Félix


Couché dans le lit de ma chambre je ne cessais de penser à cette fille aux cheveux blond. Cette perles que j'avais aimé et pourtant oublier. Je m'en voulais, comment avais-je pus la sortir de ma tête alors que maintenant chaque seconde qui passait je n'arrivait pas à la sortir de mon esprit. J'aurais peut-être du la vidée de son sang comme elle me l'a dit pour tuer celles qui l'a tué. Mais quelle idée j'avais là, bien sur que non je n'aurais pas pu prendre sa vie.

Et puis, cette Minerva, elle ne ressemblait pas à Delirra, bien qu'elle avait le même touché, les mêmes yeux, le même corps, fragile. Elles se ressemblait sans pour autant être les mêmes. J'avais bien l'intension de reconquérir son cœur mais une partie de moi ne le voulait pas. J'avais aimé Delirra, pas Minerva.

Et puis, comment l'atteindre alors que j'étais piégé dans se château, donnant des informations sur ma vie avec mon amante que je n'avais pas car je ne me souvenais pas exactement de tout mon passé. J'avais compris qu'en la rencontrant j'étais un vampire, qu'elle savait qu'elle était une sorcière, qu'elle apprenais mais qu'elle sait fait chasser du clan des sorcières car elle était trop puissante. Cela s'appelle de la jalousie. Ils voulaient la tuer par pure jalousie, quelle honte.

J''avais compris aussi que j'était un simple paysan nomade. Lorsque j'avais rencontré la jeune femme, elle m'avait parue différente. Nomade aussi, j'avais proposé de l'accompagné et auinsi nous nous étions connu de mieux en mieux.


27 avril 1316.

Nous nous promenions dans une forêt dense à la recherche de lièvre ou de serf pour le diné. J'étais armé d'une hache, alors qu'elle portait un arc à flèche. Nous marchions à pats de loup depuis une bonne demi-heure et nous n'avions seulement qu'un oiseaux maigre dans les mains. Je m'arrêtais alors, posant mon arme lourdement sur le sol.

-Parle moi de vous. ordonnais-je.

-De nous ? demandait Delirra perdue, s'arrêtant au côté de l'homme.

-Vous, les sorcières. Je veux dire, comment vous vivez, comment utilisez-vous vos pouvoirs ?

Elle eu un moment de réflexion, réfléchissant à comment elle pourrait répondre. Elle s'assis alors prêt de moi et souffla un grand coup.

-Et bien, nous sommes normalement réunis dans une sorte de passage sous-terrain où on apprend à gérer nos pouvoirs dès notre plus jeune âge. Nous vivons tous là. Nous avions également des cour, où l'on apprenait les formules, comment créer une potion. Nous avions du fabriqué notre propre baguette magique. Les sorciers et sorcières peuvent vivre jusqu'au moins 150 ans. Les plus vieux aillant 210 ans. Ils perdent serte, de leur force mais ils ont toujours leurs pouvoirs. Généralement les pouvoirs se transmet de génération en génération transmettant à leur fille qui le transmet à son garçon et ainsi de suite, bien que les sorciers diminues. Il y a beaucoup de perte d'enfants, comme chez les humains d'ailleurs. Mais pourquoi cela t'intéresse ?

-Parce que j'aime savoir à qui j'ai a faire. Mais comment tu es partie ?

-Elles m'ont chassées. Avait-elle dit avant de sortir une flèche de son étui.

Elle s'était relevée, arquant son arc et en une fraction de seconde un bruit de bête retentit. Elle prit quelque branche d'arbre et des pierres traînant sur le chemin pour en faire le début de se qu'il me semblais être en feu. Elle tendis sa main verre le bois où apaisait une flame qui prenait de plus en plus d'ampleur. Je n'eu même pas le temps de cligner des yeux, que la brebis volait au dessus du feu, séparée de toute peau et poile. Sa magie me fascinait, à un tel point que je ne bougeais plus, émerveillé par se qu'elle venait de faire.

-En tant que Silvana, tu devras donner tes pouvoirs à un vampire ?

-Je ne le ferais pas, et puis surtout pas à toi. riait-elle.

Je n'en voulais pas de ses pouvoirs, je voulais juste lui montré à quel point elle m'attirait. Et puis, elle était loin de se doutée qu'elle le demanderai plus tard. Une question sorti toute seul de ma bouche.

-Comment on tue un sorcier ?

-Tu veux me tuer ?

-Non loin de là, mais j'ai des contes à régler.

-Pour tuer une sorcière, ou un sorciers, c'est comme pour les humains. Si ils se vident de leur sang,... Par contre ils pourraient toujours revenir car ils ne seront pas encore de "l'autre côté". La meilleur solution est de lui planter un couteau en argent dans le cœur.


Alors c'était donc ça. Ils savaient très bien que j'avais exterminé une bonne partie de sorcières avant la mort de Delirra. Il voulait que je leur dise comment, comme ça eux pourront tuer Silvana. Ils se servaient de moi dans le but que je leur révéle des informations sur la mort d'une sorcière, mais aussi que je leur donne ses points faibles.

La seul chose à laquelle ils n'avaient pas pensé était le fait que j'avait aimé Silvana et que jamais je ne pourrais la trahir. Alors non je ne donnerai aucune information. Où peut-être bien.

Je sorta de mon lit direction la pièce principale. Tout les membres y étaient, je m'installa donc confortablement dans le grand canapé prenant un verre de sang posé sur la table. Avant que je ne puisse boire une gorgée. Florient m'arrêta posant sa main sur mon épaule.

Je me retournais pour lui faire fasse et souffler. Je ne connaissais que trop bien le regard qu'il me lançait. Le regard qui demande des informations.

-Il 02 heure du matin, commençais-je avec ironie, la lune est presque plaine, il fait actuellement -10 degrés à l'extérieur et bien 20 degrés à l'intérieur.

-Je ne plaisante pas Félix, dit durement l'homme.

-Ok ok. Pour tuer une sorcières il faut lui planter un pieux en bois de cerisier dans le cœur. Comme nous sauf que nous c'est un pieux en bois de chêne pour les vampires.

-Merci mais tu pourrais faire mieux. Il nous reste peut de temps et tu ne nous es pas d'une grande utilité.

-Parce que vous l'êtes peut-être ? Vous êtes avachis dans votre fauteuil toute la journée à siroter un verre de sang se tournant les pousse pendant que moi j'essaye de récolter le plus d''informations possible pour vous, et tu me dis encore que je ne suis pas utile. Va te faire foutre Florient.

Sur ce, je pris ma veste en cuire noir direction un bar me détendre un peu. En passant dans une rue je remarqua la meilleur amie de Minerva, accompagné d'une bande de jeune. Je m'approcha et tira l'épaule de la jeune fille qui releva immédiatement les yeux vers moi. Elle était plutôt jolie, petite, mince blonde aux yeux bleu. Quand elle me vu elle fronça les sourcils, ne me connaissant pas.

-Tu dois être la meilleur amie de Minerva Teurley ? demandais-je.

-Oui c'est moi pourquoi ? Il s'est encore passé quelque chose ? Et qui êtes-vous ?

-Je suis un ami et non il ne sait rien passé, je tenais juste vous dire de la garder à l'œil car elle cour un grave danger. C'est de la part de Félix.

Je tournais des talons, ne l'a laissant pas riposter. Je ne savais pas pourquoi je lui en avais parlé, je ne connaissais même pas cette fille. Et pourtant je l'ai fait, et je ne regrette pas.

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