, ils ne leur restent plus longtemps à vivre. J’ai visité le vaisseau tout à l’heure avec votre ancien commandant. J'ai constaté qu’il manque certaines choses sur le vaisseau. J’ai envoyé deux hommes récupérer du matériel dans le futur avant de remettre la machine spacio-temporelle hors service ! Nous allons nous établir ici, vous m’avez l’air bien installer malgré tout. Par contre, pour notre besoin personnel, nous allons modifier vos coutumes de vie ! Vous ne bougerez plus du quartier des femmes sans autorisation. Nous autres, nous nous installons dans le quartier supérieur. Ce vaisseau étant surpeuplé, nous nous sommes séparé d’une partie de vos esclaves !

Un murmure parcourt la foule ! Certaines femmes se regardent horrifiées ! Miller s’arrête de parler en prenant le temps de savourer l’effet de panique qu’il vient de créer. Quelques femmes d’un certain âge se soutiennent sous le coup de l’émotion.

- Ne vous inquiétez pas mesdames ! Nous nous sommes seulement débarrassés des plus vieilles qui ne nous auraient apportées que du soucis ! Il ne reste plus grand monde en bas, il faudra donc mettre la main à la pâte ! Vos chambres ont été modifié, vous serez deux par chambre sauf certaines qui auront des privilèges... Nous reviendrons sur ce sujet là plus tard. reprent-il.

- Ou sont les hommes s’il vous plaît ? demande Madeleine d’une voix forte et clair.

- Qui a parlé ?

- Moi ! dit Madeleine en s’avançant. Je suis la femme du commandant Ziman ! Et nous nous inquiétons de leur sort !

- Madame, sous mon commandement, il n’y a plus de mariage. Et vous n’êtes plus femme du commandant ! Mes hommes viennent de réaménager les chambres, vous dormirez par deux ! Sauf certaines à qui j’accorde un privilège !

Un homme me pousse dans le dos ainsi que Magali. Miller reprend.

-  Vous deux, je vous permets une chambre seule !

- Merci commandant ! se précipite de répondre cette Vipère, tout en minodant.

- Je n’y tiens pas ! Je souhaite être traitée comme tout le monde ! dis-je sur un ton ferme mais calme.

- Je n’aime pas beaucoup qu’on me défie ! Mais puisque tu le veux ainsi, on te trouvera une partenaire !

- Merci Monsieur. dis-je en faisant exprès de ne pas l’appeler commandant.

- Bon, installez-vous et mes hommes viendrons vous chercher pour certaines tâches que les esclaves ne peuvent plus faire seule.

Les hommes nous indiquent nos nouvelles chambres. Il y a un lit et un matelas posé à même le sol. Nous n’avons plus la place de bouger dans la pièce. On me met dans la chambre avec Liselote, une femme qui doit avoir environs soixante ans. C’est la femme de l’un des anciens. Elle est complètement paniquée et a du mal à marcher. Je la soutiens en l’accompagnant vers le lit. Elle se laissa complètement tomber sur dessus.
L’homme qui nous a accompagné nous jette un sac au sol et nous dit :

- Changez-vous !

- Mais on est bien comme çà ! dis-je.

- Je ne te demande pas comment tu es bien, je te dis de te changer un point c,est tout ! Le commandant n’aime pas le noir ! Et on a pas vu de femme depuis une éternité! Alors c’est çà ou une punition !

Je me penche pour ouvrir le sac. Un flot de couleur se repend sur le sol, je relève l’un des bout de tissus, avec ça on a à peine de quoi se couvrir le corps ! Liselote a un hoquet d’effroi en voyant le vêtement que je tiens à bout de bras !

- Vous vous moquez de moi ? Il est hors de question que je porte ça ! Je préfère la punition.

- Très bien, viens avec moi ! Et toi, tu préfères quoi ? dit-il en regardant ma compagne de chambre.

Liselote sursaute avant de se mettre à genoux pour chercher une tenue. Je ne lui en veux pas car à son âge, elle ne peut pas se permettre d’être punis. L’homme me pousse sur la place du quartier des femmes puis, il me conduisit à l’étage supérieur.

- Chef, après avoir refusé la chambre seule, la demoiselle refuse sa nouvelle tenue. Elle préfère la punition! explique l’homme en arrivant dans l’appartement que Miller s'est choisi.

- Et bien, voilà une forte tête ! Je vais la remettre dans le rang. dit-il sans se retourner. Laisse nous mais attend devant la porte.

L'homme me laisse là, seule avec Miller. Quand la porte claque dans mon dos, je sens un frisson me parcourir. Miller se détourna lentement et me fait face.

