Chapitre 6.

Désoler d'avance pour les fautes... J'espère que ce chapitre vous plairas ! Commente, vote et partage, ça fait super plaisir ! Bonne lecture ! \(*_*)/


J'avais rêver de William. Mais c'était pas un rêve érotique, non, il ne faisait que me calliner. C'était si agréable... Nous étions assis sur le cannapé, et il ce faisait tard. On regardait un film, mais je n'avais d'yeux que pour lui. Il a remarquer que j'étais mort de fatigue, et d'un coup on s'est retrouver dans mon lit. J'avais la tête enfouis dans son cou, il sentait bon. Il avait un bras sur ma hanche, j'avais les mains poser sur son torse et lui le menton sur le heut de mon crâne. Nous somme rester comme ça. J'ai eu l'impression de passer ma nuit dans ses bras.

-Debout le soldat rose, il est presque midi, s'exclame ma soeur en me secouant comme un prunier.

-Ok, j'arrive ! criais-je en la repoussant.

Je la détestais. J'étais si bien dans les bras de William, je la détestais de m'en avoir sortie. Quand j'ai ouvert les yeux, la lumière m'a éblouit. J'avais mal à la tête, et un goût immonde dans la bouche. Pourtant je ne crois pas avoir vomis.

-On dirait que le petit soldat rose est au garde à vous ce matin...

Je lève les yeux vers ma soeur, qui me dévisage avec un sourir sarcastique. Je suis tellement fatigué et ma tête me fait tellement souffrir que je n'ai pas tout de suite compris l'allusion. Quand l'information monte au cerveau, j'attrape mon oreiller et la pousse en la frapant avec en criant qu'elle dégage de ma chambre. Elle ce fout de ma tronche, mais j'arrive tout de même à lui fermer la porte au nez. Pourtant elle continue.

-Hé, me dit pas que t'a le chapiteaux qui ce dresse tout les matins ? ou c'est moi qui te fais cet effet là ? cri-t-elle à travers la porte.

Je donne un grand coup dans celle-ci pour qu'elle ce taise. Je l'entends rire pendant qu'elle descend les escaliers. Je suis furieux et mort de honte, mais c'est finallement la honte qui l'emporte. Rouge cromoisie, j'attends que mon erection ce soit calmer pour oser sortire le nez dans le couloir, en vérifiant bien qu'il n'y ai personne. En jogging et t-shirt, je vais dans la salle de bain pour me passer de l'eau sur le visage. William avait raison, j'ai une mine horrible. J'essais de me coiffer un peu, tout en évitant mon regard dans le miroir.

Je descend et rejoins la salle à manger. A mon arrivé, maman et Ginny ce taise. Enfin, Ginny ce retiens d'éclater de rire plutôt. Maman me regarde comme une mère poule qui ce veut rassurante, mais je n'ai jamais eu aussi honte de ma vie devant elles.

-Tu sais chéri, c'est normal pour un garçon de ce réveiller avec une... enfin ce que je veux dire, c'est que tu n'as pas a en avoir honte, dit-elle calmement, comme si elle me parlait du dernier Twilight.

Est-il possible d'avoir pire conversation pour le petit déjeuner ? Je m'assoie à ma chaise habituel en grognant que je ne veux pas en parler. Mais ma soeur n'est pas du même avis.

-Alors, t'as finis par faire cracher la Gaule ? ricanne t-elle.

Je détourne le regard et mange mes céréales en l'ignorant. Ma mère pose brutalement la bouteille de lait sur la table, et fronce les sourcils. Mais elle aussi elle s'est retenu de rire au début.

-Alors là Ginny je te trouve immature ! s'exclame-t-elle faussement autoritaire. Tu veux peut être qu'on parle de la fois ou je t'ai surprise en train de te masturber ?

Ginny et moi avont tout les deux recracher notre petit déjeuner. Je peux pas m'empêcher de penser que moi, au moins, je ne mettais jamais fais surprendre. Mais je me serais bien passer de savoir le fait que ma soeur ce masturbe.

