_Chapitre 13_


Hello ! et oui, voilà enfin la suite :3 je ne sais pas trop quoi en penser, alors je compte sur vous pour me donner vos avis ! En plus, cette fois, il est plutôt long x) j'ai essayer de me relire mais j'ai quand même dus laisser échapper des milliards de fautes, alors je m'en excuse... J'espère qu'il vous plairas quand même !

Nous somme mercredi après midi, et je ne suis pas aller au lycée. J'ai fais croire à ma mère que j'étais vraiment mal, et quand elle a eu le dos tourner, j'ai manger du dentifrice : je suis alors devenus vraiment mal, et ma mère à gueuler en je-sais-pas-quel-langue des insultes et est descendu en trombe. Mais au moins, je n'avais pas entièrement menti parce que je m'étais vraiment sentie mal toute la journée, mal au ventre, mal à la tête et envi de vomir... L'avantage c'est que ça a marcher, point bar. Et pour être tranquille, j'ai éteint mon portable.

J'avais besoins de réfléchir.

La prostitution, c'était non. Absolument NON. faire les devoirs de Mathias, c'était me rajouter du travail, mais si ça me permettais qu'il ce la ferme, passe encore. Mais les deux points que je ne comprenais pas et que je n'acceptais pas était bien évidemment l'argent et draguer la copine de Ben. Je savais même pas qu'il avait une nouvelle copine. Que Mathias veuille qu'ils rompent, ça, c'est suspect.

Bien, je note : ça pourras me servir pour le faire chanter à son tour.

Et pour l'argent... Je n'en n'avais aucune idées. Comment réunir autant d'argent, dans un lapse de temps restreint ?

Plus je cogitais, plus j'avais envi de m'enfoncer la tête dans un bac d'acide. Pourtant je n'avais pas le choix, sinon je perdais Gabriel. Et ma tête serrais mise à pris pour tout les homophobes du coin.

Il faut que je me change les idées. Je vais dans la cuisine, d'un pas lent, et tout aussi lentement, je me sers une tasse de lait. avant de me souvenir que je n'aime pas le lait tout seul et de recracher ma gorger dans l'évier. J'attrape alors un paquet Nesquik de chocolat en poudre, met trois cuillères dans la tasse et fourre le tout au micro-onde. Je vais ensuite dans le salon, et m'assoie à coter de ma mère devant un replay d'une serie.

Sauf que comme ma mère est une allien, je la trouve en train de ce raser les jambes, des serviettes de bains étaller un peu partout, un bac d'eau, de mousse à raser et de poils fin à coter d'elle et une bombe de mousse à raser. Sa jambe en est d'ailleur recouverte. Elle trempe énergiquement son rasoir dans le bain et trace une demie-ligne sur son mollet, avant de répeter la même gestuel.

-Putain maman, tu peux pas faire ça dans la salle de bain comme tout le monde? grognais-je.

-Rooh, ça va hein, je t'ai expulser de mon bide je te signal.

Je déteste quand elle dit ça.

-Quand t'avais huit ans, t'étais à coter de moi à jouer avec la mousse à raser devant spiderman et ça te gênais pas !

-Mais j'ai plus huit ans, dis-je un peu trop férocement.

Elle lève les yeux au ciel. Je contemple ma mère, et me suis demander comment elle était devenus ce qu'elle est. Elle n'était certainement pas faîte pour être mère, ou même femme au foyer. Pourtant c'est ce qu'elle est. Une pro des courses à l'affut de toute les réductions avantageuse, qui sait comment enlever une tâche de sang ou de fraise sur un tee-shirt. Même si la maison est en bordel, elle sait exactement où ce trouve chaque choses. Et même si elle passait une bonne partie de ses journées devant la télé, elle reste affreusement mince et belle, à rendre jalouse toute les filles de mon lycée.

-Maman, comment tu l'as rencontrer pap? demandais-je subitement.

-A mon travaille, dit-elle sans relever la tête.

-Mais t'étais strip-teaseuse, dis-je en la regardant les yeux rond.

Elle soupire, puis lève ses yeux brun vers moi.

-Oui, Damien, et ton père était un de mes clients. Tu es content ? Elle soupire puis retourne à son rasage. A l'époque j'avais pas trop le choix, et ton père m'as sortie de la merde.

Ma mère ne m'a jamais parler de son enfance, ni pourquoi elle était devenu strip-teaseuse. Elle m'as juste que quand elle avais plus trop eu le choix, elle a fait le premiers quel pouvais.

-Comment t'es devenus strip-teaseuse ?

