3- End of a chapter

En me réveillant, mon portable avait plusieurs dizaines de message, la majorité venant de Paul et Liam.  Ils voulaient savoir où j'étais, ce que je faisais alors qu'on avait un interview a midi. Justement, il était passé de peu midi. Je pris la télécommande pour mettre le poste la télévision. Je voulais voir comment ils allaient se débrouiller.

- Harry n'est pas avec vous?

Suite aux paroles de la présentatrice, ils se regardèrent tout les quatres sans trop savoir quoi lui dire.

- Il ne se sentait pas bien... Il a préféré rester a la villa...

Le mensonge si peu assurer de Liam me fit éclater de rire. Je m'habillais plutôt rapidement avant de sortir. Dehors, il y avait trois garçons qui tabassaient l'homme que j'avais vu la veille avec la blonde. J'imagine qu'elle avait peut-être été agressé ou menacé, mais au finale je m'en fout un peu. Je pris la décision de m'inscrire a l'université et étonnement le directeur accepta mon arrivé avec une petite liasse de billet. Je commençais la journée même. C'est donc en souriant que je me rendis en cours de français. Je voulais reprendre mes études où je les avais arrêter. J'allais m'asseoir totalement a l'arrière, mais mon attention fut attiré par une chevelure blonde. C'était la fille d'hier, mais à la place de son air sévère et intouchables, c'était une mine adorable et angélique qu'elle abordait quoique troublé par quelques choses. Je pris place derrière elle. Cette fille m'intriguait énormément. Je ne sais pas pourquoi. Elle semblait si forte, mais à la fois tellement brisé. Je passa la période à la détaillée. C'était une belle blonde dans la moyenne niveau grandeur et poids. Sa peau était plutôt pâle, mais elle me semblait terriblement douce et délicate. Elle avait des manière de princesse, mais c'est réflexe était trop aiguisé. Elle guettait tout les bruits comme si elle craignait quelques choses dans la pièce... Où bien quelqu'un. De tout le cours, elle ne tourna qu'une fois la tête vers moi. Je lui fit un petit sourire, mais elle se retourna rapidement. Ces yeux étaient d'un magnifique bleu perçant, un peu comme ceux de Louis et ses lèvres étaient délicate, mais terriblement tentante. Je n'arrivais pas a suivre le cours. Je voulais son numéro et j'allais devoir tout faire pour y arrivé. Quand le prof nous permis enfin de partir, elle se dépêcha de ranger ses cahiers, mais l'un d'eux lui échappa et glissa. Je m'étais rapprocher d'elle alors je me pencha pour le prendre jetant un coup d'oeil sur ce qui était écrit.

"La liste de voeux de Emma"

La blonde me prit presque violemment le cahier des mains.

- On ne t'a jamais appris a laissé les affaires des autres en paix?

- Je ne voulais que t'aider.

- Je n'ai besoin de l'aide de personne. Surtout pas d'un mec comme toi.

Elle me tourna le dos et s'éloigna rapidement. Je venais de me prendre un incroyable râteau et pour dire vrai, cela me manquait. J'avais l'impression que ma popularité me donnais des droits sur les filles et leurs corps que je ne voulais pas. Savoir que finalement, une fille pouvait me résister, qu'elle ne me tombait pas dans les bras dès que je lui disait bonjour me faisait du bien. J'aimais cet anonymat que j'avais. J'avoue que mon style était a retravaillé et je vais y remédier dès maintenant. Je n'avais qu'un cours aujourd'hui et il venait de se terminer. Je voulais me trouver un petit appartement dans mon nouveau quartier miteux et me faire une nouvelle garde robe de bad boy. Tout ça en restant sous ma couverture. Je suis Edward Austin et je devais tout faire pour ne pas trahir mon nouveau nom.

En retournant vers le motel, j'aperçus une affiche de loyer près à louer. Je me décida donc a aller frapper à la porte de la maison. Une vieille dame a l'aire sévère me regarda de la tête aux pieds.

- Qu'est ce que tu veux, chenapan?

Niveau amicalité, on en reparlera plus tard.

- Vous avez un loyer de disponible.

- C'est 400$ par mois. Je veux pas de cabot, ni de drogue, c'est claire gamin?

- Oui madame.

Elle me sourit et me tira par la main pour aller me montrer le loyer en question. Il était au premier étage. Il comportait une chambre, un salon, une cuisine et une salle de bain et malgré l'extérieur peu flatteur, l'appartement était spacieux et plutôt jolie.

- Je le prend.

- Ton nom et les trois premiers mois en paiement.

- Je m'appelle Edward Austin. L'argent viendra se soir d'accord?

Elle me regarda avec suspicion, levant son vieux doigts vers moi.

- N'essaie même pas de m'escroquer petit vicieux.

La vieille femme repartit sans rien ajouter, elle me semblait avoir beaucoup de caractère, mais elle me semblait fort sympathique malgré tout. J'aimais me faire traiter autrement qu'en roi. Ne plus être ce garçon parfait qui possède tout ce dont il rêve. Non, je préférais vivre simplement, au gré de la vie et se même si je devais faire mes preuves pour que l'on me fasse confiance. C'est en souriant que je quitta mon loyer avec mes clés. Je me rendis a l'hôtel le plus rapidement possible pour vidé ma chambre, mais avant de l'atteindre un garçon me bloqua.

- Tu as de la coke pour moi?

Est-ce que j'avais vraiment l'air d'un dealer? J'étais habiller comme un intello de première.

- Non.

- Allez! J'ai besoin d'une dose!

Il frappa le mur de ma chambre. Ce gars était décidément en manque et moi, légèrement dans la merde. Je le vis sortir un couteau et cette fois je sentis une légère peur s'emparer de moi. Allais-je terminer ainsi? Mort dans un hôtel miteux par un drogué qui désirait ardemment une dose de coke que je ne possédais pas? Peut être que ce n'était pas une si bonne idée que cela finalement. Être rester a la villa m'aurait épargné de terminer poignarder par ce gars, mais c'est quelques heure de liberté furent les meilleures de ma vie depuis un bon moment, alors non. Je ne regrette pas d'être partit, simplement parce que pour la première fois je vis. Je ne suis contrôler par personne, juste par mes plus profond désir et ça, ça faut tout l'or du monde. Le monde d'où je viens est un monde d'illusion et d'hypocrisie. Ce monde ci est cruel et sans-merci, mais nous pouvons lutter contre les dangers que l'on peut voir. On ne lutte pas contre les rumeurs médiatiques et tout ce qui peux anéantir nos réputation en une fraction de secondes. Parce que nos vies sont consacrer a ses gens cruels qui n'ose s'affirmer et qu'ils nous poignardent dans le dos a notre première erreur.

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