Jour 24 : rat

Dans l'ancien empire autrichien, une cérémonie était en cours, au alentours des années 1739. Une cérémonie se déroule dans un champs de blé d'un paysan du coin. Un grand buché est élevé, on traine une sorcière dans la boue. Ces pieds saignent, son corps porte les stigmates de la Question de l'inquisiteur. Ces habits peinent à cacher un corps nu et entaillés, que la populace aggrave par des jets de cailloux à son encontre. Elle supplie, des larmes coulent derrière une chevelure rousse, mais le jugement est terrible pour ceux qui répondent à la question. On la traine jusqu'au monticule de bois. Les habitants sont là, torche en mains, à éclairer la zone que la nuit avait assombris. Puis l'inquisiteur arrive, de sa longue tunique rouge et blanche, et dont les torches accentuent les ombres.
« Une dernière parole Sorcière, avant que l'on te renvoie au enfer ?
- S'il... vous plait...je... ce n'est pas moi.... j'ai menti...
- Que tu ait menti devant l'Église ou que tu sois une sorcière, la sentence est la même. Bon retour en ton antre, Succube ! »

Il prend une troche à un homme tout proche, puis allume le bois. Le brasier arrive rapidement, et lèche les pieds de la femme implorant le pardon de Dieu et des siens. Les flammes recouvrent le corps de l'innocente, qui hurle à la mort, sous le regard satisfait du devoir de l'inquisiteur. Puis, un rire perce le paysage, un rire effrayant, sortie des pire cauchemars des Hommes, et une voix sort du brasier :
« Oui je suis Sorcière, Homme d'Église, et vous mes fidèles humains, voyez le devoir que vous avez accomplis. Je vous condamne à errer maintenant comme vos semblables, pour l'éternité... »

Les cris de douleurs reprennent alors, et se tue, ne laissant que le corps carbonisé de la femme, étalé à terre. L'inquisiteur sait que ces paroles ne sont que futiles balivernes. Il rassura ses contemporains venus assister à la scène, et le corps est emmener à la discrétion de la nuit, démembrer, et enterrer au quatre coins du pays, comme à voulu l'inquisiteur, pour plus de sureté.
Le lendemain, un calme inhabituel traverse la ville. Les marchands n'étalaient plus leurs produits, les boulangers n'avait préparé aucune pâte à pain, les crieurs publiques ce sont tût. Du noble à la péripatéticienne, plus aucune présence ne se fait montrer. Le village est alors envahit de monstres. Des milliers de petits êtres poilu à longues queues rosâtres, aux poils bruns, et aux grandes dents courent, grignotent, saccagent tout. La malédiction a fait son œuvre, les habitants se sont transformés en ces monstres rongeurs des ville, en nuisibles poilus. Et à jamais, la ville disparu dans l'oublie, et la malédiction fut le commencement de ce que l'on appelle désormais : rat

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