-Maman ! s'exclame Ginny indigné.

-Tu l'as chercher, dit notre figure maternel en touillant son café.

S'en est trop pour moi, je me lève et sort de table. Ma mère proteste, soit-disant que je suis trop maigre pour pouvoir me permettre de sauter un repas, mais Ginny la retiens en braillant. Je retourne m'enfermer dans ma chambre.

Je ne sais pas quoi faire. J'ai fais mes devoirs samedi, avant d'aller à la fête. J'ai finis de regarder tout les épisodes de mes séries. J'ai plus aucuns bouquins à lire. Je prend mon ordinnateur, mais je ne suis pas inscrit sur twitter, instagrame, ni facebook. Je me contente d'ouvrir youtube et de laisser tourner ma playlist. Je prend une feuille, un crayon et assis sur mon bureau je dessine. Au début je dessine un peu n'importe quoi, mais au bout de queluqes croquis je remarque qu'un des visages est plutôt bien fais et symétrique. Alors je commence à dévelloper mon dessin.

Au bout de je ne sais combien de temps, mon téléphone vibre, mais je l'ignore absorber par le dessin des cheveux. Je n'arrive pas à les faire comme je veux. Le téléphone sonne une deuxième fois, et là je réponds en mettant sur haut-parleur. J'éteint le son de mon ordinnateur.

-Allô ? dis-je distraitement.

-Allô, Will, tu vas bien ?

Je sursaute en reconnaissant la voie de Constance. Je reste immobile, un moment. Les grésillements m'indique qu'elle est toujours présente. Au bout d'un moment, elle me redemande si je vais bien, et je me décide enfin à parler.

-Euh, ouais, un peu mal à la tête mais sinon rien de grave, dis-je d'une voie neutre.

-Tant mieu, parce que moi je me coltine une cuite d'enfer ! gémis-t-elle.

Il y a un moment de silence.

-Et, euh, pourquoi tu m'appelles au juste ?

Elle me réponds par des grésillement. En faîte, je crois qu'elle est dans son lit et change de position. Ou alors dehors, et le vent souffle dans le micro.

-Pour parler du baiser et... entendre ta voix, dit-elle un fois les grisillements tue.

-Lequel ? demandais-je.

-Hein ?

-Lequel baiser ? redemandais-je en me remémorant le second.

Un frisson d'horreur me traverse le dos.

-Bin, dit-elle semblant peiné. Celui qu'on a échanger à la fête. Tu sais, quand t'es venus me rejoindre au milieu de la foule. C'était super romantique.

-Ah. Celui là.

-Pourquoi, il y en a eu d'autre ? demande-t-elle gêné et surprise. Tu sais, les filles m'ont fait enchainer les verres et je crois que j'ai un peu fumé de leur merde là, alors la soirée reste un peu flou...

Pour moi aussi elle a été assez flou à un moment, mais je n'étais pas inconscien au point de violer quelquer. A moins que personne ne m'ai assez attirer pour que j'essais. En tout cas, je viens d'apprendre quelque chose sur Constance : elle fume "de leur merde". Je sais pas ce que c'est, mais je ne pense pas avoir envie de le savoir.

-Et puis tu sais ce qu'il m'est arrivé ? t'es tout seul dans ta chambre ?

-Ouais, dis-je en reprennant mon dessin.

-Quand je suis aller à la voiture avec les autres pour rentré, William à carément refuser de me laisser monter !

Je me stop et fixe le blanc pur de la feuille.

-Il m'a dit je crois, des trucs du genre... "Je laisse pas entré les gens défoncer" alors que tout les autres étais aussi saoul que moi, bon sauf Théo qui supporte bien l'alcool, mais sinon Gaël et Louanne était limite évanouis ! et c'est pas tout, il m'aussi dit un truc du genre "Si tu sais pas contrôler tes hormones bois pas comme un trou" "Compte pas sur moi pour te reconduire, démerde toi" je te jure ! J'ai dus dormir avec les pire poirots de la fête chez Dan ! Et le lendemain j'ai dus aussi aider à ranger... Je suis grave en colère contre William, c'est vraiment un sal type, il me laisse en plan comme ça... grr.