- Nous voilà seul tous les deux ! J’espérais bien que cela arriverais mais pas aussi vite! Alors nos tenues ne te plaisent pas ?

- Non ! Je préfère la punition !

Il rit, avant de reprendre :

- Mais tu n’as pas le choix ! En plus, avec un cul comme le tient, on ne va pas se priver ! Alors tu mettras cette tenue avant ta punition !

- Il en est hors de question ! J’ai mon honneur !

- Et bien, tu sais où tu peux te le mettre ton honneur ? Il s’avance vers moi menaçant.

Je recule mais très vite, mon dos est plaqué au mur. Lui ne s’arrête pas et son visage se retrouve à quelques centimètres de moi.

- Dans ton petit cul ! dit-il en m’empoignant une fesse et en me rapprochant au plus près de lui.

- Lâchez moi ! dis-je en tentant d’être ferme.

Mais au font de moi, je n’en mène pas large. Il faut absolument que je reste forte et qu’il ne voit pas qu’il m’intimide ! Mais il n’a pas envie de m’écouter et il rapproche sa bouche de ma joue. Je sens son souffle chaud et fétide tout contre ma peau. Il me donne la nausée mais il faut que je tienne bon. Je sens son sexe se durcir tout contre moi. Et il commence déjà à me donner de léger coup de rein ! Je tente de le repousser avec les mains mais il appuie encore plus son corps contre moi. Je sens l’angoisse m’envahir complètement. Mais je manque de défaillir quand je le sens me lécher la joue.

- Putain, t’es trop bonne ! On va pouvoir s’amuser un moment.

Il me bloque les mains pour m’empêcher de le repousser et de l’autre main, il m’arrache mon tee-shirt. Je tente de me débattre mais il est trop lourd pour moi. De sa main libre, il commence à me malaxer violemment les seins. Je tente de retenir un cris de douleur. Il descend le long de ma poitrine et commence aussi à me lécher là aussi ! Il est tout bonnement répugnant. Il faut que j’arrive a me libérer. Je finis par dégager l’une de mes jambes et lui envoie un grand coup de genou dans le sexe ! Il hurle. Et des nerfs, il me donne une gifle magistrale si forte que ma tête va cogner contre le mur. La porte de l’appartement s’ouvre et l’homme qui m’a emmener juste avant rentre dans la pièce.

- Chef, ça va ?

- Cette connasse vient de me donner un coup dans les parties ! hoquète-t-il.

L’homme m’attrape par les bras alors que je me frotte la joue qui déjà commence à enfler.

- Tiens moi cette salope! hurle Miller en s’approchant de moi. C’est la dernière fois que ce genre de chose se passera ! Je vais te faire passer l’envie de recommencer ! Tu veux pas te changer ! Et bien on va t’aider !

Il se penche et m’arrache le pantalon. Je me trouve à présent en culotte et soutient gorge devant ces deux hommes. L’homme qui me maintient se met à rire. Miller se recule pour mieux me regarder.

- Putain, dommage que tu sois rebelle car t’es carrément bandante !

Il s'approche à nouveau de moi. Je tente de me dégager mais l’homme derrière moi resserre son emprise sur mes bras. Miller fait courir ses doigts sur mon corps, je ne peux réprimer un frisson.

- Ah ah ! Mais tu n’es pas insensible ! Regarde ça ! On dirait même qu’elle pointe ! dit Miller en repoussant mon soutien gorge pour laisser voir l’un de mes seins.

L’autre se penche pour mieux voir tout en en profitant pour se frotter à moi. Je suis vraiment en danger. Seule au milieu de ces deux hommes sans personne pour me secourir. Miller reprends la course lente de ses doigts sur mon corps, il me révulse mais je ne peux rien faire. Il arrive au commencement de ma culotte il fait claquer l’élastique à plusieurs reprise. Puis il glissa le doigts à l’intérieur.

- Non, hurlai- je.

Je suis à présent complètement paniquée !

Il commença à tirer les poils de mon pubis puis il insère violemment un doigts à l’intérieur de moi ! La violence de son geste m’arrache un autre cri. La tête commence à me tourner, je vais m’évanouir, je sens mes jambes flageoler. Il retire son doigts et recommence avec autant de violence tout en rajoutant un doigts.

- Ça te plaît salope ! ricane le chef.

Je suis vraiment sur le point de défaillir, j’ai envie de mourir! Qu’ils en finissent au plus vite !

- Heu chef !

- Quoi ? hurle Miller en se retirant tout aussi violemment de moi et en se retournant.
Un homme vient de rentrer dans l’appartement. Je suis complètement épuisée et mes jambes me lâchent. L’homme qui me retient me lâche et je m’écroule au sol.

