_Chapitre 18_ partie 2_
partie 2
(Est-ce qu'il va y avoir des fautes dans ce chapitre ? absolument. Est-ce que j'ai galéré à l'écrire parce que j'avais oublié une bonne partie de la suite ? Oh que oui. Vais-je abandonner ? Bien sûr que non :)
Damien est allongé sur son lit les yeux fermer. Je crois que je rougis, cette endroit me rappel des choses mal venue. Je rentre et ferme la porte derrière moi. Damien ouvre un œil alors que je le contemple. Il est livide, le regard insensible, et ça me tord les entrailles. Je voulais absolument le voir mais maintenant devant lui je ne sais plus quoi faire. Pleurer toute les larmes de mon corps ? Me jetter sur lui ? Le supplier de ne pas me rayer de sa vie ?
- Damien...
J'étais paralysé sous ses yeux.
- Je sais qu'il s'est passé un truc avec Ben... tu veux m'en parler ? Demandais-je.
- Ca ne servira à rien, c'est du passé maintenant.
Sa voix est étrangement neutre.
- Damien ne m'en veut pas, je suis désolé, je suis désolé de pas avoir été là pour l'arrêté, je suis désoler d'être un tel crétin...
Il s'est retourner pour me faire dos. J'avais l'impression qu'on me plantais un couteau dans le coeur. Je ne pouvais pas laisser cette situation s'aggraver. Je me suis approcher, j'avais besoin de le sentir, là, en face de moi. Mais c'était trop dure. Je me suis assis sur le lit, et nos dos ce frôlaient.
- Tu es tellement plus courageux que moi, tu es la personne la plus forte que je connaisse... Mais comprend moi putain, j'ai si peur. Je suis terrorisé. J'arriverais jamais à supporter un tier de ce que tu vis. Je comprendrais que tu ne veilles plus jamais entendre parler de moi, mais pourtant je ne veux pas te perdre...
J'étais sur le point de craquer et de pleurer.
- Aujourd'hui, quelqu'un m'a dit qu'on pouvait aimé une chose au point qu'on adore qu'elle nous fasse mal. De l'auto destruction par amour en quelque sorte. Quand on s'est retrouver à côté en classe Gabriel, tu étais totalement inaccessible. Mais je te désirais vraiment, je pensais m'être enticher d'un hétéro avec des fréquentations horrible, je me suis même mis à traîner avec Ben pour me rapprocher de toi. Tu étais tellement différent de l'idée que je me faisais de toi.
J'avais mon visage emprisonner dans mes mains, pencher en avant. Je l'écoutais avec une attention complète alors que c'était les montagnes russes dans ma tête. Je l'ai sentis ce retourner, et poser sa main sur mon dos.
- Je pensais vraiment que t'aimer m'apporterais que des ennuis incommensurable, mais putain qu'est ce que j'aime ça... J'ai toujours fait que des conneries.
Je me retourne, et nous avons tout les deux les larmes aux yeux ; ça le fait rire. Je me contente de sourire. Une douce chaleur me traverse et me lie tout entier. Je m'allonge en face de lui, il pause son bras autour de ma taille.
- J'ai tellement peur, Damien, tout le temps. J'ai peur de qui je suis, j'ai peur des autres, de l'accepter, et surtout j'ai peur de ce que je ressens, et de ce que je peu te faire. J'ai l'impression que tout est de ma faute, que je serais jamais assez bien pour toi. J'ai tellement de haine en moi... contre Mathias, contre Ben, contre tous ceux qui te font du mal ; je veux les frappés jusqu'à plus souffle. C'est ce que je ressens quand je pense à toi, je n'arrive plus à respirer, comme si tu me submergeais. Tu es la personne la plus important de ma vie.
Damien resserre notre étreintes. Je nous sens bouillant, comme deux chauffages en surchauffes. Sa chambre n'est pas assez grande pour accueillir toute notre chaleur. J'avais la sensation de pouvoir exploser les murs, me retrouver dans un autre univers avec lui, s'enfoncer dans les abîmes marins, inconnus, loin de tout et à tout jamais tout les deux. Les mots ne voulaient pas sortir. Ils restaient sur le bout de ma langue. Il restait enfermer sans pouvoir nager dans le silence de la pièce. Damien le savait, il le sentait, et c'était le principale. Mais je voulais qu'il les sentent. Pour la première fois je pris l'initiative de l'embrasser sans qu'il le me le demande, pour qu'il sente ces mots imprononçable au bord des mes lèvres.
En m'écartant, il me regardait de son sourire mesquin et satisfait.
- N'ai pas peur, jamais. Personne ne te feras jamais de mal, je n'ai peut être pas une carrure d'athlète comme toi, mais je sais encaisser les coups. Et je protège ceux qui me sont cher.
Mais qui le protégera, lui ? Il m'a pousser pour sortir du lit, je me suis retourner pour l'observer. Il n'était pas maigre, les bras fuselés et les fesses rebondies. Sa tignasse de boucle brune le gênait alors qu'il se changeait. Depuis quand n'a t-il pas coupé ses cheveux ? Je souris en me souvenant des photos de lui petit. Le monde est une saleté, et Damien y est comme un bijoux perdu, mais je me sentais égoïstement heureux de l'avoir trouver. Je ne sais pas comment prendre soin des gens qui m'entourent.