J'en reviens pas. Pas possible. Lui qui s'était foutue de ma gueule, il a refuser de ramener Constance chez elle. Une étrange sensation m'envahit ; de la joie, de l'euphorie. C'est inconpréensible. Je suis heureux que William ai planter Constance parce que je lui ai dit qu'elle avait tenter de me violer.

-Pourquoi t'est rentré plus tôt au faite ?

Toujours noyer dans mes pensés euphorique, je lui réponds que vaguement, l'écoutant d'une oreille.

-J'étais juste pas très bien, je supporte pas trop l'alcool.

Puis de nouveaux un silence, mais il ne me gène pas. Je baisse les yeux sur mon dessin, et l'idée me vient de faire des cheveux bouclé à mon personnage. Je m'applique pour qu'elles aient l'air ébouriffé.

-Will, est-ce qu'on sort ensemble maintenant ?

J'en casse ma mine. Pourquoi il fallait qu'elle me pose la question maintenant ? Que lui répondre ? Ce qu'elle attend, j'imagine.

Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non...

-Oui, répondis-je mécanniquement.

Et j'ai soudain l'impression d'être le pire connard de tout les temps. Mais j'ai pas envie de la blesser, de perdre son amitié. J'invente une excuse bidon pour raccrocher.

L'image de William me revient en mémoir. Ses deux baisers aussi, et la sensation me manque. Ses lèvres, ses mains, ses carresses ma manques. Qu'elles ont un sens ou pas je m'en fiche. Que ce soit mal ou bien je m'en fiche. Je veuc juste qu'il recommence, encore et encore, et qu'il me garde dans ses bras toute la nuit, comme dans mon rêve. J'ai envie de passer mes mains dans ses cheveux, et de voir ce que ça fait d'être dans ses bras, proche de lui. Une sensation étrange me traverse. Comme des papillons. Une sensation brève mais tellement agréable... Tellement agréable que j'ai crus l'avoir rêver.

Trois frappes puis la porte s'ouvre sur ma mère.

-Mon coeur, il y a un de tes camarades de classe qui est là. Je le laisse entrer ? demande t-elle en regardant discrètement mon dessin.

-C'est qui ? demandais-je encore un peu dans les vapes, toujours William en tête.

-William. Il dit qu'il doit récupéré quelque chose que tu devais lui donner, dit-elle en m'observant.

Un coup de poing au ventre. William. Devant la porte d'entrée. D'un mot, il pourrait y rester. D'un mot, il pourrait venir ici, dans ma chambre, mon entre à moi, mon univers. D'un côté j'ai peur de devoir parler de ce qu'il s'est passer hier. D'un autre, j'ai follement envie de le voir. Mais je sais ce qu'il veut, et les thermes de notre marcher on été clair. Il a dit que ce serait bien pire si je ne payais pas. Il a fait sa part du marcher. A moi d'honorer la mienne.

-Tu peux le faire monter ? demandais-je en regardant le bordel dans ma chambre. Je vais essayer de ranger un peu.

Ma mère arrondie tant les yeux qu'ils pourrait sortirent de leurs orbites.

-J'espère qu'il marche lentement, dit-elle en contemplant le désordre.

Je lève les yeux au ciel, et dès qu'elle est sortis je me jette sur mes affaires pour les ranger là où elles seront invisible à l'oeil. Sous le lit, dans les tirroirs, et là où il a de la place. J'enfonce un tas de vêtements dans ma commode quand un toussotement attire mon attention. William est dans l'encadrement de la porte, un sourcil lever, il me dévisage. Il sourit, comme si il ce moquait de moi intérieurement. Je déteste ça !

Je ferme le tirroir et l'invite à entrer. Sans trop savoir pourquoi, je ferme la porte derrière lui. William ce place au centre et observe chaque recoins. A mon tour de toussoter. Il me regarde, impassible.

