Chapitre 5 - Partie 2. -

Les choses sont aller plus vite que je ne l'aurais crus. Et surtout que je ne l'aurais voulus.

J'avais bus, beaucoup trop, et la soirée me semblait flou dans ma tête. Je me souviens vaguement du jeu, de mon baiser avec William, de celui avec Constance, mais c'est à partir de là que tout s'embrouille. Je me souviens m'être angoisser, comme d'habitude, comme le peureux que je suis. Je me souviens avoir enchaîner les verres pour oublier la culpabiliter d'avoir embrasser Constance alors que je n'avais aucuns sentiments pour elle. J'essayais de me rassurer désespérement. Je me souviens qu'elle nous a rejoins pour le jeu, vaguement. Après ça commence à être le trou noir. Malgré tout j'essais de me souvenir comment j'ai fais pour attérire ici. Je me sens encore tout grogi, un peu... poisseux. J'espère ne pas avoir pris de drogue.

Pour la première fois de la soirée, je pouvais me détendre. J'étais dans une chambre plongée dans le noir et les bruits de la fêtes me parvenais à peine, comme si mes oreilles étaient bouchées. Allongé sur le lit, les draps fraie m'ont fait un bien fou. Ils étaient mouelleux, j'avais envie de me blottire dans cette couette. L'air de la chanbre était frais, et j'étais en sueur. Je déseoulais lentement, j'essayais de m'endormir mais impossible. Mes yeux ce fermait sans que Morphée ne me prenne dans ses bras.

J'ai à peine sourscillé quand la porte s'est ouverte, éclairant un peu la pièce et laissant le bruit s'immiscer.

-C'est occupé, dis-je d'une voix pâteuse.

-C'est toi Will ?

J'ai mis quelques secondes à reconnaître la voix douce de Constance. Parce qu'elle était un peu plus roque que d'habitude. Elle referme la porte et viens s'assoire au bord du lit. Mes yeux s'habitus à l'obscurité, et je peux la voir la tête dans ses mains en train souffler. Elle relève la tête, et me regarde avec un sourire. Je n'arrive pas à la regarder en face, je détourne le regard vers le plafond. Elle s'allonge à côté de moi, sa tête contre mon bras.

-Je crois qu'on a un peu trop bu, souffle t-elle.

Je la sens bouger à côté de moi, et je tourne la tête. On se regarde dans les yeux.

-Tu m'as embrassé, chuchote t-elle comme pour être sur que ce n'est pas un rêve.

-Oui, répondis-je.

-C'était réelle ? demande t-elle toujours sur le même ton.

Je hoche la tête, et elle sourie de toute ses dents. Elle est si jolie. J'arrive à discerner son visage dans le noir, ses yeux qui pétille, le maquillage qui entoure ses yeux et les rends encore plus grand, ses mèches rousse -blonde vénicienne- qui tombent négligeament sur son visage.

-J'aurais jamais crus... Je n'aurais jamais ne serraisse qu'imaginer que tu ais toi aussi des sentiments pour moi tu sais, chuchote t-elle en posant sa main sur ma joue. Je suis si contente. C'est juste... magique.

Pour elle ça l'était en tout cas. Malgré tout ses paroles m'ont toucher. Même si je ne comprennais toujours pas pourquoi ni comment elle pouvais avoir des sentiments pour moi. Elle était trop bien pour moi, ma culpabilité et mon angoisse remontaient vitesse grand V. Elle s'est alors penché vers moi, et ses lèvres ont immédiatement trouver les miennes. Je l'ai laisser faire.

Voilà comment j'ai attéris ici. Sauf qu'au fur et à mesure qu'elle m'embrassait elle devenait de plus en plus entreprenante. Elle s'est littéralement assise sur moi et m'embrassais à pleine bouche. Je la reconnaissais à peine, l'alcool devait lui monter à la tête. J'essayais de la frênnée mais elle ne voulait rien entendre. Elle me bouffais littéralement. La situation devenais clairement incontrolable.

-Constance.. je...

