Who are you sweatheart?


C'est triste de l'avouer, difficile à l'accepté, mais quand la personne que l'ont aime le plus ne nous remarque pas, on en souffre plus que tout. Doflamingo en ignorait l'existence de ce mot; "amour".  Ça sonnait comme faible à ses oreilles. Elle s'en souvenait comme si c'était hier, sûrement était-ce car c'était le cas? Elle avait annoncer, de manière peu fière, au blond ses sentiments à son égards, ces trois mots qui avait permit au blond, sans le savoir réellement, de la briser totalement: "J-je t'aime!...D-d-doflamingo!..." Ce jour là, dans la cours du bâtiment A, sous le grand saule pleureur, juste après le cours de statistique, les feuilles fanées de l'arbres tombées en voletaient dans l'aire, à ce moment là, le blond l'avait réduire en poussière avec une simple question "ouais, je veux bien, mais t'es qui?", suivit d'un rire sinistre et moqueur. Un pincement au cœur, une petite larme de tristesse et elle s'enfuit, trop honteuse de ce rejet qui n'en était en réalité pas vraiment un. Un grand silence de plomb se déposa sous le grand arbre, où Doffy était maintenant seul, desserrant sa cravate alors qu'il sentait la température de son corps montait pour coloré ses joues d'un roses pourpres. Il devait avoir attrapé froid. Son regard, cachait derrière ses lunettes pour le moins atypique, se tourna vers ses compagnons, ceux qu'il considérait comme sa "family". Ils avaient tout vue, n'avaient loupé aucune miettes de ce moment, dont ils riaient maintenant. Trebol, plein de sa morve qui écœurait souvent le blond, se mit à éclaté de rire en lui mettant des petites tapes plutôt violentes dans le dos. "Encore une Doffy! Hein?!" Le blond se refusa à répondre, bizarrement ça lui déplaisait qu'ils rigolent ainsi d'elle, il n'en avait pourtant rien à faire quand c'était avec les autres, alors pourquoi maintenant ça l'énervé autant? Il laissa de grandes veines parcourir ses tempes mais décida d'ignorait royalement leurs remarques incessantes et ennuyeuses. Cette gamine, Il veut la connaitre, savoir son nom, son age, ses goûts, tout, alors il ordonna à Viola de commencer des recherches. La brune avait jusqu'à demain pour trouver tout ce qu'il voulait, soit une mission plutôt aisée pour la jeune femme. Doffy se foutait bien du reste, il voulait juste savoir, l'intégrée dans sa family. 

Laissez moi vous faire imaginer la surprise et la colère du blond en sachant que même après une semaine entière de recherche, la danseuse n'avait su lui rapporter qu'une photo de famille à moitié brûlée. Ni nom, ni prénom, juste une photo de famille jaunit. Sur celles-ci se trouvait quatre enfants, le visage des deux géniteurs avaient était emporter par les flammes semblait-il. Parmi les enfants, trois étaient des garçons et l'une une fille, qu'il reconnue de par son uniforme et ses cheveux bicolores, c'était-elle, bien que son visage se soit aussi fait calciné. Il remarqua alors un palais en arrière plan, très grand et démodée mais restant tout de même majestueux, semblait-il qu'elle était riche. Il tourna l'image dans tout les sens, affaler sur son lit, et, alors qu'il lever la photo vers le ciel, une nouvelle inscription d'or apparue à travers tout ce cramé: "Valentino". C'était là une information des plus précieuse, son nom de famille. Le flamant attrapera son ordinateur et commencera quelques recherches, au début cela ne donner rien du tout. Jusqu'à ce qu'il trouve un forum où une personne sembla racontait quelques chose en lien avec la photo, étrange mais à la fois plausible. 