Pendant une seconde j'ai crue qu'elle n'allait pas répondre.

-Ma mère m'as virer de la maison, et je me suis retrouver à la rue pendant quelques semaines, chuchote t-elle comme si elle avais peur que je l'entende. Ensuite je suis aller dans un foyer pour SDF, et là j'ai rencontrer une fille qui m'a proposer du travaille. C'était sois être une catin, sois une strip-teaseuse. J'avais vraiment besoins d'un travaille, alors j'ai choisis strip-teaseuse.

-Mais pourquoi ? tu aurais pus chercher un autre boulot ! m'exclamais-je.

-Tu peux pas comprendre Dam-Dam. J'ai fais le choix qui m'as parus le meilleure.

-Mais pouruoi?

-Parce que j'étais enceinte.

Quelque chose de bizarre s'est passer en moi. J'ai soudain réaliser que ma mère avais une histoire, une vie avant d'être ma mère. Avant d'être ce qu'elle est. Avant je ne lui avait jamais poser autant de questions. Pour moi, avant, comme maintenant, ma mère était juste une vieille mère/ado ingérable.

-C'est pour ça qu'ils m'ont virer de la maison, dit-elle en secouant le rasoir dans l'eau sale, incapable de me regarder en face. Et dans la rue, je pouvais pas survivre avec un enfant dans le ventre: accepter d'être strip-teaseuse m'as parus le plus judicieux. Quand mon ventre à commencer à grossire, ils m'ont relégués au bar. J'ai emmenager avec des filles du club dans un petit apparte.

Puis elle fait une pose. Elle s'essuit la jambe avec une serviette, et ce stop.

-J'ai fais une fausse couche.

J'ai vue un voile d'émotions barrer ses yeux. Puis petit à petit, aux souvenirs de cette périodes, ils ce sont vider.

-Bizarrement, c'est mon boulot qui m'as sauver. Surtout les filles. Celles qui vivaient avec moi. Le patron était un enculé, mais ces filles étaient en or Damien. Elle m'ont aider à m'échapper, où plutôt à m'enfuir avec ton père. Le patron avait des vus sur moi, et crois-le ou non, mais sortir définitivement de ce genre de boîte, c'était vraiment pas facile, surtout pour s'enfuire avec le frère du bosse,dit-elle dans un rire semi-forçée. Et je ne les ais plus jamais revue.

Ses sourcils s'affaissent un peu, au souvenirs de ces filles. Je ressens moi aussi un pincement au coeur, et je comprend mieu pourquoi elle tenait tant à ce que je fasse du pole-dance ; être strip-teaseuse l'as beaucoup aider dans sa vie, elle voulait que j'ai moi aussi une bouée de secours.

Je découvre ma mère sous un nouveau jour, avec quelque chose en plus. Mes parents, un amour interdit. Bon, le mauvais coter, c'est que maintenant je sais que j'ai un oncle, qu'il tiens une boîte de strip-tease, avait des vus sur ma mère et que c'était un enculé. Génial, maintenant je comprend pourquoi on reçoit jamais de la famille à la maison.

Elle s'assoit plus confortablement sur le cannapé, tourner vers moi, et me regarde.

-Et puis il y a eu toi. Tu n'es pas arriver par surprise, tu sais, on t'avais prévue depuis des mois. Quand le docteur nous a enfin dis que j'étais enceinte, ton père et moi on a fait l'amour comme des bêtes ! s'exclame-t-elle alors que je grimace de dégoût. Tu sais, plus tu grandissais, plus on trouvait que tu étais un drôle de petit garçon. Ton père pense que c'est parce que tu étais tout le temps dans mes pates... soupire-t-elle. C'est vraie que je t'habillais en petite fille parfois, et j'avoue que ça ne devais pas être très sains pour toi..

Je suis en train de buguer. Pardon? En petite fille? Ma mère m'habillais en petite fille?

-Tu voulais tout le temps qu'on t'achète des chapeaux, de toutes sortes. Et puis vers sept, huit ans, tu avais un sac à dos Oui-Oui que tu ne lâchais jamais ! s'exclame-t-elle. Impossible de te le faire lâcher. Ensuite, ta lubit à été le bracelet. Tu me piquer tout le temps mes bracelets.

