|• Behind Closed Doors •|
Sylvain et Pierre avait toujours été vu comme le duo imbattable au Gp. Le duo qui allait assurément gagner, parce qu'ils étaient connaisseurs dans le domaine. Sylvain et Pierre de Vilebrequin, les imbattables champions du Game automobile.
Pourtant, aucun des deux hommes n'étaient prêts à affirmer ce titre de grand champion. Ils avaient certes des connaissances sur le sujet, mais de là à recevoir des lauriers pour un sujet qu'ils maîtrisaient à peine, les deux hommes étaient gênés. La F4 était de très loin dans le même esprit que toutes les autos essayées sur la chaîne et de très loin une compétence dans laquelle ils étaient à l'aise. Tout le monde les attendaient de nouveau au tournant cette année, mais le duo ne savait où mettre pied face à toute cette effervescence autour de leur équipe. La pression des loulous de gagner une seconde fois d'affilée, de les voir grimper dans le top 5 de l'événement, tout les deux sur le podium. Cette pression grandissait en eux comme un vil serpent, s'enroulant autour d'eux jusqu'à les étouffer.
Pourtant, le duo était prêt à donner leur maximum pour recevoir d'une quelconque façon un titre d'exception. Sylvain n'était point certain de pouvoir performer comme l'année dernière, mais voulait terminer sur le podium, comme Pierre voulait finir cette course et peut-être récupérer le prix constructeur au passage dans leur ascension. Après tout, ils étaient l'entité Vilebrequin, le duo automobiliste qui avait cassé le game à la première édition, acclamé par de fiers loulous.
Durant les entraînements et les réunions théoriques, Pierre avait bel et bien remarqué l'inquiétude dans les yeux de son ami, de son fidèle acolyte. Sylvain laissait ce visage impassible pour ne pas montrer sa faiblesse aux autres participants du Gp, mais Pierre le voyait aller. Il le connaissait bien son Sylvain. Derrière ce visage neutre, il y avait cette inquiétude et cette peur de ne pas réussir ce à quoi on l'attendait pour. Il laissait cette peur tapis dans le fond de son casque sur la piste et derrière son air fatigué dans la salle de classe, mais Pierre savait. Il savait que Sylvain digérait mal cette pression constante, que le numéro un dans son dos était entrain de l'ancrer sur le goudron de la piste.
Le barbu l'attendait alors dans le paddock de l'équipe, fixant l'écran de ses yeux pour voir Sylvain passer, le moteur de sa formule 4 grondant sur le circuit. Les anciens avaient été séparés en deux équipes, mais sa F4 ayant eu un problème, il n'avait pu rouler donc Sylvain avait prit sa place. Pierre fixait la formule 4 de son équipier fouler la piste de Dijon, grondant en se laissant dépasser par tous les autres pilotes, Depielo inclu. Pierre ne savait ce qu'il se passait, mais il avait l'impression que ce Sylvain peinait à se rattraper, qu'il n'était pas autant déterminé que le premier entraînement du matin.
- Hey, les filles, j'ai une question.
Les prénommées relevèrent leurs yeux sur lui, Anaëlle délaissant le E-mail qu'elle lisait, fermant l'écran de son téléphone pour porter toute son attention sur lui. Joséphine éteint également son cellulaire, curieuse de le voir s'adresser à eux alors qu'il restait habituellement silencieux. Lorsque Sylvain était sur la piste, Pierre guettait l'écran, les bras croisés ou sur les hanches, silencieux. Il restait debout à river l'écran, comme s'il protégeait le plus petit du duo de par l'objet.
- Qu'est-ce qu'il y a?
- Il y a moyen que vous connaissez un endroit où je peux parler en privé avec Sylvain après les essaies? J'ai deux trois trucs à lui dire.
Les deux femmes se fixèrent, quelque peut surprise de la soudaine question, mais un doux sourire étira leurs lèvres. Surtout celles d'Anaëlle. Pierre sentit la gêne monter sur son faciès, ses joues tourner légèrement au rouge, mais il se ravisa de dire quoi que ce soit sur son état d'âme.
- Je crois que les vestiaires seront libres durant toute l'après-midi. Anaëlle sourit. Votre mentor à mentionné que tout le monde roulait aujourd'hui, donc personne ne devrait ce changer de sitôt.