Les Valentinos seraient une famille très riches et nobles, bonnes manières et courtoisies sont obligatoire chez eux, connues pour leurs problèmes illégaux, tel que le trafique d'organes, de drogues mais aussi d'armes aillant servit à plusieurs guerres dans différents pays. Jamais ils ne se sont gêner pour en faire profit. Elle est composé de 4 enfants et deux parents, les enfants ont toujours eut des tendances violentes et un comportement quelques fois malsains. Lucy, l'aîné, avait de gros problèmes d'attachement à la viande humaine. Le second, Kévin, était un grand sadique, aimant voir les gens souffrir sous ses coups et riant à gorge déployée du  malheur des autres. Le troisième, David, avait toujours eut des amitiés pour la taxidermie humaine, son laboratoire en étant remplie. Quand à la dernière, jumelle de David, elle n'a jamais réellement eut de comportement violent à proprement parler, bien que des rumeurs courraient sur le fait qu'un jeune garçon de son âge ayant touché à un de ses instruments en a finit hospitalisé pour plusieurs années, rajouté à cela qu'un trop gros temps passé en sa compagnie donne une impression de malaise hors du commun. Malheureusement, un incendie fut déclarait dans la demeure et personne en survécu. On conterais que le soir, dans ces horribles décombres, accompagné de l'odeur de chair brûlée, on entendrait les dernières lamentations d'une enfant accompagné d'une mélodie. Là encore, des débats se clash, certains disaient entendre que celle-ci était joué au violon, d'autres à la contrebasse voir même à la guitare. Rajoutez à cela qu'il existerait une toute petite cabane dans laquelle se cacherait les trésors familiaux, dont tout le monde tenterait de s'en emparé. 

Doflamingo fronça les sourcils, elle ne peux pas être mort, il y a encore une semaine elle lui déclarait sa flamme sous le sol pleureur du campus du CFA. Il continua ses recherches pendant plusieurs heures, il réussit à trouvait l'adresse de cette demeure avant de regarder l'heure. Il était trop tard pour aller y faire une petite visite. Le blond se leva donc afin d'allé prendre sa douche et se coucha en silence. Cette nuit fut mouvementé d'un cauchemar affreux qui lui prenait les tripes. Par chance il fut bien vite réveillé par un bippement aiguë  qu'il n'hésita pas à lancé contre le mur en grognant. Ce rêve horrible l'avait mis de mauvaise humeur, quelques veines apparurent sur son front alors qu'il remit ses lunettes -de mauvais goût-, la journée s'annonçait terrible. Après plusieurs minutes, la porte s'ouvrit, laissant sa mère entrait avec un plateau petit-déjeuner bien garnit, lui souhaitant bonne. Ce à quoi Doffy répondit par un "la ferme" glacial, l'adulte s'excusa et sortie de la chambre joyeusement, comme si tout était normal. Pourquoi agissait-ils comme ça? juste car ils avaient perdus Rosinante en étant trop stricte. Le blond se contenta de manger en silence avant de s'habillait et de partir dans la voiture où le chauffeur l'attendait. Pendant tout le chemin le blond continua ses recherches, tombant des dizaines et des centaines d'articles : "une famille mafieuse périt dans un incendie" ; "Un début parfait, une fin tragique" ; "Le feu décime une famille, plus aucuns survivants" ; "Un incident ou un coup des concurrents?". Impossible de séparé le vrai du faux dans tout ce tas d'informations, ça donné mal au crâne. Il soupira, ennuyé, éteignit son téléphone. Il n'avancé pas, rien de nouveau du tout. Toujours, il n'y avait aucun survivant, jamais on ne parler de la jeune fille qui semblait être inconnue des autres. C'était à se demandé s'il était sur la bonne piste, ou encore qu'elle n'existait pas. Pourtant il était sûre de l'avoir vue, d'avoir entendu sa petite voix cassée et tremblante, d'avoir vue une partie de son visage pâle. Pourquoi faisait-il ça déjà? pourquoi la cherchait-il? ça l'enragé. C'est vrai quoi, elle lui avait juste dit je t'aime, elle avait montré sa faiblesse, il devrait rire d'elle au lieu de la chercher, non? Alors pourquoi. Elle était faible, une faible parmi tant d'autres. Le blond avait décelait quelques chose d'étrange venant d'elle, ça l'avait attiré comme un idiot, un papillon qui se bloqué et s'enfonçait dans cette toile d'araignée, ne pouvant plus qu'attendre que la bête rentre le dévoré. Elle hantait ses pensées, jouait avec le fils de ses émotions et de ses croyances, il était devenu un simple pantin bon à jeter. Il en avait marre, il n'en pouvait plus, souhaitant que tout cela s'arrête, que tout revienne normal.  Il voulait se calmé mais impossible. Doflamingo sortit de la voiture, grognant à cause du froid matinal. 