Je la regarde continuer à parler de moi petit, de mes lubis, de mes "périodes" (comme ma périodes totally spys, suivit par celle de surfeur), de souvenirs (quand mon père s'est laisser jouer à la pouper avec moi) et de toutes sortes d'annecdotes que j'avais oublier. Des choses que j'ai oublier avec le temps, en grandissant. J'ai l'impression d'avoir retrouver notre compliciter avec ma mère, bien plus forte que celle avec mon père. L'idée de lui dire la vériter m'a traverser l'esprit. Même bien plus ; j'ai la phrase au bout des lèvres. C'était le moment idéale.

-Maman ?

-Oui? dit-elle avec le plus grand et le plus beau sourire du monde.

-Est-ce que tu m'aimes ?

La questions était sortis comme ça. Une question stupide.

-Bien sûr mon chéri ! comment ne pas aimer le plus beau garçon du monde? Tu es mon petit Dam-Dam solitaire. Pourquoi tu me pose la question ? ça ne va pas ?

-Si, c'est bon, c'est juste... comme ça.

Je l'embrasse sur la joue en lui disant que moi aussi, je l'aime. Puis je retourne m'enfermer dans ma chambre, les larmes aux yeux. Une minute de plus et je risquais de m'effondrer en larme. Je renifle bruyament.

Ma mère à sut faire un choix. Un choix qui a été important. Pour une fois, ma mère me semblait presque... profonde. Avec une détermination et un instinc de survie, comme on en voie dans les livres ou dans les films.

Tous mes problèmes me sont revenus en pleine figure, et la fatigue s'est abattue sur moi. Je suis fatiguer de mentire. Je suis fatiguer d'avoir peur, de devoir sans cesse me cacher. Je me suis appuyer contre la porte, et me suis laisser glisser jusqu'à être assis sur le sol. J'ai ouvert les vannes, et je me suis mis à pleurer, sans aucuns sens. J'avais juste besoin de pleurer pour toutes les fois où je me suis retenue. Les minutes sont passer à toute vitesse, 3, 5, 10, 30, 50.

Lorsque mes larmes ont commencer à sécher, ça faisait presque une heure que je pleurait en silence. Ma tête me faisait affreusement souffrire, j'avais le nez qui coule, mon visage était rouge et ma respiration était saccadé. Je reprennais mes esprits en essayant de réguler mon souffle et en fermant les yeux. Sans m'en rendre compte, je me suis endormis.

Quand j'ai rouvert les yeux, ma tête avais passer le relais à mon dos. A cause de ma position inconfortable durant mon petit somme, mon dos était en charcutrie. La bonne nouvelle, c'est que tout mes états d'âmes étaient de nouveaux enfouis au fond de moi et que plus aucunes traces de mes larmes n'étaient visibles. Mon téléphone sonnait et vibrait, alors je l'ai pris et ai décrocher.

-Allo ?

-Allo, Damien, ça va ?

Même si ça voix à travers le téléphone est légèrement différente, je reconnait immédiatement Gabriel. Je suis tirer entre le bonheur d'entendre sa voix, et le chantage de Mathias.

-Ouais, répondis-je avec précaution.

-Pourquoi t'es pas venus aujourd'hui ? T'aurais du voir ça, Alice s'est casser la gueule et il y a eu une inondation dans les toilettes des filles ! reponds-t-il en riant.

De toute façon, à chaque fois que je suis absent, il ce passe toujours des trucs géniaux. Comme d'habitude...

-J'étais malade, dis-je en prenant une voix érailler alors qu'il y a deux secondes je lui parlais normalement.

-Tu as quoi ? Tu va bien, t'es sûr ? C'est pas grave au moins, tu pourras venir demain?

Il s'inquiète, il est super mignon.

-Nan, t'en fais pas c'est rien. Mais... Tu peux passer ce soir?

Bon Dieu de merde, pourquoi je lui ais demander ça? En plus, il m'est du temps à répondre.

-OK, j'arrive.

Et puis il m'a racrocher au nez.

Je jette un coup d'oeil à mon réveil, et constate qu'il est 16h38. Aujourd'hui on finit à quel heure ? Ah, merde, donc il devrait pas terder à être là. Je me précipite dans la salle de bain pour me laver vite fais, mais ne prend pas la peine de trouver des vêtements BCBG et enfile simplement un t-shirt bleu usée et un jogging. La douche c'était juste histoire de pas puer. Je m'affale sur mon lit et cherche de potentielle sujets de discussion.

Quand la sonnette résonne, je précipite dans le salon pour empêcher ma mère d'ouvrir. De toute façon elle est devant son ordinnateur à piannoter avec un paquet de Harribo. J'ouvre la porte, et découvre un Gabriel très craquant. Les cheveux pas coiffé, le sac nonchalamant suspendue à une de ses épaules et les mains dans les poches il me sourit. Je me mord la lèvre tellement je le trouve mignon comme ça. Je lui fais signe d'entrer, et immédiatement je le pousse jusque dans ma chambre sans lui laisser le temps de saluer ma mère. A peine la porte refermer qu'il prend la parole.

