Chapitre 8 -
Chapitre écrit successivement à des heures très tardive, donc sûrement remplit de fautes. Je suis vraiment désolé ! J'espère que vous aimerez quand même.
Plus tard, Farah m'a téléphoner et s'est excuser un millions de fois. J'ai tout fais pour abrégé son discour : Farah m'était dévenue presque insuportable, sans aucune raison. Je ne voulais juste plus lui parler, et quand elle insistait, elle m'énervait.
Comme je l'avais deviner, ma mère à fondue en larme en me voyant. Elle rentrait à peine du travaille qu'elle a foncée sur moi. Mon père m'a dit que si au bout d'un certain temps, des vertiges, des vomissements ou ce genre de symptome apparaissaient nous devrons aller à l'hôpital. Heureusement non. Mardi je ne suis pas aller au lycée, et ma mère a même pris sa journée pour me dorloter et me chouchouter. Je devais avouer que c'était agréable d'être juste nous deux, à ce faire chouchouter par sa maman. Elle est venu me voir dans ma chambre pour me réveiller, elle s'est assise au bord de mon lit, a rapprocher son visage du mien en me carressant la joue.
- Ca va mon bébé ?
J'avais hocher la tête, les yeux fermer.
- Je t'aime mon amour, je t'aime très très fort...
Sa voix était douce, basse, comme un murmure. Ca m'a rappeller quand j'était tout petit, et que ma mère me ressurait. Ou quand j'étais très malade, elle se penchait vers moi et je sentais son souffle chaud, son odeur rassurante... J'avais oublier ce que ça faisait d'être son petit garçon. Ce genre d'attentions étaient devenues si rare depuis quelques années... depuis que j'avais grandi. Depuis que je gardais tout pour moi.
Mais c'était un sentiment incomparable que d'avoir cette présence rassurante près de moi.
Pourtant il a bien fallut retourner au lycée. J'avais un léger oeil au beurre noir et la pommette bleuette. Ma soeur a eu un plaisir sadique en me voyant partir pour le lycée. Je n'y ai pas fais attention. Tout le monde me dévisageait comme une bête de foire, certains me fixaient, ou plutôt ma blessure. Gaël a insiter pour faire une photo, et même plusieurs. A ma grande surprise, Constance à fait comme si notre "dispute" n'avait jamais eu lieu (Louanne m'a fait un clin d'oeil, l'air de dire que c'était grace à elle) et m'a dit :
- C'est trop cool ce que t'as fait, mon copain est un héro !
Et elle m'a serrer le bras en posant sa tête sur mon épaule, toute rougissante. Moi aussi j'ai rougis. Je n'étais pas sûr que ce que j'avais fait était vraiment cool, mais plutôt stupide. Personne ne me l'a franchement reproché, mais j'aurais du aller chercher un surveillant avant même que la bagarre ne commence : à la place j'étais rester pétrifier le regard braquer sur William.
Celui-ci m'ignorait royalement. Lui et Constance se toléraient, mais chaque fois que nous étions tous ensemble, c'était difficile pour moi. Quand William était dans les parages, je ne pouvais pas m'empêcher de le fixer, j'avais envie qu'il soit là, mais en même temps je ne le voulais pas. Il gardait ses distances. Ca me blessait. Ca me faisait mal. Mais j'en faisait de même, du mieu que je pouvais. Tout était plus facile lorsqu'il n'était pas dans le coin, au point que moi et Constance nous soyons grandement rapprocher. Je lui laissais me tenir la main de temps en temps lorsqu'il n'y avait pas trop de monde. Il lui arrivait même de me smaquer avant de retourner en cours, et à chaque fois en s'en rendant compte, elle souriait de toute ses dents en s'enfuyant. Je restais bouche bé. Nous avons eu notre premiers rendez-vous au centre commerciale. C'est maman qui m'y à déposer, alors forcément elle m'a poser pleins de questions.
Malgré ce rapprochement, je restais obsédé par William, il occupait toutes mes pensés. Parfois il surgissait dans mon esprit sans prévenir, quand je me lavais les dents, en cours ou pendant que je déjeunais avec Gaël. William était souvent en retard pour déjeuner avec nous. Il restait évasif sur le pourquoi du comment, mais généralement nous ne lui posions pas trop de questions. Je me rappellais ses mots, ses gestes... Et quand il a sourit en carressant mon ourse en peluche. William me hantait.
Malgré sont indifférence à mon égard, il devait continuer à faire son travaille : Samantha ne me causait plus aucuns problème. J'étais libre, enfin : ce qui ne faisait que renforcer mon admiration pour William. J'étais obsédé par lui. Je mourrais d'envie qu'il m'embrasse de nouveau.
Aujourd'hui ma blessure était beaucoup moins marqué. C'est Gaël qui me l'a fait remarquer durant le déjeuner ; nous étions que nous deux, les filles mangeaient entre elles et William était en retard -comme toujours pour le déjeuner- mais encore plus que d'habitude.
- Toi et Constance ç'a à l'air de marcher, avait-il dit en aspirant une spagetti.
- Ouais, avais-je répondu évasif.
Gaël m'a dévisager bizarrement.
- Mais t'es un putain de menteur, s'exclame t-il. Mes fesse que ça marche, vous vous roulez des pelles parfois ? Tu lui a déjà rouler un bon patin, genre à la limite de lui bouffer les amidales, alors que c'est elle que t'essais de bouffer ?
Etait-ce une vraie question ? Si oui, elle est très étrange. Et je n'ai pas envie d'y répondre. Alors je me contente de hausser les épaules. Gaël se penche vers moi l'air grave.