Elle m'a embrasser pour me faire taire. Je ne la reconnaissait plus du tout. Elle s'est mise à m'embrasser dans le coup et essayais de passer ses mains sous mon t-shirt. Je retenais ses mains comme je pouvais, j'essayais de la rembarrer mais je ne savais pas comment faire. J'allais quand même pas me faire violer ? Je ne voulais pas être violent avec elle, mais elle ne m'écoutait et continuais d'essayer de passer des mains sous mon t-shirt. Je commencer clairement à panniquer.

La porte s'est ouverte, plongeant la chambre dans la lumière. Constance s'est redresser et je l'ai remarquer immédiatement. Elle avait les yeux rougie. Elle était légèrement bourré et drogué. C'est pour ça qu'elle était devenu incontrolable. J'ai tourner la tête pour voir qui allais entrer, et j'ai vus avec stupeur Farah et William.

-Excusez-nous, chantonne Farah avec un voix suraïgu. On vous laisse terminer votre affaire.

Elle aussi devait être mal en point. J'ai fixer avec horreur la porte ce refermer. J'ai fixer William, qui lui aussi me regardait les sourcils froncer. J'avais une boule au ventre. Il m'a vus dans cet position suggestive avec Constance.

Celle-ci, à peinne la porte refermer qu'elle m'a sauter un nouvelle fois dessus. Sans que j'ai pus l'anticiper, elle a soulever mon t-shirt. Je ne voulais pas qu'elle me touche ou qu'elle me regarde. J'ai même pas réfléchis, j'étais totalement panniquer et horrifier par moi même. Je ne voulais pas qu'elle voie, sente, ou touche mon corps squellétique. J'étais horrible. Et je lui en voulait.

Malgré mes courbattures et mon esprit embrouiller à cause de l'alcool et du stresse de la cituation, j'ai réussis à littéralement pousser Constance. Elle est tomber du lit, et je me suis précipiter sur la porte en remmettant mon t-shirt en place.

-Will, attends !

Je ne l'ai pas attendu. Je suis sortis et me suis précipiter le plus loin possible de cette chambre. J'en ai marre, je veux rentrer, je n'aurais jamais dus venir. J'ai rejoins le salon espérant y trouver Gaël, mais aucunes traces de lui. J'ai sortis mon téléphone pour voir l'heure : il était presque une heure du matin. Même si je trouvais Gaël, je ne pense pas qu'il soit en état de conduire. C'était qui déjà notre Sam ? Vu comment Farah était torchée, pas elle. Je doute que Louanne ce soit retenu elle aussi. Par déduction, notre Sam doit être... William. Génial. En plus j'imagine que je vais devoir le payer directement en rentrant.

Je le cherche vingt minutes avant que Mia ne m'informe qu'il est dehors, devant la maison. Dehors je cherche attentivement, en plissant les yeux. Ma mauvaise vue et la nit m'empêche de bien discerner les formes, mais j'essais de repérer notre voiture en espérant qu'il y est. Oui, il y est, à coter de la voiture avec Farah à moitier évanouït à l'arrière. Il fume une cigarette -pendant deux secondes j'ai crus que c'était un join, j'ai faillis piquer une crise. Il me regarde arriver, et j'ai l'étrange impression qu'il me détail. Arriver devant lui, je perd mes moyens en croisant ses yeux gris acier.

-T'as finis avec Constance, demande t-il d'un ton un peu dure.

-On a rien fais, et de toute façon c'est elle qui a faillis me violer, dis-je un peu blesser.

Je me sentais vraiment mal, j'avais vraiment panniquer sur le moment. Le visage de William jusque là fermer ce détend et il commence même à rire. De moi ?

-J'ai aucuns de mal à te croire ! s'exclame t-il.

J'évite de le regarder dans les yeux, mais je fronce les sourcils.

-Tu insinus quoi au juste ? demandais-je aussi méchament que possible, mais c'était difficile, j'étais vraiment fatigué.

-Tu veux rentrer ? me demande t-il en tirant sur sa cigarette.

Il a changer de sujet d'un coup, je ne m'y attendait pas. J'ai hocher la tête en ravalant ma salive. Il a sortit son téléphone pour prévenir les autres, mais quand il a racrocher il m'a dit qu'ils restaient et qu'il devrait venir les chercher plus tard, ou qu'ils appelleraient un taxi. Je trouvais ça un peu salop de leur part de faire faire des aller-retour à William, mais ça n'avait pas l'air de le déranger.