-T'es souvent malade, t'es sûr que tout va bien?

-Parfaitement, dis-je avec un grand sourire. Mais ne t'en fais pas, ce n'est pas contagieux. Alors tu peux peut-être me dire bonjour comme il faut...

Je m'approche d'un pas félin vers lui, et je le vois retenir son souffle. Pourtant il pose sa main sur mon torse et me stop.

-Même pas en rêve, Dami.

Je pousse un léger grognement de mécontentement. Beaucoup trop prude comme gars.

-Pourquoi tu as voulus que je vienne? me demande-t-il en s'assayant sur le lit.

Je le regarde avec ses cheveux brun qui ont pousser et ses beaux yeux qui ont la couleur du bois avec des teintes d'or. J'ai envie de passer mes mains dans ses cheveux. Là. Maintenant. Tout de suite. J'ai envie de l'embrasser à en perdre haleine. J'ai envie de me sentir près de moi, parce que ce que je vais lui dire va l'éloigner.

Mais soit je lui dis, soit il l'apprendra par les photos, et alors ce serras finis. Parce que j'ai décider de ne pas me laisser faire par mes bourreaux cette fois.

-Gab, tu te souviens de la sortie en boîte?

Il hoche la tête, les sourcils froncés. Trop cute pour moi.

-Je t'ai dis de ne pas m'attendre, tu t'en souviens ?

Il hoche à nouveaux la tête, et je vois les muscles de sa machoir ce contracter.

-J'étais déjà super enticher de toi ce soir-là, sauf que j'm'étais résigner sur le fait que tu sois hétéro à 100% du coup j'étais démoraliser et...

Je déglutis et baisse la tête.

-J'ai coucher avec un mec. John. Il est dans notre lycée.

Rien. Silence. Il ne me regarde même pas, mais fixe le sol. Je n'arrive pas à savoir ce qu'il ressent.

-Il sait que t'es gays, dit-il simplement, toujours sans me regarder.

-Oui, mais lui est bi. On s'est mis d'accords et puis on est devenus pote, dis-je mais quand je vois sa machoir frémir je me reppli. Si je t'en parle c'est parce que...

-Qu'est ce qu'il t'a fait?

J'avoue que je reste complètement abasourdis. Gabriel à relever les yeux et les longe dans les miens. C'est affreusement excitant. Il ce relève et me fais face.

-Il t'a fait quoi ? Et toi, qu'est ce que tu lui a fait? La même chose qu'a moi?

Sa voie est à la fois dure et douce, son souffle court. Je contemple chaque parcelles de son visage. Je suis un peu perdue avant de me rendre compte qu'il parle de ce que j'ai fait avec John.

-Non, avec toi c'est différent, dis-je en posant ma main sur sa nuque. Avec toi une simple carresse est suffisante pour me faire perdre la tête.

Je le vois rougire comme une tomate, et ça me fait sourire. Il ferme les yeux et ce mord la lèvre, j'en porfite pour poser mes lèvres juste à coter de son oreilles, un coin sensible, pour descendre jusqu'à son cou. Ma main tiens fermement sa nuque pour lui faire comprendre que je ne le lâcherais pas, qu'il est à moi en cet instant. Je pose mon autre main sur sa hanche et le rapproche un peu plus. Je le sens trembler.

-Je suis désoler, murmurais-je. John c'était une énorme erreur. Je ne faisait que penser à toi, à toi, et encors à toi.

Je passe mon bras derrière sa nuque et dans son dos, pour le serrer vraiment contre moi. Je pourrais presque sentire son coeur battre contre ma poitrine. Il passe ses bras dans mon dos, et me caline. Je l'entends soupirer, et je me rend compte à quel point il sent bon. Il sent la pomme. J'ai envis de rester comme ça. Pour toujours. Je suis tellement bien qu'en cet instant je pourrais mourir et rester à tout jamais ainsi, dans les bras l'un de l'autre.

-Gab, les choses vont changer, dis-je en retenant un hoquet de tristesse.

Nous nous élognons pour nous regardez dans les yeux. Il ne comprend pas. Mais si je fais ça, c'est pour lui.

-Mathias sait pour moi.

Je vois les yeux de Gabriel ce vider, il ce rend compte de ce qu'il ce passe.

