_chapitre 9_

Je n'ais jamais été aussi heureux de croiser Ben et sa bande, parce qu'il y avais Gabriel avec eux. J'ai été un peu surpris par son attitude, il m'évitait très nettement. C'est vraie qu'après ce qui c'est passer ce matin, c'est normale qui soit.. un peu embarrasser, mais de là à faire comme si je n'existe pas! D'ailleur, il va falloir que je parle avec Amandine, et je sens déjà sa voie me percer les timpans et l'oreiller s'abattre sur moi. Mais je ne peux pas continuer comme ça avec elle alors que j'essai de me raprocher de Gabriel, ce serais injuste pour lui.

-Alors Dame Romane, on s'est ennuyer nous sans toi pendant toute une semaine !

Il me vient alors l'irresistble envie de lui mettre mon poing dans la gueule, je déteste ce surnom.

-Bon, je profite que vous venniez nous faire chiez pour dire à Gabriel et Damien que ce soir vous vennez chez moi et on termine l'exposer, on passe jeudi et je REFUSE de faire tout le travaille, compris? de toute façon, vous avez pas le choix, dit Amandine en ce remmettant du gloss.

Je grimace en voyant le regard pervers de Ben poser sur Amandine. Par pur instint de protection, je passe mon bras autour d'elle et fusille Benjamin du regard, qui me fais une expression du genre "cool man, j'vais pas t'la piquer". Grave erreur, parce que quand je me tourne vers Gabriel, il avait disparut. Enfin non, il était juste trois mètres plus loin dos à moi.

Nan mais je vous jure les mecs...

Je m'aprête à le rejoindre mais Amandine me dirige loin de la bande de Ben, et accésoirement encore plus loin de Gabriel, et je ne peux pas me jetter dans sa direction sans que ça paraisse suspect, et vue comment il m'a snober je ne pense pas que ça lui plairait... P'tin, c'est frustrant. Je me résigne à la suivre, et ont attéris dans les toilettes des filles. Faut que je pense à prendre un abonnement. Des filles qui ce remaquillais peste en nous voyant, mais Amandine leurs bottent le cul et les fous dehors. Elle ce tourne vers moi, toute excité.

-Tu devineras jamais ! s'exclame-t-elle

Je me met en position "reflexion"; regard dans le vide, en carressant ma barbichette invisible.

-Alors, je dirais....

 -Laisse tomber, tu devineras jamais. Lauren s'est faîte LARGUER COMME UNE MERDE!

Je la regarde en feignant d'être surpris. C'est pas comme si j'avais coucher avec John et que deux jours plus tard il me disait qu'il s'était trouver un mec avec un cul rond comme des balles de foot.... Oui, parce qu'avec John on avait pas fais que parler de Gabriel, hein.

-Ce matin elle a appris qu'en faîte John n'avait presque aucunes activitées extra-scolaire et qu'il avait plein de trous dans son emploie du temps alors elle est aller le voir et l'a engueuler, et tu sais quoi? Elle a tellement gonfler John qu'il lui a dit un truc du genre "Bah on a cas rompre?" et BAAAAAAM ! devant tout le monde, comme ça ! j'aurais tant aimer y être pour pouvoir voir sa sale gueule....

Je me demande si c'est pas un peu malsain d'autant ce réjouire du malheure d'autruit... En tout cas, moi ça m'arrangeais : La commédie va enfin cesser. Même si j'avoue que John a pas été cool, il a fait ça pile au bon moment pour moi !

-Donc on peux arrêter de faire semblant d'être ensemble?

La joie d'Amandine retombe subitement. Pouf.

 -Tu plaisante? On doit renforcée notre couple ! Maintenant qu'elle est anéantie, elle va chercher du réconfort et retourneras à son ancienne sible : toi.

-Amandine, j'ai pas signer pour ça, dis-je en levant les yeux au ciel.

-Je vois pas où est le problème, grace à ça tu commence à te faire des amis et la bande à Ben t'as enfin laisser tranquille.

-Tu plaisante? Ils me poursuivent !

-T'as pas retrouver tes affaires recouverte de mayonnaise dernièrement, non?

Je ma regarde, choqué. Comment peut-elle me dire une chose pareille? Elle veut que je me serve d'elle ! Elle ne pense pas une seconde que ça puisse me vexer de devoir l'utiliser, ou même que je puisse me sentire mal à l'aise.

-Damien, il faut absolument que tu m'aide. Je veux que Lauren paye! Je soupire.

Je déteste quand elle me regarde avec ces yeux. Je ne sais pas ce qui ce passe avec Lauren, mais je peux pas abandonner Amandine. En plus ce serais comme une compenscation du fais que je lui cache mon homosexualtiée. Peut être que ça pourras pardonner un peu...

 -OK, mais pas longtemps.

*

** 

***

**

*

Je me demande vraiment comment on peux présenter un exposer sur la reproduction à des ados moyennement expérimentés. Ils savent déjà faire, alors qu'est ce qu'on pourrais faire de plus? Du coup nous nous sommes rabattue sur le classique : Ovulation, Fécontation, gestation.

