Jour 1 :
Par où commencer... je suis Richard Pride, j'habite dans le Wyoming et je suis responsable des ventes secteur Asie orientale Vector Dynamic, une société qui vend des vérins à l'internationale. Je suis actuellement sur une île après que mon avion privée se soit écrasé en mer. Je dois être le seul survivant, j'ai eu de la chance de m'extirper de l'appareil à temps, et de trouver quelques chose qui flotte pour m'accrocher. Le courant a fait le reste en m'entraînant inconscient sur cette plage. J'ai fait un peu les alentour de les plage. Il y a de l'eau douce, des fruits, des noix de coco et des sangliers. Si je dois rester plus longtemps que prévu ici, je pense que je pourrais survivre un bon moment. Mais je suis confiant, le pilote avait lancé un SOS bien reçu de l'autre côté des ondes et je ne dois pas être loin du crash. J'ai donc pris mon courage a deux mains durant la journée à rassembler le plus de bois possible pour écrire mon SOS sur la plage. Le soir venu, je cherche du bois pour éclairer un feu et des fruits pour me nourrir. En y repensant, je ne dois pas être loin de la péninsule japonaise, car le but de mon voyage était d'aller au Japon pour une conference sur les dernières technologies autour des vérins. Je suis confiant, dans quelques jours je pourrais rentrer chez moi et raconter tout mon aventure. J'écris ces mots sur mon carnet de cuir noir et estampillé de mes lettres en or, un cadeau de ma femme Clara. C'est des moments comme cela que je m'aperçois que je vadrouille depuis des mois sans rentrer chez moi et que je ne l'ai pas vu physiquement, juste par vidéoconférence. Je prendrai quelques jours de congé après cela, prendre du bon temps et voyager, visiter Paris.

Jour 2 :
Encore une journée bien remplie, mais surtout une journée sans présence de secours. J'ai confiance, ils viendront, il n'y a pas de raison qu'il loupe cette île. D'autant plus qu'il y a des ancienne installations militaire. Je suppose qu'elle appartenait à l'armée chinoise. Ce sont juste des campements militaire laissé à l'abandon faite en tôle avec de fines  fenêtres et des portes en bois des plus basique. J'y trouve de la nourriture, de la vielles monnaies, quelques fournitures interessante et surtout des squelettes. Cela me fait froid dans le dos et je me demande pourquoi il y a eu des morts ici. J'ai aussi trouvé un journal de bord mais je n'ai pas le temps de le regarder maintenant, il fait trop noir pour cela. J'en ai profité aussi pour explorer l'île. Rien de particulier à raconter, une île classique avec de la plage et des rocher à sa circonférence, et de la forêt qui entoure une petite montage. Je n'ai qu'une hâte maintenant, rentrer à la maison, voir les secours arriver et prendre des vrais vacances.

Jour 3 :
J'ai vu un cargo ce matin au loin. Mais il était tellement loin qu'il ne pouvait pas me voir. Je n'ai vu personne venir me chercher, à croire qu'ils n'arrivent pas à trouver une île proche des dernières coordonnées du crash de l'avion. J'ai faillit me perdre aussi dans la forêt, en essayant de chercher de l'eau. J'ai tourné en rond pendant une heure avant de m'apercevoir que j'étais en faite proche de là où je dors. Je me suis fais une petite tente en bois entre deux arbres grâce à des branches et des longues feuilles qui m'ont servit de cordes. Demain, j'essaierai de faire un lit pour être plus confortable, en attendant, j'essaye de me limiter dans mes mouvements. J'en ai profité pour lire des idéogrammes. Je parle le chinois courant, j'arrive à peu près à déchiffrer le journal de bord qui s'avère être celui du commandant de la garnison. C'était une base militaire de la seconde guerre mondiale construite pour faire de l'île une base stratégique contre le Japon. Mais en quelques jours, ces hommes sont commencés à devenir fou, à voir des visions de vielles femmes à la gorge béante errer dans le camps, perdre la mémoire et à s'entretué. Les derniers mots du carnet sont confus, mal orthographié, mais je perçois que c'est la lettre de suicide du commandant. Il écrit en ces mots qu'il ne sait pas ce qu'il fait ici, qu'il est perdu, et que la seule chose à faire maintenant est de mourir. J'ai retrouvé son pistolet. Encore un peu rouillé, mais qui doit fonctionner encore. Si c'était une fusée de détresse cela m'arrangerai, parce que ce matin, j'ai vu un cargo passé de loin. Mais j'étais trop loin pour qu'il puisse me voir.

Jour 4 :
Je ne me sens pas bien depuis ce matin. J'ai la tête qui tourne, je n'arrive pas à trouver mon chemin, je tourne en rond, alors que j'arrivais bien à me diriger depuis hier. En tout cas, je n'ai pas eu de visite des secours, je commence à perdre un peu espoir, et j'essaye de me reposer le plus possible. De toute manière, j'ai déjà fais le tour de l'île. J'ai la tête qui tourne depuis ce matin, je n'ai pas réussi à trouver mon chemin. Merde, je l'ai déjà dit, je suis vraiment dans le coaltar, j'espère juste que ce n'est pas une intoxication alimentaire avec les fruits. J'espère aussi que je ne vais pas devenir fou comme les soldats, j'espère que les secours vont vite arriver. En plus que je ne me sens pas bien depuis ce matin...

Jour 5 : Toujour aucune trace de secour, à croire qu'ils m'on oublier. Cela fait cinq jour que je suis sur cette plage, j'ai des moments d'absence, je n'arrive pas beaucou à me concentrer, et j'arrive même à me perdre en faisant que quelques mettre. J'essaye de relire le journal de bore et je suis tellement ailleur que je n'arrive plus à traduir le texte. Combien de temps vont-il encore mettre avant de venir, heureusement que mon SOS est encore la. J'espère qu'ils arriveront vite...

Jour 6 : Ou suis-je ? Je me suis reveiller ce matin et je ne me souvient de rien. Je suit sur une plage, j'ai un ta de matériel à côté de moi mais je ne me souvient plus de rien. J'é un peu marché pour reconnaître les lieux. Si je me rappelle, je suis Richard... pourquoi je ne me souvient pas de mon nom, pourquoi je Où suit-je ? J'ai écris ça ? Je ne me souviens pas. Je suis trop fatiguer, j'espère que les avions vont arrivé.

Jour 7 : J'écri sur un livre que jé trouvé ici, je ne sui pa seul sur cet il. Il i a un ga qui s'appelle Richard Pride et qui vi sur cet il. Je me souvien pa de qui je sui, je sai just que j'atten les Brrrrrrr. Je sai plu commen sa s'appelle, qui vol dan le ciel.
Jé trouvé ce livre alor que je me promené sur la .... commen sa s'appel, cé chau et cé jaun. Je sé plu, j'atten un truc, je sé pa quoi, un truc va arivé.

Jour 8 : Je sui ou ? Je sui qui ? Gé fin, gé soif, je sui qui ? Pourquoi je sui ici ? Je voi des brrrr volé mé y vienne pa. Pourquoi les brrrr vole ? Je fé koi si gé fin ? Je sui fatigué, veu dormi.

Jour 3 : gé fin, je né plu force écri, je veu just tranquil, gé trouv un truc tou noir avec un truc lon ronm peu peu etr fo regar dedan. Y a un truc ki boug en ba vé essai de boug.

Quelques jours plus tard, une équipe de sauvetage retrouva le corps de RIchard Pride sur la plage. Tout porte à croire qu'il s'est suicider, avant que les secouristes ne parcourent son carnet.