Alors qu'il marchait en silence vers son groupe, s'étant placé près d'un muret, une jeune fille, qui couraient partout sans jamais regardé où elle allé, le fonça dedans, les faisant tout les temps tombé au sol . Elle se releva, ne s'excusant à peine, elle voulu partir mais le blond la refit tombé au sol, en profitant pour lui se relevait. Il était clairement de mauvaise humeur, effrayant et n'aller pas laissé passé ça même si c'était une jolie demoiselle. 

"Tu peux pas regardé où tu vas!?" 

Il lui mit des dizaines de coups dans les côtes, le visage, défigurant la pauvre jeune femme. Quand enfin on remarqua la scène, tous tentèrent de faire reculé le blond. Il voulait que cette journée se termine et vite. Une fois calmer, il rejoignit enfin sa family, chacun riait en montrant des photos du visage défigurer de la pauvre fille, semblait-il  que cela était hilarant. 

"Bravo doffy! t'y es pas aller de main morte! 
-oh, tu aurais su faire mieux que moi Diamante. 
-Non non, je t'assure!
-Si, je te promet.
 -Mais non enfin! ne dit pas ça!
-si si.
-Arrête donc!
-D'accord.
-bon ok j'aurais fais mieux! tu as raison je suis le meilleur!" 

Doffy haussa les épaules, détournant le regard. Son coeur loupa un battement : Tremblante, la jeune fille qui obsédé toutes ses pensées, l'observé timidement cachait derrière un mur. Elle devint rouge tomate lorsque, enfin, elle remarqua que le blond l'avait repérer. Doflamingo sentit ses joues chauffaient, lui monté jusqu'au oreille, juste en la voyant. Il tenta de se rapprochait, commençant à lui demandé son nom, mais à peine avait-il cligné des yeux qu'elle n'était plus là, laissant comme seule trace de son passage son sac de cours. Il était brun, en bandoulière, couvert de pins colorés. Certains représentaient juste de simples symboles indéchiffrables, trois autres représenté des personnes. L'un au cheveux long et violet, dont les pupilles était inexistante et à la peau pales comme une poupée. Le suivant représentant un blond, au bout roses et méchés, plaqués parfaitement, un sourire charmeur sur le visage. Et le dernier était un simple visage de démon cartoonesque. C'était troublant mais il ne s'y attarda pas plus, il prit le sac sur son épaule, il valait mieux qu'il y jette un coup d'oeil une fois chez lui. Puis ça lui donné une bonne excuse pour aller à ce vieux palais apparemment décrépit. Le soir venu, dans la voiture, il commença à fouillé ce fameux sac, il y avait principalement des bouquin et des carnets, mais aucuns rapport avec les cours, c'étaient soit des notes dans un langage louche,  des partitions de musique ou encore quelques dessins aléatoires mais bien réalisé tout de même. Il trouva enfin quelques chose d'intéressant. Un carnet à la couverture brune et légèrement cramé, il datait, c'était certain. Le blond attendit d'arriver chez lui et de s'enfermer dans sa chambre avant de s'enfermer dans sa chambre et ouvrir à la première page, jaunâtre, écrit gracieusement à l'encre noir et profonde, à la plume "Propriété de S▅▅". Le prénom avait était rayé de manière grossière, mais il pu reconnaître en première lettre un S. "S.Valentino", c'était jolie tout de même, ça sonné gracieux au oreilles du blond. Il continua à feuilleté, rien de bien intéressant. Enfin si, tout était intéressant du point de vue du flamant rose, mais il n'avait pas réellement le temps. Tout était si étrange dans ce carnet, parfois il se trouvait des traces de sang sur certaines pages, parfois l'encre semblait avoir éclaté et recouvrait toute une partie du texte ou encore parfois certaines pages étaient écrit dans ce langage louche. Il se stoppa sur une page, recouverte en son entièreté du liquide rougeâtre et commença à lire en silence. 

"Aujourd'hui, des gens sont venues et ils se sont disputés avec mère et père puis ils ont commençait à fouillé partout et à prendre des affaires. Moi je m'en fichait, j'ai pas tenté de comprendre, c'est des histoires d'adultes, puis je savais que ça allait finir comme tout les autres. A un moment, ils sont rentrés dans ma chambre, ils ont commençaient à fouillé mais ils se sont vite désintéressait, concentré sur un nouvel élément. Un d'entre eux a frôler mon violon, ça m'a énervait et..."

