18. La naissance d'une puissance

La jeune Gryffondor atterit sur le canapé comme ci elle venait de chuter du plafond.
- Hermione ! Tu as été emporter dans un souvenir de Jedusor.
- Je sais Harry, répondit celle-ci.
- Qu'est ce que tu y a vu ? Où était tu ? Je veux dire l'époque, quel endroit.
- Harry m'a vie est un immense mensonge. Un putain de véritable mensonge, dit elle avant de fondre en larme.
Le jeune homme au lunette la prit dans ses bras bien qu'il ne savait pas à quoi exactement sa crise de larmes était dû.
- Hermione, tu dois me dire ce qu'il se passe, mumura Harry.
- Je...je..., mumura t-elle avant de sanglotait de nouveau.
Potter carressa les cheveux bruns et ondulés de sa meilleur amie tandis qu'elle s'agrippait au pull de se dernier comme si elle avait peur qu'il l'abandonne.

Elle ne comprenait plus rien mais pourtant elle avais tout compris. Sa vie venait de basculer en l'espace de se qui lui avait semblait être dix minutes. À vrai dire sa vie avait commencé à changer depuis cet été mais les journaux, son changement de personalité, le souvenir de Lord Voldemort, tout ces facteurs avait été les éléments principaux. Ils avaient répondu à toutes ces questions, à tout ses doutes, pourtant ils n'en avaient laisser de nouveaux.

Elle se demandait comment la suite des choses allaient se passé. Comment elle devait géré toute cette situation. Si elle devait en parler à un adulte ? Si elle devait tout garder secret ? Si elle devais tout dire à Harry ? Était-elle devenu un monstre ? Pouvait-elle vraiment se considéré comme étant un être humain ou une expérience néfaste ? Elle ne savait plus, ou plutôt elle ne savait pas. Ce qu'elle était, le fruit du travaille acharné de Tom Jedusor était une arme de destruction. Elle était une arme de destruction et personne ne pouvait à présent égaler les pouvoirs et les capacités qui se réveillait enfin en elle.

*

Drago n'arrivait pas à s'endormir, tout ça à cause de Blaise. Son camarade n'arrêtait pas de se tourner et de se retourner dans son lit, faisant en même temps froisser ses draps bruyament.
- Que quelqu'un lui dise de se calmer bon sang ! Beugla Théodore.
Malefoy constata qu'apparemment il n'était pas le seul dans cette situation.
- Il est trois heure du matin passé, si tu continu je te lance un stupéfix, finit par dire Drago.
- Excusez moi les gars, répondit le concerné en se levant de son lit. Il disparut dans la salle de bain.
Le grand blond ne se soucia pas plus que ça de son ami, il mourrait de sommeille et il était encore trop en colère contre lui pour s'intéresser au problème de Blaise. Ni Théodore, ni Drago n'avait d'ailleurs addressait la parole à Blaise jusque là. Non qu'ils ne voulaient pas d'explications mais tout simplement parce que le Serpentard avait été introuvable toute la soirée.

Lorsque le matin montra le bout de son nez, aucun garçon dans la chambre ne bougea. En temps normal Théodore se réveillait en premier et il réveillait ses deux camarades de chambre, mais ce matin Drago sentait que ce dernier ne le ferait pas parce que tout comme lui, il était tout juste exténué. Naturellement, ils restèrent tout les trois au lit tandis que les minutes s'écoulaient.
- On devrait peut-être se lever, fit Nott en n'ayant la tête enfoncer dans son oreiller.
- Lève toi le premier et dit moi quand la douche est libre, répondit Malefoy.
- Toi lève le premier, rétorqua le concerné.
- Taisez-vous, siffla Blaise.
Drago se redressa immédiatement après avoir entendu cette phrase.
- Nous taire ? Ce n'est pas bête. Tu pourrais nous apprendre puisque toi garder le silence tu sais très bien comment faire.
- Qu'est ce que t'insinue par là ? Demanda Blaise, la tête à demie enfuit sous sa couverture.
- Trouve tout seul, siffla Malefoy en se laissant retomber sur son oreiller.
Un silence reignait à présent dans la chambre. Drago n'avait pas voulu s'énerver mais son manque de sommeille était lié au remue ménage que le bel Italien avait fait hier soir et çs remarque l'avait mis encore plus en colère. Il savait que Théodore n'allait rien dit car en général il restait en dehors des disputes.

Malefoy se leva et s'enferma dans la salle de bain. Cet accrochage l'avait bel et bien réveiller. Il se posta devant le miroir de la pièce et il se brossa les dents avant d'entrer sous la douche. Une fois qu'il fut propre il descendit prendre son petit déjeuner à la grande salle. Il n'y avait pas grand monde mais ça ne l'étonnait pas puisqu'il se faisait assez tard. Tout le monde devait a présent être entrain de rejoindre leur salle de classe. Bien évidemment seul ceux qui commençait plus tard était présent. Il ne se pressa pas pour autant, au contraire il prit tout son temps. Il mangea tellement qu'il se demandait s'il arriverait à se lever pour aller en cours mais après avoir mûrement réfléchi à la question il opta pour la deuxième solution : Aller au cours de l'heure suivante.

*

Elle n'avait encore rien dit à Harry. Enfaite elle n'avait pas dit un mot de la journée, elle n'avait prit aucune note en cours non plus car elle était trop occupée à réfléchir. Elle s'était installé sur les cailloux ovales près du lac en attendant le dîner. Elle s'allongea complètement sur la surface en relief et ferma les yeux. Elle ne sais pas combien de temps elle resta ainsi avant qu'on ne vienne la déranger.
- Je savais que je te trouverai là.
Elle ouvrit les yeux et vit Théodore. Il s'assit à côté d'elle.
- T'avais pas l'air bien aujourd'hui.
- Effectivement.
- Je peux y remédier ?
- Je ne crois pas, dit-elle sur un ton plus sec encore.
- Qu'est ce qui ne va pas ? Demanda Nott voyant que la belle brune n'avait pas envie de rigoler.
- Est ce qu'après la mort de Voldemort ton père t'as parler de quelque chose d'important ?
P

ourquoi me parles-tu de mon père ?
- Qu'elle est la rumeur qui circule au ministère de la magie ?
- Qui t'as mise au courant de ça ?
- Ne répond pas à mes questions par d'autres questions sombre crétin ! Hurla t-elle violemment avant de mettre sa main devant sa bouche.

Théodore la regarda un peu interloqué. Elle avais senti un élan de colère monter en elle d'un seul coup, jamais elle ne crut que ça serai sortie comme ça.
- Je suis désolé Théodore je...
- T'inquiète pas, je comprend, la coupa t-il. T'as l'air à fleur de peau et je n'arrange pas les choses.
Hermione se leva et décida de rentrer au château mais avant qu'elle ne puisse faire un pas de plus Nott lui notifia quelque chose :
- Après le dîner, bibliothèque. Je te parlerai de ce sue je sais.
- Ce soir je suis occupé, disons demain avant les horaires de transplanage, dit la jeune fille en marchant toujours.
- Demain transplane avec moi, on ira parler chez moi.
Elle s'arrêta de marcher, elle croyait ne pas vraiment avoir compris ce qu'il venait de dire.
- Chez toi ? L'interrogea t-elle.
- Demain soir, 22h55. Comme ça personne nous verra transplaner ensemble.

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