-Tu es venus pour l'argent ? demandais-je en ignorant les images des baisers qui afflue dans mon esprit.

-Oui, tu esperais peut-être autre chose ? dit-il avec un sourir de prédateur (sexuel).

Je déglutis et sens le rouge me monter au joues.

-Non, arrête de dire n'importe quoi, répondis-je en me dirigeant vers la veste poser sur ma chaise de bureau.

J'en sors mon porte monaie et de celui-ci les dix euros. Je lui tend le billet. Il le prend et le range dans sa poche. Lorsqu'il lève ses yeux gris d'acier vers moi, je remarque qu'ils sont entouré de masquara. Si mon père voyait William, il me tuerait. La même sensation que tout à l'heure, un éclairc de papillons me traverse le corps.

-On... Doit en parler ? dis-je en regardant ailleur.

William fait un pas.

-De ? demande-t-il en me regardant.

Ses cheveux sont détacher, j'ai envie de passer ma main dedans.

-Tu sais... dis-je en braquant mes yeux sur ses lèvres, c'est plus fort que moi.

-Oh... tu veux parler de ça...

Avant que j'ai pus faire un mouvement, il ce penche et dépose un furtif baiser sur mes lèvres. J'étais littéralement cramoisi, je le savais. On était dans ma chambre, ma mère et Ginny à côté. Si elles nous surprenaient...

-T'es pas bien ? dis-je à voix basse.

William hausse les épaules et ce laisse tomber sur mon lit. Mon rêve me revient en mémoir, et je crois biens n'avoir jamais été aussi gêné de ma vie. Il faut que je me calme. William a sortis de sous les coussins un ours en peluche que ma offert ma mère quand j'étais plus petit. Il traîne depuis toujours dans ma chambre. Je pensais que William allait encors ce moquer de moi avec un de ses sourirs sarcastique, mais non, il passe mes mains sur le tissus de la pelluche. Et il sourit. Un sourir normale.

Alors comme ça, William aime les tissus doux ?

-Je voix pas pourquoi tu te mets dans cet état pour quelques malheureux bisous, dit William toujours en passant ses mains sur le dos de l'ours.

Je suis si destabiliser par cet scène que je ne sais pas trop quoi dire. Un nounours dans les mains et le voilà métamorphosé. Je m'assois à coter de lui, les mains sur les genoux.

-On peux recommencer ? demandais-je.

C'était sortis, bam, comme ça. J'était secoué comme jamais, l'excitation et la gêne me submergeait.

La honte, la honte, la honte ! j'aurais pas du dire ça, on dirait un chien en manque d'affection !

William tourne les yeux vers moi, il est toujours normale. Il réfléchit, je crois. Mais il réfléchit à quoi ? C'est la première fois que je ressent autant pour quelqu'un, c'est tout drôle. C'est à la fois rapide, excitant, étrange, et... appeurant. Ses sourcils ce fronce légèrement, comme quand on est concentré sur un problème de math.

-Will, c'est la première fois qu'un garçon t'embrasse ? demande-t-il curieux.

Je réponds en baissant les yeux. C'était la première fois qu'on m'embrasse tout court, mais impossible de lui avouer. Je n'arrive pas ouvrir la bouche. Je n'arrive même pas à lever la tête, il me fixe toujours. Mes joues crâmes comme des merguez. Sa main viens carresser mon poigner si fin. On peut voir les veines bleuâtre à travers la peau, deux tendons ressortent. Je trouvent ça si horrible, la vue de cette chose, que j'en tremble. William retire sa main, puis il part. Comme ça. La peluche poser sur le lit. Il n'est plus là, il est partit. Je me suis pris un râteau on dirait. Et ça fait mal. J'ai l'impression qu'une main viens d'attraper mon coeur, et le presse de toutes des forces. Mes larmes montent, je m'allonge recroquevillé, mon coussin dans les bras, ma tête enfuit dedans, je pleure silencieusement.


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