Doffy retenues des hauts le coeurs en lisant la suite, c'était un meurtre, décris au moindre grain de poussière et ce n'était pas un petit meurtre, elle avait eut un comportement si malsain. Il referma très vite le cahier, tremblant jusqu'au os, il avait découvert quelque chose qu'il n'aurait pas dût, ça aurait dût rester un secret inconnue. Ces hommes avaient péris pour avoir eut la grave erreur de toucher à un instrument, appartenant à une enfant. il se leva de son siège, attrapa le sac de la jeune fille, une lampe torche et sa veste à plume rose. il pouvait bien la jugeait mais lui même n'était pas mieux, lui aussi avait commis le crime mais ce n'était pas sur un inconnue. Il descendra en silence, les autres dormaient déjà, tous commençaient tôt demain. Il sortit son téléphone et entra l'adresse de la soit disant défunte famille dans son GPS. Au grand étonnement du blond, c'était plutôt près de chez lui. Et pourtant, il aurait dût le voir cet incendie non? Il commença sa route en silence, la nuit était fraîche, à l'heure actuel, seul les lampadaires éclairés la rue, il était seul dehors, ce le forcer à rester sur ses gardes. Il savait bien que c'était tard la nuit que  ceux trop ennuyés par leurs mains droites venaient cueillir leur proies, il en avait déjà fait les frais et il ne serait pas surpris que S aussi en vue de son comportement et de son physique fragile. Il était certain qu'elle serait incapable de se défaire de quelconque emprise, qu'elle ne pas se défendre et qu'il la ferait sienne sans problème. Ses joue chauffèrent à cette pensée, , qu'est-ce qu'il croyait? Pourquoi ferait-il se genre de chose?   Perdu dans ses pensées qui le dégoûté, sa garde fut baissée, ne regardant même plus vers où il allait. Au tournant d'une ruelle, une main l'attrapa, poser devant sa bouche de manière à l'empêcher de parler, le collant au mur sale et pourrit de la ruelle. La main libre de l'homme viendra emprisonner celles du blond, de cette façon il lui était impossible de se débattre. Le regard de doffy fut remplit de dégoût, encore? Était-il si charmant que ça? Il n'aurait pas dût laissé ses pensées vagabondé jusqu'à elle une nouvelle fois. Il dût attendre douloureusement que l'homme lâche enfin sa mains pour des raison de praticité et enfin il put plongeait sa main dans sa ceinture avant d'en sortir une arme à feu d'une manière violente. celle-ci maintenant pointée sur la tempe de l'homme le força à reculer de plusieurs mètres par peur. Le flamant remis sa chemise correctement, resserrant sa cravate gracieusement avant de commencer à avancé vers l'homme d'un pas royale, sonnant tel une menace de mise à mort. 

"tu m'as touché, ça me dégoûte. Dire que je venais de me doucher. Mais bon je suis sale maintenant~ quelques taches de plus ou de moins ça change rien~ fufufu~"