- Et si jamais il y a quoi que ce soit, j'irais cogner sur la porte. La deuxième femme répondit, un petit sourire mesquins sur les lèvres. Ne t'en fait pas Pierre, peut importe ce que tu as à dire ou faire avec Sylvain, vous n'allez pas être dérangé.
Il ravisa un juron, se contenta de se racler la gorge. Les deux femmes rigolèrent dans son dos et Pierre se contenta de fixer la monoplace de Sylvain filer sur la piste. Lorsque le premier minuteur fut terminé, Pierre fixa la F4 de son ami être stationné dans le garage, fixant la silhouette de Sylvain quitter l'habitacle en carbone. Il détailla sa silhouette émincée se tortiller hors de sa voiture, enlevant ensuite son casque pour laisser à découvert son visage rougit. Le brunet releva ses yeux sur lui, tout en passant une main dans ses mèches pour les replacer.
Pierre eu un petit sourire en voyant le moustachu se diriger vers lui, son casque en main. Il fixa ce dernier déposer celui-ci sur une petite table, avec ses gants et sa cagoule, soufflant à l'aise par l'air frais qu'il y avait dans le garage. Sylvain reporta ses yeux sur son acolyte, un faible sourire compatissant sur ses lèvres.
- Pas trop déçu de ne pas rouler de suite?
- Non, ça va. Pierre sourit, posant l'une de ses mains sur son épaule. J'ai un truc à te dire, tu viens?
Sylvain sourcilla, mais se laissa toutefois mener en backstage dans le grand couloir, sans trop se poser de questions. La main de Pierre dans la sienne, le plus petit se laissa aveuglément mener et Pierre eu un soupir d'aise en le voyant agir ainsi. Il fronça de nouveau des sourcils en voyant leurs deux corps s'arrêter devant la porte des vestiaires, isolé du groupe qui recommençait les tours de chauffes. Le bruit assourdissant des moteurs vrombissaient jusqu'à eux, résonnant entre les murs du couloir.
Pierre ouvrit la porte, fixant l'intérieur pour s'assurer qu'ils étaient seul et laissa Sylvain pénétrer dans la petit pièce. Quelques cassiers étaient ouvert et certains bagages avaient été délaissés sur le sol aux côtés des bancs, mais Sylvain fixait surtout la silhouette neutre et incertaine de son ami. La porte se referma derrière lui et le plus petit ne pouvait enlever ses prunelles de Pierre qui se reporta entièrement sur lui. Il n'y eu besoin de mot, seul le cliquetis de la serrure avait suffit à Sylvain pour comprendre ce qui allait se passer.
Pierre ne voulait pas que parler.
Sans un mot, alors que son acolyte le fixait sans savoir comment débuter la conversation, Sylvain s'approcha délicatement de lui. Il tendit sa main vers lui, attrapant la sienne au passage pour la remonter à ses lèvres avec lesquelles il plaqua deux baisers sur la peau. Pierre le fixait sans rien dire, mais sa respiration quelque peut pêle-mêle en disait beaucoup trop sur son état d'esprit. Ou comme la main qui se posa sur la hanche de Sylvain, serrant doucement sa combinaison, le rapprochant de lui jusqu'à le coller fortement contre son torse.
- Putain, Sylvain. Il jura, posant sa tête dans son cou. Pourquoi faut toujours qu'on se prenne à part comme ça?
Il resta silencieux, humant l'odeur de Sylvain dans ses narines, fermant les yeux. C'était toujours pareil, que ce soit ici, dans le garage de Benzin ou même peut importe l'endroit où ils étaient, ils s'arrangeaient toujours pour être loin des autres, à l'abris des regards. Depuis le premier GP, depuis qu'ils s'étaient retrouvés seuls comme en ce moment, ils s'étaient toujours éloignés des autres. Ils s'arrangeaient toujours pour se rejoindre derrière une porte close, loin des regards jugeurs et jaloux. C'était devenu une routine, que l'un emmène le deuxième loin du groupe pour savourer un bref moment ensemble. Le plus petit sourit doucement, regardant le visage quelque peut découragé de son acolyte.