Quand j'ai fait le tour de la voiture, j'ai marchée sur quelque chose qui ressemblais a du vomis. J'étais très, très dégoûter. C'était dégueu. J'ai lever les yeux et William ce retenait de rire. J'ai soupirer, et suis entrer dans a voiture, à l'avant sur la place passager. William à démarer et à allumer la radio. Il a essayer plusieurs stations, mais finallement il l'a éteint. J'ai poser ma tête contre la fenêtre, et la voiture s'est mise à rouler. Personne ne parlais, et quelques fois on entendait Farah geindre ou gémir dans son sommeil.

Ils étaient ensemblent tout à l'heure, j'imagine qu'ils ont dus coucher enssemble. C'est le plus probable, après tout Farah essais de mettre le grappin sur William depuis son arriver au lycée. Je regarde le conscerner du coin de l'oeil, il reste concentrer sur la route. Le silence est léger, et non pas pesant comme on aurait pus s'imaginer. On entendait que le bruit des roues sur la route. J'avais envie de savoir si ils l'avaient fait, mais je me suis retenus de le lui demander. Remarque, lui m'avait bien fait une remarque sur Constance et moi... Non, de toute façon je n'aurais pas le courage du lui poser la question.

Je l'observe discrètement, profitant du spectacle sous mes yeux. La lumière des farres et des lampadaires que éclaire la route ce reflète dans les siens. Il reste concentrer sur la route, les deux mains sur le volant. Il a de grandes mains. Il a un long coup, et ce tiens bien droit. Ses cheveux son lacher, et ses boucles brunes lui donne un air plus sympathique que quand il les a attacher. Ses lèvres son très rose, on dirait presque qu'il met du rouge à lèvre. Mais ça ne brille pas, donc j'imagine que non.

Malgré tout je me demande pourquoi ses lèvres avaient un goût de chocolat.

D'un coup il frêne brusquement, je pars en avant mais la ceinture et -non sans surprise- le bras de William me retiens.

-Ca va ? me demande t-il en m'observant attentivement.

-Oui, t'en fais pas, qu'est ce qu'il s'est passer? demandais-je perdue.

-Ces enfoirés connaissent pas la prioritée à droite, marmone t-il. Putain !

Il est clairement en colère. Il respire fort pour ce calmer, puis redémare. Je n'ose pas ouvrir la bouche. Je repose ma tête contre la vitre, cette fois bien décider à dormir le reste du trajet. Pourtant je reste les yeux ouvert et fixe la route. Je sursaute quand Farah ce met à ronfler. William soupire, et je serais tenter d'en faire de même.

-Tu vas bien ? demande William.

Je me retourne complètement vers lui, sa question me semble un peu bizarre.

-Oui, c'est pas un freinnage un peu brusque qui va me tuer, dis-je en baissant les yeux.

-Non, c'est juste que... il tourne furtivement la tête vers moi, un sourcil lever, puis ce reconscentre sur la route. T'as vraiment l'air pas bien.

C'est à mon tour de lever un sourcil. Certe je suis flatter qu'il s'inquiète pour moi, mais je ne vois pas ce qu'il veut dire. Il le comprend et baisse le miroir devant moi avant de remettre ses deux mains sur le volant.

Mon reflet me glace le sang. J'ai l'air d'un cadavre, je suis pâle et mes yeux son entouré d'immense cernes noir. J'ai les lèvres sèche et la bouche pâteuse. Le reste est comme toujours, et je crois que c'est ça qui m'horrifie le plus. Je rabat le miroir et plis mes jambes contre mon torse. William a remarquer que j'était mal, et pas que à cause de l'alcool, mais il n'a rien dit, et je l'en remercie. Il a vus comment j'ai réagis en voyant mon reflet.

Le reste du trajet s'est passer dans le silence complet, sans même la musique de la radio.

Au bout d'environs une heure, on était arriver devant chez moi. Toutes les lumières était éteinte, mais ma mère m'a sûrement laisser une clé cacher à l'entrée. Il ne me reste plus qu'a dire merci et aurevoir à William, et je pourrais me blottire dans mon lit et oublier cet soirée. Seulement je me souviens que je dois payer William.

