11. Un week-end à Pré-au-lard
Le premier week-end de la rentrée Hermione était allé chez les Weasley. N'ayant nulle part où aller, Ron et Ginny avaient insisté pour qu'elle vienne. Cependant cette fois-ci elle ne pouvait pas y retourner. Elle ne s'était toujours pas réconciliée avec Ron et elle ne voulait pas crée un malaise parmi la joyeuse petite famille, elle avait donc laissé Harry et Ginny transplaner sans elle. Cela lui importa peu parce qu'elle devait faire un tour à Pré-au-lard pour y rencontrer quelqu'un. Hermione transplana dix minutes après ses amis qui eux croyaient que la belle brune resterait à Poudlard ce week-end. Ils devaient être loin de se douter qu'elle se trouvera à la place à Pré-au-lard. Elle atterrit devant La Tête de sanglier. L'auberge se trouvait dans une des rues latérales à la grande rue et elle était tenue par le frère de Dumbledore, Abelforth. La dernière fois qu'elle était venu, c'était un peu plus au début de l'année lorsque Voldemort était encore vivant. Elle avait trouvé l'endroit plutôt miteux, petit, crasseux et imprégné d'une forte odeur de chèvre. À l'entrée, il y avait une tête de sanglier suspendue à une vieille potence en bois. Elle avait trouvé cela tout aussi effrayant qu'impressionnant. Les fenêtres étaient cependant tellement incrustées de saletés que la lumière du jour avait du mal à les traverser. Le sol semblait être en terre battue mais cela ressemblait plutôt un sol de pierre sous des couches de salissures. Cependant lorsqu'elle entra dans l'auberge la jeune fille fut étonnée de voir comment l'endroit était devenu populaire et propre. Il n'était toujours pas si populaire que Les trois balais et ce qu'elle qualifiait de populaire étaient les cinq, six clients dans la pièce.
- Abelforth ! S'exclama Hermione le sourire aux lèvres.
Le vieille homme lui fit signe d'approcher.
- Je t'ai réservé la chambre la plus propre, la A2.
- Merci. Lorsque le barbu prononça le mot propre elle savait à quoi s'attendre. Bien évidemment elle ne fut pas surprise lorsqu'elle découvrit la chambre. Elle était quand même contente de conster qu'il avait nettoyait les fenêtres, ou du moins essayer.
Le samedi, elle fut surprise lorsqu'elle regarda le cadrant de l'horloge de la chambre qui indiquait dix-sept heures précises. Comment avait-elle pu dormir tout ce temps ? Pourtant elle était encore s'y fatigué et elle se serait bien rendormi si elle n'avait pas un rendez-vous à dix-neuf heures. Elle profita du temps qui lui restait devant elle pour prendre une douche dans ce qu'on ne pourrait même pas qualifier de salle de bains. Au moins l'eau était claire et chaude. Elle s'habilla et lorsqu'elle descendit Abelforth n'était pas là. Elle sortit de la bâtisse et se dirigea vers Les Trois balais, elle aperçut immédiatement la personne qu'elle devait rencontrer.
- Bonjour Rhuber, fit Hermione en posant une main sur l'épaule du gros monsieur.
- Ah ! J'ai pris l'initiative de te commander du rhum aux groseilles. Je n'arrivais pas à me décider entre la bièreaubeurre et le sirop de cerises en soda avec une boulle de glace.
- C'est bien comme cela, répondit la jeune fille qui aurait tout de même préféré boire de la biocontrôle. Tu as avancé dans tes recherches ? Le mangemort a-t-il donné les livres.
- Chut, fait il en plaquant presque sa main sur ma bouche. Rhubert regarda à gauche et à droite pour s'assurer ne que personne n'est entendu la jeune femme
- Buvons d'abord et allons en discuter dans un coin plus discret après.
Rhubert Bilbodrew est un est sorcier spécialisé dans l'alchimie qui connut Tom Jedusor. C'est lui qui cet été me contacta alors que j'accompagnais les Weasley dans leurs deuil. C'était à partir de là que tout commença.
Lorsque nous eûment fini nos boissons, j'invita Rupert dans ma chambre, là au moins on ne risquerai pas d'être épiés ou écoutés.
- Hermione j'ai réussi à avoir les journaux intimes de Tom. Ils ne se sont pas complets, certaines pages son arrachées et l'écriture et les schémas sont assez brouillons mais tu devrais y trouver les réponses que tu cherches.
- Tu les as lus ?
- Oui et je dois t'avouer que ce qui y est, est très mauvais. Je suis désolé. Néanmoins je ne suis pas sûr de ce que j'avance, j'ai un doute.
- Où sont-ils ? s'empressèrent de demander la jeune femme. - Je ne pouvais pas prendre le risque de transplaner avec alors que je ne sais pas où tu étais logé. Cet endroit ne m'a pas l'air d'être digne de confiance, Marmona le gros bonhomme dans sa moustache.
- Je dois rentrer à Poudlard demain, là-bas ils seront en sécurité. Apporte les moi demain à quatorze heures ! Je t'attendais dans cette chambre. Rhubert acquiesça.
- Merci, d'Hubert. Je te remercie pour tout.
- Ce n'est rien fillette, après tout, tout ça c'est entièrement ma faute, dit il avant de quitter la pièce en transplantant. Hermione ne savait pas si elle pensait vraiment ce qu'elle venait de lui dire. Elle savait qu'au fond d'elle, elle en voulait à Rupert d'avoir déterré la vérité et en plus de ça de l'avoir informé. Elle s'en voulait d'être si curieuse. Pourquoi ne laissait t-elle pas tout cela dans un coin de sa tête pour ne plus y penser ? C'est quelque chose que la jeune demoiselle ne pouvait faire. Elle n'aimait pas rester dans le doute et l'ignorance. Elle aimait avoir des réponses à ces questions. Jusqu'à maintenant tout ce quel savait c'est quel était lié au seigneur des ténèbres et elle trouvait déjà ce secret lourd à porter. Elle ne pouvait cesser de se demander à quel point le poids de ce secret allait-il s'alourdir et si elle serait capable de supporter.
Le lendemain comme prévu Rupert lui apporta les livres, il y en avait trois en tout.
- Fais attention Hermione. Ce que contient ce livre pourrait soit te faire tuer, soit te faire enfermer. Nos chemins se séparent ici fillette, j'espère que tu encaissera le coup.
- Aurevoir Rhubert, répondit une Hermione toute crispée par les paroles de ce dernier.
Avant de retourner à Poudlard la Gryffondor fit un tour chez Les Trois balais, elle avait envie de boire une bièreaubeurre depuis hier soir et elle ne se gêna pas pour en commander deux grandes pour elle toute seule. Lorsqu'elle allait entamer le deuxième , son attention se fixa sur une fine silhouette aux cheveux blond comme le blé et au quelques mèches noire. Elle était vêtue d'une robe stricte noire et était accompagné d'un homme qui n'avait pas l'air très net. Il était grand avec un costume gris foncé et une longue veste noire. Pourquoi avait-il l'air si pressé en montant à l'étage ? Pourquoi agissait-il comme des personnes qui n'avait pas l'air de vouloir être suivie ? Se demanda.
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