Amandine colle une photo d'utérus sur notre grande pancarte, quant le téléphone sonne. Elle ce lève et va répondre. Depuis le début de la scéance, Gab me snobe complètement, mais maintenant il n'a plus le choix. Je m'approche de lui, et il continue de m'ignorer.

-Dis Gab, tu veux qu'on parle de ce qui c'est passer ou tu compte me snober encore longtemps?

Il fait glisser la sourie sur le sol et fixe l'écran de l'ordinnateur, concentrer sur un film d'animation que explique comment le petit spermatozoide féconde l'ovule. Alors comme ça, une vieux film d'animation tout pourrie est mieux que moi? Je n'arrive pas retenir mon sourire, parce que c'est tellement puerile sont attitude. Comme si ça pouvait me frêner. Je me penche vers lui, et sans qu'il si attende dépose un baiser dans son cou. Je laisse mes lèvres quelques secondes carresser sa peau, et il met quelques secondes à comprendre ce que je fais. Je suis propulser en arrière, et il me regarde avec de gros yeux.

-Non mais t'es malade? crit-il en chuchotant.

-J'attire juste ton attention, je savais que ça aller marcher, dis-je en me redressant. Mais maintenant j'en veux plus.

Je m'approche de lui, et il essait de me repousser mais je le fais basculer en arrière. Je me retrouve à quattre pâtes au-dessus de lui. Yeux dans les yeux, on ce regarde. Il est tellement craquant...

-Pourquoi tu m'évites et m'ignores? je demande.

-J'y arrive pas...

Je carresse sa joue, douce. Il ferme les yeux alors que je veux pouvoir voir ses prunelles brune. Je ne veux pas qu'il ferme les yeux. Je baisse un peu plus, etmon tee-shirt qui pend sous la graviter frôle le sien.

-Gab, on a parler, non? C'est pas contre nature, c'est pas dégoûtant, dis-je doucement.

-Comment tu fais? Comment tu fais pour t'accepter?

Il ouvre les yeux, et ses prunelles me regarde, nous nous dévisageons. Comment ais-je pus croire qu'il s'accepterait aussi vite? Je ne peux pas le faire à sa place, mais même si ça va être long, je suis prêt à l'y aider. Je soupire, me rendant compte de l'empleur de la tâche. Je relève la tête pour croiser une nouvelle fois son regard, je descend encore un peu et je le voix retenir son souffle lorsque mon torse ce pose sur le sien tout comme nos bassins. Il est chaud, et il sent bon le parfum pour homme. Je prends sa tête entre mes mains, et lui souris.

-On devrait commencer par un premiers rendez-vous, tu pense pas?

Son regard ressemble à celui d'une bête appeuré, et je souris, taquin. Toute ses expressions son mignonnes en faîte.

-Mais... et Amandine, tu sors bien avec elle, non?

Je suis surpris qu'il n'ai pas évoquer le sujet avant.

-Amandine et ma meilleure amie, jamais je pourrais sortire avec elle ! On fait cemblant pour qu'elle puisse rendre jalouse une fille. Pourquoi, tu es jaloux? lui demandais-je en lui mordant le nez.

Il tourne la tête en pestant, et je me retiens de rire.

 -Allez dégage t'es lourd, dit-il en tentant de me faire basculer mais je suis bien trop cramponner à lui.

-Nan, il y a qu'un moyen de me faire bouger, dis-je en désignant mes lèvres. Un bisou.

-Même pas en rêve.

-Oh je suis sûr que si.

Il grogne et tourne de nouveau la tête. Furtivement, je l'embrasse à la machoir, sous l'oreille. Il tourne presque immédiatement la tête et me dévisage. Des pas ce font entendre dans les escaliers, je me pousse précipitament, trop maladroitement. Sans m'en rendre compte, j'avais enrouler nos jambes ensembles, et quand je me pousse je l'emporte avec moi alors qu'il essayait de ce redresser. Il ce retrouve affaler sur moi tendis que les pas d'Amandine ce rapproche. Je pouffe de rire malgré moi quand Gab ce rélève, rouge de honte. Je ne me relève pas à temps, et n'arrive pas à calmer mon fou rire.

-Excusez moi, ma tante est vraiment trop bavarde ! Toujours à parler pour ne rien dire, un vrai flot continue, impossible de l'arrêter, je vous jure parfois quand je converse avec elle j'ai envie de me pendre. Elle plus elle raconte des trucs mais dont on s'en fous !

C'est l'hopital que ce moque de la charité. Elle revient s'assoir à côter de moi en soupirant, sans poser de questions sur le pourquoi de mon fou rire ou pourquoi j'étais allonger. Je jette un coup d'oeil à Gabriel, et quand il fait de même, je lui fait un clin d'oeil. Il détourne la tête et ce concentre sur sa fécondation.


(Désoler si il y beaucoup de fautes, j'en fais souvent plus quand j'écris le soir et j'ai pas eu le temps de me relire ^^' )

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top