- Ca te dérange pas si je te donne ton argent demain ? demandais-je en baissant les yeux.

Il ne répond rien, mais je sens son regard d'acier qui m'observe.

-T'as l'air tellement... fragile.

Je vois sa main ce diriger vers moi, puis ce poser sur la mienne qui était sur mon genou. Il la remonte le long de mon bras, et j'arrive pas à empêcher un frissons d'extase me traverser. Mais qu'est ce qu'il ce passe ? En même temps que ça main remonte, mon regard en fait de même, et je n'arrive plus à bouger quand mes prunelles croisent les siennes.

-Tout à l'heure, quand je t'ai embrasser...

Sa voie était hypnotisante. Ses yeux descande et ce posent sur mes lèvres.

-J'avais peur de te briser, mais c'était plus fort que moi.

Sa main viens saisir mon menton, et son pouce caresse mes lèvres. Je suis totalement en halène, j'attend juste la suite, qu'il le fasse, qu'il m'embrasse de nouveaux comme tout à l'heure.

-J'ai envie de recommencer, susurre t-il avec un sourir séducteur qui m'aurait horripilé en d'autre circonstence.

Et il le fait, il ce penche vers moi et m'embrasse. Sans hésitation j'ouvre la bouche pour pouvoir le sentire plus près, pour qu'il me carresse la langue avec la sienne, comme tout à l'heure. Il passe sa main sur ma nuque, me bloquant. J'étais moi aussi en train de répondre à son baiser. J'ai fermer les yeux pour en profiter un maximum, même si je ne savais toujours pas quoi faire de mes mains.

Un ronflement m'a ramener à la réaliter, j'allais me dégager mais la main de William m'a retenus. J'avais peur que Farah ce réveil et nous vois, mais je brûlais littéralement. Sa langue carressait la mienne et des picotement me parcourait le corps, des papillons voldinguaient dans mon ventre. C'était absolument génial. La chaleur ce propageais dans tout mon corps, comme un écho parcourait mes veinnes. J'allais pas tarder à bander si ça continu.

Petit à petit le baiser s'est fait de moins en moins intense, et William s'est séparer de moi, juste après m'avoir mordue ma lèvre inférieur. Il s'est remis à sa place, et s'est essuyer la lèvre avec un regard brûlant dans ma diretion. J'étais encore fout de désir et abasourdis. Je me suis rendu compte que moi aussi j'avais de la bave au coin des lèvres, et je l'ai essuyer rapidement en me demandant si je devais être dégoûter. En tout cas sa en vallait la peine.

Une fois de plus le ronflement de Farah me fait revenir à la réaliter et je sors de la voiture.

-Bonne nuit, dit William avec son demi-sourir que je trouve encore mille fois plus craquant.

-Bonne nuit, répondis-je alors que le rouge me montait au joues.

J'ai courus jusqu'a la porte, et devant celle-ci je me suis retourner. William a klaxonné trois fois et a redémarer en trombe, j'ai regarder la voiture s'éloigner avec de gros yeux. Bien sûr, plusieurs lumières ce sont allumé dans la rue à cause du vacarme, un voisin et même sortis. Je me suis dépêcher de prendre la clée cacher sous un pavée de l'allée et je suis rentrée discrètement. J'ai refermer la porte et je me suis précipité dans ma chambre. Mon père dort sur le cannapé, sûrement qu'il a passer sa soirée devant un match de foot. Si il n'y avait pas eu la fête, il aurait sûrement insister pour que je le regarde avec lui et aurais gueuler quand j'aurais refuser.

Je monte dans ma chambre sur la pointe des pieds, et m'effondre sur mon lit frais. Je repense à la soirée en me demandant si elle était génial ou horrible. J'ai eu droit à trois baiser et un viole -ou presque. Mais maintenant que la peur est passé, je n'en veux pas à Constance. De toute façon mes pensées ce dirige bien vite vers William. C'était mon premier baiser, et c'était pour un parie. Mais c'était tellement génial qu'on va dire que ça passe. Et puis le deuxième dans la voiture... Moi qui le croyait distant, indifférent, ça me faisait tout drôle. William à soudainement complètement envahis mes pensées.



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