-Il ne sait pas pour toi, dis-je pour le rassurer. Mais il a pus prendre une photo de John et moi. Il a essayer de me faire chanter, mais j'ai l'intention de refuser. Bientôt tout le monde au lycée sauras que je suis gays.

-Il t'a demander quoi comme chantage ?

-Il veut une grosse somme d'argent, que je fasse ses devoirs et que je fasse rompre Ben et sa copine.

-Pourquoi tu ne le fait pas? s'exclame Gabriel. Je pourrais t'aider !

-Non, parce que je connais ce genre de spiral infernal. Et puis, je m'en fiche que les gens le savent ou non, mais je sais que c'est important pour toi, que tu ne te sens pas près.

-Damien, si les gens savent, ils vont...

Bien sûr qu'il vont. Ils vont me juger. Je vais devenir le pédé de service, avec ces photos tous serras pire qu'avant.

-Et je ne pourrais rien faire, dit-il en serrant les dents. J'ai peur que...

Je ne le laisse pas finir.

-Je sais Gabriel, je ne te demanderais pas de me défendre. Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit. Je voulais juste te prévenir. Mais on pourras toujours ce voir en cachette, comme Roméo et Juliette !

Il lève les yeux au ciel.

- A la fin, ils meurent. Ce n'est pas le meilleur exemple.

-On s'en fiche. Maintenant que tu sais tout ça, que dis-tu d'un petit remmontant...

Je pose mes lèvres sur les siennes, et à ma grande surprise il ne resiste pas. Je passe une mains sous son t-shirt et parcour chaque milimètres de sons dos.

-Je dois y aller, dit-il contre mes lèvres.

Il se dégage répidement et s'apprête à partir mais je le rattrape par le t-shirt et le colle contre la porte. Nos visages ne sont qu'a quelques centimètres, et j'affiche un sourire séducteur/sadique.

-Hors de question que tu ne me laisse sur ma faim maintenant...

Je voulais profiter au maximum de lui une dernière fois. Avant que les choses ne changes. Je l'embrasse de nouveaux, le tenant par les hanches. Je me frotte outrageusement contre lui, ce qui me fais frissoner autant que lui, surtout de savoir ce qu'il y a en-dessous.

-Ta mère est à coter putain... soupire-t-il.

A peine a-t-il entrouvert les lèvres que je laisse ma langue carresser la sienne. Un décharge électrique me traverse tout le corps. J'ondule mon bassin contre le siens, et passe une main sous son t-shirt. Notre baiser étouffe chacun de ses gémissements, il halète lorsque que quitte ses lèvres pour embrasser son cou.

-Je t'ai promis de te faire découvrir ces choses petit à petit... dis-je contre son oreille. Tu es prêt pour l'étape au-dessus?

Je laisse glisser une main jusqu'a sa hanche, vers un sentier dangeureusement badant. Je commence déjà à m'ecxiter, et il serrais vraiment trop frustrant de devoir me terminer tout seul. Je défais très lentement sa ceinture, le laissant déguster chaque seconde qui passe alors que mes lèvres pressent le coin des siennes. Je sens enfin ses mains s'agripper à mon t-shirt. S'en est trop. Je l'agrippe et le pousse sur mon lit, et me retrouve à califourchons sur mon beau Gabriel, qui ce mord la lèvre de me voir remonter doucement son t-shirt embrassant la peau douce de son ventre. Je lui enlève bien vite son t-shirt et contemple son torse.

Il n'est pas monstrueusement musclé, mais doux et imberbe, d'une peau parfaite. Je remarque un grain de beauté sombre sur ses cotes, et je me penche pour l'embrasser.

-Attend.

Je relève la tête pour le contempler.

-Je veux te retirer ton t-shirt.

Sa voix me fais craquer. A la fois douce et rauque. Il ce redresse légèrement, et je vois ses abdos ce contracter. Il prend le bas de mon t-shirt, et je le laisse faire. Il fait la même chose qu'avec mon sweet, dans les toilettes du self, saif que cette fois c'est dans le sens inverse. Ses doigts effleures ma peau, doucement, et mon t-shirt finis au sol.

Gabriel prend le temps de me regarder, ses doigts vienne survoler mon torse, effleurer mes côtes et l'élastique de mon jogging. Je ferme les yeux pour m'impregné de cette sensation. Ses lèvres effleures mes épaules, mon coup puis ma machoir. Alors la situation ce retourne, et c'est moi qui suis allonger, Gabriel à califourchons sur mon ventre.

Exquis. Juste exquis.



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