Jour 28 : démembrement
attention, il y a une deuxième version du texte, à mettre à partir du (1). Cette version est sexuellement explicite, vous voilà prévenu
Aujourd'hui est mon anniversaire, mon 30eme anniversaire en faite. 30 ans à m'acharner au travail, à construire une vie bien propre quand elle a commencé dans la boue, par les coups de mes camarades. Trois d'entre eux resteront gravé dans ma mémoire, et je les ai invité ce soir. Ils ont tous répondu positivement quand ils ont su que de l'alcool serait là. Ils viennent les trois en même temps, étant resté ami. L'un est banquier, le second est cadre, et le troisième chirurgien plastique. Ils ont tous les trois une situation bien meilleur que moi, c'est donc avec un sourire satisfait de ma situation qu'ils viennent me saluer. Je discute avec eux, je me retiens de pleurer tellement qu'ils me font encore peur, mais bientôt cela sera fini. Je leurs propose la bière tant promis, ce qu'ils acceptent, toujours avec leurs sourires narquois. Ils en boivent, ils éructent comme des porcs, m'en réclament encore, mais ce n'est qu'à la troisième bouteille que mon narcotique maison commence à faire effet. Ma vengeance à été longue, méticuleux, tel le sable tombant dans le sablier grain par grain. Et cette fois, le sablier a presque fini de faire tomber ces grains.
Une heure plus tard, je rejoins la cave, après avoir réglé les derniers détails, comme faire disparaître leurs vêtements dans un sac poubelle, ou nettoyer le salon de fond en comble. Ma cave est parsemé de pierre sur les murs, comme une cellule de prison moyenâgeuse. C'est pour cela que cela m'a pris beaucoup de temps pour installer mes trois roues de la torture. J'ai fais beaucoup de recherche, surtout dans une bibliothèque publique pendant mes passe-temps et weekend, en prenant des notes et des photos en cachette. Il m'a fallut un an pour tout construire, un an à me fixer sur ma vengeance. J'ai disposé mes pantins endormis et nus sur mes roues, les quatre membres attachés sur des fixations qui coulissent vers l'extérieur de la roue. Le plus imposant de mes patins commence à digérer ma substance.
« Où... je suis putain ?
- Bonjour Marc, tu arrives toujours le premier toi, je lance.
- Mais qu'est ce que tu fous... qu'est ce que je fous ici, libères-moi gros con ! »
Il me jète un regard noir, mais un regard de faible. Il pense que je ne vois pas qu'il a peur, mais je connais ce regard. Je viens vers lui, et le gifle. La force est telle que je me fais mal sur le coup. Je vais vers une manivelle qui entraîne le glissement des fixations des membres, et une petite roue surmonté de bâton, et avec un cliquet. À chaque huitième de tour, le cliquet surmonte un bâton et empêche le retour de la manivelle. Je tourne un peu la manivelle, rien ne se passe, mais Marc commence à réaliser :
« Putain arrêtes, tu es fou ! Tu vas me tuer ! AHHHHHHH. »
Les fixations sont arrivés à la limite non-invasive, il hurle à la mort, réveillant ces camarades qui s'agitent.
« Ne soyez pas jaloux, j'arrive tout de suite après. En attendant, je n'ai pas entendu le bruit ! »
Je tourne encore la manivelle un quart de tour, pour que j'entende dans les hurlements un craquement.
« Voilà, j'ai désolidarisé tes articulations, je te laisse habituer à la douleur, mon chou ! »
Je fais un clin d'œil à l'homme qui ne cesse de hurler.
« Non s'il te plait, libères-nous, on ne dira rien, supplie Karim.
- Mais je vais te libérer, tu sais, comme vous m'avez libéré du casier de la piscine, lui rappelle-je en tournant sa manivelle. »
Il comprend alors, mais ne peut que hurler de douleur comme excuse. Il se démembra rapidement. Le troisième, Gégé, supplie dans de longs sanglots, mais la sanction est la même, l'effet aussi. Je retourne alors vers Marc qui commence à s'habituer à la douleur :
« Maintenant, je vais te donner cela, lui dis-je en lui montrant un patch. Je ferais la même demande pour tes amis. Si tu réponds comme je le voudrais, tu reçois ce patch de morphine qui éliminer ta douleur. Tu vas peut-être mourir de surdosage de morphine, mais au moins tu n'auras plus mal...
