Jour 8 : Le noir au fond du tunnel


Dans les plaines gelées du Canada, une compagnie minière creuse sans relâche dans le but d'exploiter un grand filon d'or qui allait profondément à des kilomètres de terre. C'était aussi une opportunité pour les chercheurs qui voudrait connaître les secrets sous la couche terrestre. C'est une série d'ascenseur qui les mène alors d'un palier à l'autre, quatre ascenseurs en tout qui descendent à eux quatre à quatorze kilomètres sous terre. Mais ce n'est pas pour goutter à la recherche de découverte que le professeur Andrew et son équipe sont venu sur place. Spécialiste géologue et de chimie, il a été appelé par le gouvernement canadien pour enquêter sur la disparition de toute une équipe de scientifique et de minier, ainsi qu'une grande partie des robot excavateurs. Il est reçu par des militaires, armes au point, et qui dévisage de manière soupçonneux le visage du scientifique. En descendant de sa Jeep, il est plus chaleureusement accueilli par le chef d'exploitation du site.
« Bonjour professeur Andrew, Apusanha, Works et Saoult. Désolé pour tout ce protocole militaire, c'est depuis ces... événements, le gouvernement veut tout contrôler, vous en aurait tout le long de votre visite. Tenez, vos badges, surtout ne les perdez pas !
- Je vous remercie de cette accueil, répond le professeur en épinglant son badge de visiteur, mais je dois avoir quelques explications avant d'entreprendre quoi que ce soit, je n'ai pas eu de précision lors de notre visioconférence.
- Ne restons pas là, venez ! »

Il insiste pour que les invités le suivent vers un petit cabanon, qui se trouve être son bureau. Il est désordonné, des feuilles se mêlent à des plans, des dessins et des journaux. Une tasse à café se cachent sous toute cette paperasse, et un cadre avec une photo de famille est à peine visible. Derrière le bureau, cinq armoires sont alignés contre le mur et contiennent tant bien que mal des cinquantaines de classeurs plein à craquer eux aussi.
« Désolé, cette affaire est confidentielle et à vrai dire je n'ai pas envie que mes gars comprennent que leurs collègues ont disparus avec tous leurs matériels.
- C'est la Throathole company qui exploite ce gisement d'or, demande Andrew, assis les mains sur la seuls chaise de libre.
- C'est exacte, c'est une compagnie qui a vu le jour avec la découverte de ce gisement. C'est pour cela que si ce que je vais vous raconter se répand, la mine fermera dans la semaine.
- Vous nous donnez pas beaucoup envie de vous aider, Andrew avoue. Et puis ce n'est pas à moi, géologue, et mes collègues, qui peuvent vous aider dans une disparition.
- Ce n'est pas vraiment une disparition, c'est en cela que cette histoire est impossible.
- Comment cela ?
- Il y a une semaine, un groupe de cinq scientifiques, deux opérateurs de machines automatisés et un technicien de maintenance, ne sont pas remonté. Pourtant, leurs balises émettaient encore du fond de la mine. Deux miniers et deux agents de sécurité sont alors descendu les 14 kilomètres sous terre. Arrivé en bas, ils ont constaté que le matériel non plus avait disparu, ils étaient dans une grotte creusée vide. Ils ont continué jusqu'a tomber sur un... obstacle noir, je ne sais pas comment je pourrais expliquer cela autrement. La lumière n'arrivait pas à l'éclairé, les objets envoyés par delà était absorbé sans bruit, et vous n'allez pas croire ce que je vais vous montrer. »

Il insère une clé USB sur un ordinateur portable caché comme la tasse à café, et montre les images d'une vidéo. C'était la vidéo embarqué de l'équipe de secours. Ils montrait le bout du tunnel, noir comme le vide, qui absorbait la lumière qu'elle recevait. Le minier allume sa camera thermique et montre que des formes humaines s'y trouvaient, ainsi que les robots encore chaud d'avoir fonctionné quelques heures plus tôt. Le chef reprend :
« L'équipe de secours n'a pas voulu allé plus loin, ils ont préféré remonter, mais clairement ils ont eu peur d'avancer. J'aimerai que vous étudiez cette... chose, et rassurer tout le monde que ce n'est, je sais pas, une illusion d'optique, une matière inconnues, la forme des roches. Parce que'à l'heure actuelle, les disparus sont toujours là, et toujours vivants !
- Mais c'est impossible ! Cela fait plus d'une semaine que vos gars on disparu, comment se pourrait-il... »