- Vous m’aviez demandé de venir chef pour que vous me disiez quelle femme devra emmener le repas aux autres hommes. J'ai déjà envoyer deux des vieilles à la cuisines ! Mais je ne veux pas envoyer n’importe qui en bas ! Voyant que Miller ne répond pas, il bredouille :

- Mais si vous voulez, je repasse plus tard ?

- Non, tu as déjà tout cassé ! aboie Miller.

Un soulagement m’envahi. Mon calvaires va enfin prendre fin. Tout du moins pour le moment !

- Je sais ce qu’on va faire ! On va l’envoyer elle pour leur montrer qu’on prend bien soin de leurs gonzesses. Et par la même occasion, on va redescendre a l’étage des femmes pour montrer ce que l’on fait des fortes têtes !

Il revient vers moi et me soulève d’une main en me tirant pat l’épaule.

- Aller viens ! Tu trouvais nos tenues trop dénudée mais je pense que tu préférera toujours çà au fait de te balader à poils !

Je suis en sous vêtement, seule au milieux de tous ces hommes. Il faut que je reste forte et pour cela je pense à Lucas. Si j’ai bien compris, je vais me rendre sous surveillance pour apporter des vivres aux hommes. Cela me donne du courage et je relève la tête pour montrer qu’ils ne m’intimident pas ! Quand nous pénétrons dans le quartier des femmes, celles qui se trouvent sur la place sont choquées de me voir arriver dans cette état là. Puis Miller tape dans ses mains en hurlant :

- Tout le monde se rassemble sur la place !

Les femmes se regroupent. Toutes me regardent choquées. Mon visage doit être bien marqué et ma tenue étant ce qu’elle est, je ne peux que les comprendre d’être horrifiées.

- Cette femme à voulu montrer qu’elle avait un fort caractère ! Voilà ce qui arrive quand on veut faire la belle !

Il me pousse au milieu de la pièce. Avant de reprendre.

- Toi ! il montre du doigts Magali. Vas me chercher des vêtements pour elle.

Celle-ci part directement sans se faire prier. Elle a un bout de tissus qui couvre juste le plus important à savoir ses fesses et ses seins. Elle revient rapidement en prenant le temps de bien se déhancher devant tout le monde ravie d’avoir son moment de gloire.

- Tenez Commandant ! Minode-t-elle.

Il lui prend les vêtements des mains et lui claque les fesses en grognant lorsqu’elle retourne à sa place en gloussant de joie ce qui ravi Miller.

- Aller enfile ça rapidement.

Il me jette les vêtements au visage. Je les prends et les passe en vitesse. Magali m’a choisi un pantalon très large sur les hanches et resserré aux chevilles et le haut n’est guerre mieux que mon soutien gorge mais au moins, ça à le mérite de me couvrir un peu plus qu'elle. Une fois prête, je me redresse en silence. Je ne comprends pas pourquoi Magali m’a autant couverte vis-à-vis des tenues que je vois devant moi mais je l’en remercie mentalement. Miller me prend par la main et me fait tourner sur moi même.

- Une sourie des sables ! s'exclame-t-il. Ça me donne envie de recommencer ce que j’étais en train de faire juste avant ! glousse-t-il en se léchant les doigts qu'il a eu le culot de rentrer en moi.

Un frisson me parcourt et je me raidis. Je ne pu m’empêcher de dire doucement mais sèchement :

- Certainement pas !

- Comment ? Tu oses encore ouvrir ta bouche ?

Je relève encore plus la tête et le défié du regard.

- Je n'ai pas le temps tout de suite ! dit-il en m’attrapant le visage et en serrant fort sur mon menton. Mais je te la ferai fermer ou je trouverai de quoi te la remplir si tu continue à l’ouvrir !

Tous les hommes autour de nous se mettent à rire. Il serre encore une fois mon visage avant de me lâcher.

- Alors regardez bien mesdames ce qu’on fait des filles dans le futur !

Il m’attrape par les cheveux et me les tire avec force. Sous la violence du coup, j’échappe un cris. L’assistance retient son souffle devant cette violence. Il me rapproche de son visage et me dit :

- Un jour, que tu le veuilles ou non, je te baiserai en attendant va bosser !

Il me lâche les cheveux, une poignée tombe au sol. Puis il m’attrape violemment par le bras et me projette vers la sortie de la salle. Un silence de plomb tombe dans la salle. Je réussi à me rattraper pour ne pas tomber puis, je sors de la pièce accompagnée d’un homme en évitent de me frotter le bras.

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