- Bon, Gabriel, tu veux me voir danser ? Dit-il les mains sur les hanches et les yeux braqués sur moi.
- Pardon ? Répondis-je entre l'amusement et l'incompréhension.
- Je répète : veux-tu voir mon ptit cul ce frotter à une barre avec ma mère ?
- C'est la phrase la plus étrange que tu m'ai dîtes.
Il me fait un clin d'oeil. Je regarde l'heure sur mon portable et réalise que j'ai des appels manqués de mes parents.
- Je crois que mes parents vont me tué, il faut que je parte. Mais je saurais ravis d'en savoir plus sur cette histoire avec ta mère, une barre et des fesses.
Je saute du lit et lui fait face, alors qu'on rigolent tout le deux. Quand je m'apprête à partir je ne sais pas quoi faire, je reste planté devant lui embarrassé. On se fixe en chien de faïence, et il ce mord la lèvre avant de me prendre les mains et s'approcher pour m'embrasser. Je me laisse faire. J'adore la sensation de chatouille dans mon ventre, ses mains dans les miennes qui ce tiennent du bout des doigts. J'ai l'impression d'avoir fais tomber une barrière, d'avoir quelqu'un à qui m'accrocher. On entend un bruit en bas.
- Damien, ta mère est au courant pour toi ?
Il tourne les yeux, ce qui me fait immédiatement retomber sur terre.
- Non, enfin elle s'en doute mais mes parents... Ils sont pas près. J'espère trouvé le bon moment pour faire mon coming out.
- Bientôt ?
Il sert un peu plus les mains. J'étais angoissé. Damien sait que pour moi c'est impossible de le dire, je ne peux simplement pas. Je ne peux pas.
- Je sais pas Gab.
J'avale ma salive et acquiesce.
Au pied de la porte je m'arrête. Je n'aime pas être là. J'entends des cris à l'intérieur. Des cris roque. Dès que je mets la clés, ils savent que je suis là. Ma mère avant que j'ai pus ouvrir moi même la porte. Elle me fait les gros yeux et ce décale pour me laisser entré. Dans le salon mon père astique un de ses précieux fusil illégale. La chaîne de sport passe en boucle un extrait de match mais personne ne regarde. Mon frère et sa copine sont assis, droit, les yeux baisser. Je ne peux que m'imaginer le regret qu'il a de l'avoir amener cette après-midi.
- Tu sèches les cours maintenant ? C'est quoi ça Gabriel, tu m'expliques ?
Ma mère s'avance vers moi, menaçante.
- Je ne me sentais pas bien...
- Tu étais où tout ce temps alors ? Cri-t-elle. C'est pas maintenant que tu vas commencer à te comporter comme un bougnoule des cités, alors réponds moi !
Je sers les dents pour ne pas crier et l'énerver d'avantage.
- Chez un amis, il m'a prêter des médicaments et...
- Tais toi ! Je sais que tu mens, tu ne veux pas me dire où tu étais, alors interdit de sortis et de portable jusqu'à nouvel o-
- Oh Marguerite calme toi ! Crit papa plus fort, elle ce tait immédiatement et détourne le regard, d'une voix plus calme il m'ordonne de venir le rejoindre sur la chaise en face. Tu es aller voir une fille, pas vrai ? Je connais les gamins comme toi, j'avais ton âge. Dis à ton vieux père, tu as pus conclure ?
Je me suis sentis soudainement creux.
- Un peu, répondis-je.
- Comment ça un peu ? Il rigole puis pause son fusil. He, entre hommes on peux en parler, mais pour les chopés faut que tu te la joues distant, un peu dominant. Même si elles disent le contraire, elles veulent toutes êtres dominées, c'est leur psychologique bizarre enfin tu vois. Bref, n'hésite pas. Tu comprends ? Crois moi elles tombent toutes, regarde ta mère ! Il se penche vers moi pour chuchoter : et s'il te plais, fait pas comme ton frère à nous ramener ses goûts exotiques à la maison, là tu t'amuses c'est normale mais plus tard faudra nous présenté des filles sérieuses ok ? Il me tape sur l'épaule.
- Oui papa.
- Aller tu vas voir le match avec nous ce soir, il s'allume une cigarette. Chérie, prépare nous quelque chose j'ai faim.
Il m'entraîne avec lui sur le canapé, et je serre les poings pour contrôler ma colère, impromptu.
Hellooooooo,
Pour toutes celles et ceux qui pensaient que la suite n'arriverais jamais, BAH SI. Bon je galère toujours autant mais j'ai un peu revue la suite de l'histoire parce qu'au bout d'un ans, j'ai un peu oublier le scénario de base.
Désolé pour le retard ; je ne suis pas spécialement fière de cette fin de chapitre, j'ai l'impression d'avoir perdu la main, mais je vais continuer à écrire ! Par contre effectivement les chapitres mettrons du temps à sortir, peut être pas un an, mais un moment XD
Bref, je vous adores j'ai les meilleures lectrices/lecteurs du monde :D !
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