Le chef lui montre une video thermique, montrant les corps flottant dans le noir au bout du tunnel.
« L'équipe de secours a eu l'intelligence de poser la caméra thermique et de la bancher au réseau, ce sont des images en direct.
- Comment est-ce possible ?
- C'est à vous de le découvrir, et vite ! Le gouvernement canadien nous met la pression pour que je trouve une solution. »

Andrew sent qu'il n'a pas le choix. Il sort de sa jeep tout un tas d'instruments de mesures et d'analyse, et s'installe dans l'ascenseur, tandis que les trois autres prennent places dans une tente prévue à cette effet avec des tables pliables et des thermos de café.
Une demi-heure de descente, Andrew touche enfin le sol du fond, lampe torche à la main gauche, valise à la main droite, talkie walkie à la ceinture et soldat en bras droit. La chaleur y est insupportable, ce qui n'est pas perceptible sur la caméra thermique. Il poursuit son chemin, dans un boyau de roche à peine éclairé par quelques ampoules. La plupart avait explosé, laissant encore des bris de verre sur les côtés. Il allume la lampe torche, qui vacille déjà. Quelque chose perturbe l'électricité ici. Il arrive soudain à la caméra et surtout à l'énorme noir. Il ne s'était pas aperçu que le noir était aussi proche de la caméra. Il reste à distance quand il ouvre sa palette. Il s'y trouve de quoi prélever, dès écouvillons, des éprouvettes, une petite perceuse et des sachets pour préserver les échantillons. Il commence par prendre un écouvillon et il s'approche doucement de la matière noir. Il y rentre sans aucune sensation de présence, comme si le noir était fait de gaz. Il le retire, mais rien ne laisse transparaître sur le coton de l'écouvillon. Il prélève aussi des roches alentours, un peu plus loin, et commence à mettre tout en sachet. Il se trouve près de l'ascenseur qaund le talkie emet un son.
« Allo, ici la base, la caméra n'émet plus., vous pouvez aller voir ce qu'il se passe s'il vous plait ?
- D'accord, je vais allé voir, répond Andrew dans le talkie. »

Il prend ces sachets qu'ils avait posé à terre pour allé vers la caméra et la valise. Mais soudainement, il se laisse surprendre par le noir. Il ne voit plus la camera devant lui, ni la valise qu'il avait posé à ses pieds. Il comprend alors que la matière noir avait avancé, pire, que la matière noir accélère. Il ne comprend pas ce que c'est que cette chose, qui n'avait rien de semblable. Il ose alors mettre sa main gauche doucement dans le noir. Il ne sent rien, aucune différence, à part qu'il a l'air de faire moins chaud au delà du noir. Il retire sa main, et crie de terreur avant de crier de douleur : sa main avait disparu, tranchée net par le noir. Il voit avec effroi la coupe, comme si un objet d'un tranchant parfait lui avait coupé la main d'un coup. Pris d'effroi, ils court, laissant sa lampe tombé de l'autre côté de la matière noire. Le soldat voit alors le scientifique venir en courant comme si la mort était à ses trousses.
« Il faut partir immédiatement ou nous allons tous crever ! »

Le soldat ne réfléchit pas deux fois et monte avec le scientifique. C'est là qu'il voit le membre manquant du scientifique, et le sang qui en finit pas de s'écouler sur les grilles de l'asceceur.
« Andrew à base, Andrew à la base, c'est une catastrophe, il faut dynamiter la mine immédiatement !
- Calmer vous professeur, lui répond le chef d'exploitation. Qu'est ce qui ce passe !
- Cette chose... elle n'est pas naturelle... et elle bouge... si on ne fait rien elle va sortir et tout avaler sur son passage... elle a avaler ma main...
- D'accordage, nous préparons une équipe de secours en haut, tenez bon professeur. »

La demi-heure de remontée fait tomber connaissance au scientifique. Le professeur Andrew est de suite transporter à l'hôpital le plus proche, qui ne peut que constater la main manquante.
Un mois plus tard, Andew revient à son laboratoire, un moignon bandé à son bras gauche. Même si la mine à été scellé à l'explosif, condamnant ainsi les personnes encore prisonnière de cette chose, il veut voir de qui était fait cette chose.
Et le résultat est que le noir était composé de rien. L'écouvillon avait survécu a cette chose noire au fond de la grotte, mais sa main était perdue dedans. Les roches non plus n'avait rien donné. Ce qu'il sait en revanche, c'est que plus jamais une personne ne descendra dans cette mine, et que personne e devra savoir ce qui s'est passé dans cette grotte.

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