- Pitié.... j'ai mal...
- J'ai eu mal pendant 15 ans à cause de toi, alors la ferme, tu es en train de perdre ton antidouleur ! »
C'est à moi d'avoir un sourire jouissif aux lèvres. Ma vengeance va se terminer, enfin se terminer !
« As-tu pris du plaisir à me tabasser, je lui demande. »
Marc ne me répond pas. Je tourne alors un coup la manivelle, qui étire les membres d'un centimètre. La douleur le réveille et le fait baver.
« Arrêtes, j'avoue, j'avoue ! S'il te plait... j'ai mal...
- Merci grand... »
Je lui appose le patch sur le front, le seul endroit qui ne soit pas étiré.
Je vais voir le second, puis le troisième, qui ne se font pas prier pour dire exactement ce que je voulais entendre. Ils reçoivent leurs patchs. Puis je reviens vers Marc :
« Ça va mieux ?
- Oui, me répond l'intéressé entre vape et sanglot.
- Bon, alors on est prêt pour t'arracher les membres ?
- Non... s'il te plait... »
Il n'a plus la conviction pour me convaincre. Je tourne alors un coup, la peau se tire encore, un coup, la peau commence à se déchirer, un coup encore, les membres se déchirés aux coudes et aux coudes. Le tronc tombe lourdement sur le sol poussiéreux et saigne abondamment. Les deux autres hurlent au secours, mais la cave est trop bien insonorisé pour cela. Il a tuer des animaux vivants pour s'habituer au sang, il a dû vomir des litres pour devenir aussi froid qu'aujourd'hui. Tout doit être parfait... Les deux ne font pas exceptions, et je fais tourner la manivelle jusqu'à ce que le tronc humain tombe. Je pleure inconsciemment, de peine, de honte, de joie, tout à la fois peut-être. Mais en voyant mes bourreaux gésir à l'agonie, j'ai juste envie de recommencer. Maintenant que je sais comment faire, je peux écraser mes ennemis, leurs faire comprendre de quoi je suis capable de faire...
(1)
« Maintenant que je sais que tu aimes faire mal, je te laisse un ultimatum : si je te masturbe, est-ce que tu vas éjaculer ? »
Il ne répond pas. Je prends alors son sexe entre les mains, puis je commence à le masturber. Il n'a pas pu s'empêcher de faire une érection, et de faire sortir son précieux liquide entre mes mains. Je lui fais lécher, puis je fais la même chose pour les deux autres, qui disent et font la même chose, comme les porcs qu'ils sont. Je reviens alors vers Marc :
« Ça va mieux ?
- Oui, me répond l'intéressé entre vape et sanglot.
- Bon, alors on est prêt pour t'arracher les membres ?
- Non... s'il te plait... »
Il n'a plus la conviction pour me convaincre. Je tourne alors un coup, la peau se tire encore, un coup, la peau commence à se déchirer, un coup encore, les membres se déchirés aux coudes et aux coudes. Le tronc tombe lourdement sur le sol poussiéreux et saigne abondamment. Les deux autres hurlent au secours, mais la cave est trop bien insonorisé pour cela. Il a tuer des animaux vivants pour s'habituer au sang, il a dû vomir des litres pour devenir aussi froid qu'aujourd'hui. Tout doit être parfait... Les deux ne font pas exceptions, et je fais tourner la manivelle jusqu'à ce que le tronc humain tombe. De les voir tous ainsi, pitoyable, à l'agonie, j'ai soudainement une envie de me masturber à mon tour. Cela était puissant, j'ai jamais eu autant plaisir, d'autant plus que je le fais sur le cadavre de Marc. Maintenant que je sais comment faire, je peux écraser mes ennemis, leurs faire comprendre de quoi je suis capable de faire...
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top