Une seule pression sur la gâchette et il tomba au sol, quelques gouttes de sang écarlate se déposèrent sur la joue du blond, dans un bruit de chaire transpercer écœurant. Il regarda ensuite son téléphone, bientôt 23 heures, il avait intérêt à se dépêchait, mais il avait bien de la chance, il ne restait que quelques minutes de marche avant d'arrivé à destination. Alors il continua son chemin, espérant ne pas devoir se retapait un nouvel élément gênant car il avait un peu les nerfs ce soir. Bientôt une demeure, un palais démodé et vieillot, dont la nature semblait commencé à reprendre le dessus, se dressa face à lui, rendu inaccessible par un portail en fer noir et rouillé. Il était vrai que ça ressemblait à des ruines mais il n'avait pas l'impression qu'un quelconque incendie à eut lieu ici. Alors qu'il avançait un peu plus, une légère mélodie parvint au oreille du blond, de la guitare dont les cordes étaient gratté avec délicatesse pour créer un son léger et relaxant, venant du jardin -plus un terrain ne nous mentons pas- du palais. Le blond avait bien de la chance, le portail était cassé et il pouvait donc passer sans problème, puis après avoir passé un pied il entendit quelques pleures. C'était si faibles qu'il se demandé si il entendait bien, mais il savait à qui appartenait ces pleurnicheries. Il ignorait lui même comment il pouvait le savoir mais ne s'y attarda pas plus, sentant juste une légère pointe au coeur de l'entendre lâchait toute sa tristesse comme ça. Il se dirigea machinalement vers la source du bruit, elle était là, jouant assise face à une petite mare remplit de carpe Koï, principalement de la variété de tancho-kohaku et des uniquement blanches, de sa guitare. Celle-ci était totalement transparente et laissant voir des pétales de roses blanches.  Elle était seule, maintenant il pouvait réellement la voir de plus près, sa peau de porcelaine tel une poupée de porcelaine fragile, comme si le moindre geste brusque à son égard pourrait la brisé. C'était un spectacle si beau, tellement apaisant, il voulu se rapprocher encore un peu, enfin lui demandé son prénom, mais une main se déposa sur son épaule. Doflamingo se tourna, voyant un garçon de sa taille, cheveux bicolore -brun et rouge- portant un simple sweat rouge sang et un jogging noir, sûrement pas très pratique en vue de la chaleur de cette soirée. Doffy remarqua un bandage parcourant toute sa nuque, mais il ne s'y attarda pas plus. Après plusieurs secondes de silence, le bicolore viendra lui décocher un coup de poing dans le nez, faisant reculer de quelques pas le blond qui se tenu la partit toucher en grognant. Son propre sang se déposa doucement sur sa main, le garçon venait de lui péter le nez, en y repensant, le blond le reconnue, c'était le cadet de la famille, qu'elle force il avait putain! Il se sentit ne faire qu'un tour avant de lui rende le coup de toutes ses forces, le brun lécha le sang sortant de sa plaie, le rythme musicale de samael s'accéléra, les deux se jetèrent l'un sur l'autre, ils mordaient, ils frappaient, ils grognaient. Le blond perdaient son mince avantage, tenta de sortir son arme qui valsa à plusieurs mètres à la seconde où il la sortie. La musique devenait de plus en plus stressante, allait-il mourir? Maintenant? Les mains du bicolores attrapèrent sa nuque, coupant son souffle à court. Mais le blond avait trop de fierté pour lui montré qu'il souffrait , il se contenta de sourire méchamment, de manière sournoise. La musique continué de se joué, le blond exercé une pression sur les poignets du brun qui forçait de plus en plus sur sa gorge, ses lunettes lui permettait de ne pas montré qu'il commençait à tourné de l'œil. Cette musique, tel une torture prenant fin, se stoppa, le bicolore, lui, continué de forcé de plus en plus,Doffy tourna son regard vers la plus jeune, sa vision, elle était de plus en plus flou, gâchant sa magnifique beauté qu'il voulait voir encore, tout devenait flou. Il l'entendu criait un prénom, la pression sur sa nuque disparu, il la vue courir vers lui, paniqué. Bon dieu ce qu'elle était belle, une poupée, il voulait faire cette poupée sienne, joué avec, mais ses muscles et sa respiration l'en empêcher. Ses yeux se fermèrent, ne voyant que du noir. 

Il aurait bien voulu se souvenir du reste de la soirée, ça le stressait d'avoir un blanc comme ça dans son esprit. Le lendemain, il fut réveillé par une petite voix timide qui sonnait si harmonieux à ses oreilles, elle l'appelait, est-ce que c'était un ange? Il se mit à tapotait partout à la recherche de ses lunettes, refusant d'ouvrir les yeux sans les avoir mise. Il finit par les trouver et les mit en se relevant difficilement, regardant la voix qui l'appeler, la demie-blonde était ici, collé à la porte, en robe de nuit blanche, un plateau repas en main. Elle venait sûrement juste de se réveillée en vue de ses cheveux en pagaille et de son air fatigué visible à travers ses lunettes. Il sentait ses joues chauffaient en la voyant, elle semblait si faible, se demandant comme il avait pu se laissait avoir par la toile de cette chose si fragile, il était cependant frustrait de ne pas pouvoir découvrir son visage en entier, ses yeux étaient cachés par des lunettes noires et basique et pourtant, il était sûr que la plus belle chose chez elle se cachait sous cet élément. Elle viendra déposée sur les genoux du blond le plateau qu'elle tenait, un plateau d'or pure sur lequel se trouver un magnifique bol en porcelaine remplit d'une soupe parfaitement soigné et à coté ce qui semblait être un tout petit et mignon fondant au chocolat couvert de sucre glace. Doflamingo se tourna pour la regarder, il voulait tout savoir d'elle, il voulait mettre fin à cette curiosité qui le rongeait depuis maintenant presque deux semaines, "S.Valentino" était si lointaine et mystérieuse, c'était comme un temple encore inconnu par tout les explorateurs du monde. 