- Je t'ai jamais vue aussi bizarre Will. Il y a un problème ? Entre toi et Constance ?
Je ne savais pas si me confier à Gaël était ce qu'il y a de meilleur, pourtant je l'ai fais. Et j'ai prier pour ne pas regretter.
- Bah, c'est juste que... qu'elle ne m'attire pas. Enfin, j'adore Constance, je l'aime, mais pas comme une petite amie, plus comme une amie. Alors que Constance, elle, m'aime vraiment.
Gaël me fixe avec de grand yeux.
- Tu vas rompre ?
- Non.
J'avais répondue immédiatement, sans réfléchir. Pour des milliers de facteurs différents, je ne pouvais pas rompre avec Constance. Ca la détruirais, ça détruirais notre amitiée, notre groupe, et ma vie. Donc je ne romprais pas avec Constance.
Mon résonnement me semblait complètement con. Mais j'avais trop peur si je me m'étais à chercher d'autres solutions.
- T'as raison, parce que t'as eu de la chance qu'une fille comme Constance s'interresse à toi !
Vous savez, ces paroles dîtes innocement mais qui vous blesse jusqu'à l'âme ? Gaël venait de tomber dans le mille. Il n'en n'avait absolument pas conscience, et je n'ai rien laisser paraître alors qu'au fond j'avais l'impression qu'un lion venait de me donner un coups de pattes griffes toutes sorties.
Puis William est arrivé. Je l'ai regarder venir vers nous, plateau en main, comme hypnotisée. Sa silhouette sombre se dessinait dans une démarche féline. Un prédateur après la chasse. Ou avant. Il s'est assis à coter de moi et j'ai du retenir mon souffle. Lui et Gaël entamaient la discutions alors que moi, tout ce que j'avais en tête, c'était que William était assis à coter de moi, à moins de trente centimètres. J'imaginais son souffle, sa poitrine qui se soulevait doucement, ses cheveux bouclé d'un brun profond et ses merveilleux yeux gris. Comme si on lui avait injecté la couleur du métal brillant au soleil dans l'iris. Puis j'ai sentie son genou touché le miens, et j'ai eu comme un déclic, j'ai pris peur. Je me suis lever en marmonant que je devais aller à l'accueil rendre un papier administratif.
J'ai du faire un effort surhumain pour ne pas me retourner, mais je sentais deux clous brillant planter dans mon dos.
William, William, William.
Les couloirs, le midi, sont désert. Je me suis retrouvé à errer, avant de m'assoirs dans les escaliers du premier étage. Sans pouvoir voir les escaliers du rez-de-chaussez, les deux étaient ouvert et j'entendais parfaitement les allés-venus de rares élèves.
J'attendais. William occupait tout mon esprit, je me passais en boucle nos scène de baisés, lui carressant tendrement mon ourse en peluche, lui pour qui je me suis pris un coup de poing... Lui qui avait faillit m'embrasser dans la cours, avec mon père dans les parages. Et le pire, je l'aurais laisser faire. J'avais des papillons dans le ventre en y repensant, une douce chaleur comme une onde me parcourait des pieds à la cervelle me faisant même frissonner. J'aimerais tant savoir ce que ça ferait si lui aussi ressentait tout ça...
- ...mec chelou. Je comprend pas ce que tu lui trouves ! s'exclame une voix, suivit du bruit des sacs qu'on pose lourdement.
Je me pétrifie en entendant des gens s'installer à l'escalier juste en dessous. J'ai arrêter de respiré.
- Ouais, il est un peu spécial, mais je l'ai vue avec des vêtements normaux et je te jure il est magnifique ! s'exclame une voix que je reconnais immédiatement. Mais tu peux pas comprendre, tu le connais pas. Il est tellement... mystérieux. A coter Edouard Collen c'est une petite bite.
Elles pouffent de rire, avant qu'elle ne continue.
- Ce gars, il est intense. Il t'embrasse pas, il te fais l'amour. Il te parle pas, il te chuchote des merveilles. Et il est tellement romantique... souffle-t-elle dans un soupire.
- Romantique ? Un mec qui ne veut pas dévoîler votre relation au grand jour ? mouais, j'y crois moyen.
J'imagine très bien sa copine lever les yeux au ciel. J'étais sur le point d'asphyxier mais j'étais terrorisé à l'idée qu'elles me surprennent à les écoûtés. Alors je ne faisais aucun bruit.
- Il veut pas que les autres parasites notre histoire, t'es conne ? crache cette salope d'un ton venimeux. Dès que je l'ai vue, je l'ai détesté et adoré en même temps... La passion interdite à tout de suite tilter entre nous. Et quand il m'a embrasser, oulala... Il embrasse encore mieux que Grégore.
Je l'entend soupirer, sans savoir ce que signifie ce soupire, parce qu'après elle ajoute ;
- Si seulement il avait pas ce pd de Will comme pote, sérieusement. J'crois c'est sa phase de traîné avec des cas social.
- Attend, c'est pour ça que tu lui cherche plus des noises ? Oh, le soulagement, j'ai crus que tu commençais à avoir de la compassion pour ce type... Mais William nous a surpris dans les toilettes, il devrait te haïre !
- Allo ! L'amour c'est plus fort que la haine, mais t'es vraiment conne. En plus, il a dit qu'il aimait bien mon côté connasse/salope...
- Ah ! Tu t'es trouvé un partenaire pour tes penchants SM ! rétorque-t-elle en riant à gorge déployé.
Quand j'ai porter ma main à ma joue, j'étais en train de pleurer.
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