"j-je suis désolée pour Kévin...i-il n'aime pas qu'on vienne s-sur notre "territoire"...
-comment t'appelles-tu?"

La demie-blonde fut prise de court, déposant de manière peu gracieuse son corps entier sur une  sa chaise de bureau, elle ne répondit pas et tenta même de changé de sujet mais le blond était trop tenace et lui redemandé en boucle, il souhaitait vraiment savoir.

"dit le moi, je veux savoir après qui je cours depuis bientôt deux semaines. Tu m'intrigue, je veux tout savoir de toi."

Elle le regarda ensuite, silencieuse, ses joues se mirent à chauffaient, il lui courait vraiment après? Non, c'était impossible, gênait à cette idée elle cacha son visage dans ses mains pour tenté de faire disparaître la couleur rouge qui avait maintenant empourpré ses joues. Doffy trouva cela mignon, sentant aussi ses joues chauffaient en la voyant agir aussi timidement. Il voulait vraiment savoir, ce n'était qu'un nom, son identité, pourquoi ne pouvait-il pas savoir. Tout ça le rendait dingue, ne pas savoir qui le mettait dans une tel état, ses poings se serrèrent contre la couette sobre du lit. Elle l'aime non? alors pourquoi elle refuse de lui dire? Il veut savoir, il doit savoir, cette gamine s'amusait à triturer ses nerfs sans même s'en rendre compte. Il devait trouver un moyen de la faire parler, elle devait répondre à toute ses questions, maintenant, il ne tiendrais plus longtemps sans devenir violent. Il se giflé intérieurement pour ne pas l'attraper sans aucune douceur et la menacé, il perdrait toute ses chances de la faire parlé. Il sentait son poux accélérer de colère, serrait la mâchoire. Mais, alors qu'il allait craquer, il entendu sa voix cassée lui annoncé ce qu'il souhaitait entendre. 

"-S-samael...j-je m'appelle Samael..."

Il sentit tout ses muscles se détendre, comment pouvait-il être si tendu? Samael, Samael, Samael. Il se le répétait en boucle dans son esprit comme par peur de l'oublié d'une quelconque manière.

"c'est magnifique..."

Il la vue sursauter et cachait son nez, saignait-elle? Il dégagea doucement sa main de son visage pour récupérer le sang qui avait commencer à couler vers les lèvres roses et fines de sa poupée avec son pouce avant de le léchait. Lui même ne savait pas pourquoi il faisait ça, il voulait la goûté, savoir qu'elle parfum elle avait. Il la regarda du coin de l'oeil et laissa un léger sourire fendre son visage : elle était timide et semblait déconcerté par son geste. Il voulait en goûtait un peu plus, goûter toutes les passerelles de son corps. Il rapprocha leur visages, déposa sa main sur sa joue, comme il l'espérait, sa peau était douce comme de la porcelaine, leur deux soufflent se mélangèrent, il hésité à rompre cet espaces entre eux. S'il n'osait pas, c'était car il voyait Samaël tremblait légèrement, alors il préféra à demandé avant d'agir.

"est-ce que je peux goûté tes lèvres?~..."

Elle sembla hésitait mais acquiesça,  ce qui donna le feu vert au blond. Une longue tension se plaça entre eux et enfin, le blond déposa ses lèvres contre celle qu'il recherchait. Elles avaient un goûts de thé luxueux et de citron vert, ça ne déplus pas au blond qui approfondis le baisé en commençant à mouvoir ses lèvres, très vite suivit par la demoiselle, dont il prit les hanches pour pouvoir faire durée cela un peu plus longtemps. Il lui mordit la lèvre inférieur pour lui demandé l'accès, ce qu'elle accepté très rapidement, et leurs deux langues purent commencer une valse endiablé, faisant lâché à la demie-blonde de petits bruits que le blond trouva fort plaisant. Mais ils durent se séparé par manque de souffle, tellement de question trottaient maintenant dans la tête du flamant rose, qui furent coupaient par la jeune fille venait enroulés ses bras autours de lui, s'allongeant à ses côtés. Les questions attendront bien, il avait autres à pensées, il ferma les yeux en la collant un peu plus à lui en souriant, humant son odeur boisée et délicate. Il voulait dormir encore un peu, avec elle à ses côtés évidemment. 

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