- Hey, Pierre. Ne te fais pas de cheveux blanc pour ça, c'est bien d'être isolé et de se retrouver juste nos deux ensemble. Il sourit, quelque peut narquois, avant de relever ses yeux sur lui, inquiet. On ne se fera pas choper cette fois, hein?
- Anaëlle et Joséphine savent où on est...
- C'est encore mieux alors.
Ils pouvaient sentir leurs souffles s'entremêler et même si aucun des deux n'osaient faire le premier pas, ils continuaient à se manger du regard. Ce fut Sylvain qui coupa l'espace entre eux, se rehaussant légèrement sur la pointe de ses pieds afin de pouvoir planter amoureusement ses lèvres sur celle de Pierre. Leurs corps se collèrent tel des aimants et un doux juron traversa les lèvres du plus grand alors que leurs bassins se touchaient. Pourquoi parler lorsque les inquiétudes et la nervosité pouvait être changé en doux moments? Pourquoi s'inquiéter et se morfonde lorsqu'il y avait la possibilité de pouvoir s'enticher ainsi de son coéquipier? Amoureusement et férocement?
Ils avaient débuté cette intimité durant les entraînements du premier GP, dans la chambre d'hôtel après une longue journée d'entraînements et de discours. Même s'ils avaient tournés autour du pot sans jamais passer le cap quelques mois avant, se retrouver ainsi isolé et remplit d'inquiétude avaient émané en eux un besoin charnel. Ce même besoin qui les avait titillée durant toute l'année, depuis l'invitation de leur participation à l'évènement. Sylvain avait été gagné par la tentation, tout comme Pierre et ces moments d'isolation étaient devenus leurs préférés. Sur les tournages ou même en dehors de leurs vies professionnelles, ils avaient toujours tenté de précipiter ce moment. Ils n'avaient point parlé, le sujet des émotions n'étaient pas encore quelque chose qu'ils maîtrisaient, mais pourquoi parler lorsque les actions physiques prouvaient tout?
Sylvain sentit les mains de Pierre se poser fermement sur ses hanches, le plaquant sur lui pour le serrer doucement, leurs lèvres toujours apposées l'une sur l'autre. Un faible gémissement étira ses lippes lorsque ce dernier tourna sur lui-même pour le poser dos contre les cassiers. Sylvain releva ses mains, passant celles-ci sur la mâchoire du plus grand, sa barbe chatouillant la paume de ses mains. Pierre attrapa la fermeture éclair de sa combinaison, ouvrant celle-ci jusqu'à sa taille, parcourant ensuite ses mains sous ses vêtements. La peau froide des mains de Pierre contre son ventre le fit frissonner, mais la sensation lui plu. Pierre releva son haut ignifugé pour revenir attaquer de ses lèvres son torse, pour ensuite s'attaquer à ses lèvres. Pierre suivit la ligne de sa mâchoire avec sa langue, descendant sur son cou à chaque lichée, délaissant un baiser sans laisser de traces.
- Pierre.
Son dos arqua légèrement lorsque le prénommé passa de nouveau ses mains sur son torse dénudé, son gilet tombant légèrement sur celle-ci, saisissant chaque parcelle de ses paumes froides qui se réchauffaient à son contact. Ses mains longèrent son dos jusqu'à empoignées ses fesses pour le soulever. Son dos frotta contre le métal froid des cassier et ses jambes s'enroulèrent par elles-mêmes autour de la taille de Pierre, leurs basins se frottant au passage. Pierre jura alors que Sylvain gémit.
- Putain, t'es séduisant Lévy.
Il n'eut qu'un rictus sur le coin des lèvres alors que ses yeux se promenaient sur le visage enjoué de son amant, qui se pencha de nouveau vers lui pour l'embrasser sur les lèvres. Pierre émit un premier mouvement de hanches, leurs combinaisons frottant ensemble sur leurs érections déformant le tissus. Les deux hommes gémirent, mais Sylvain plaqua ses mains dans les cheveux de Pierre pour apporter son visage vers lui, l'embrassant de nouveau. Pierre avait toujours ses mains sur ses fesses, serrant sa chair entre ses long doigts. Son dos arqua de nouveau, sa respiration devint effrénée et Sylvain se contenta d'embrasser Pierre autant de fois possible entre chaque mouvements de leurs bassins. Ses mains se posèrent sur les épaules de son amant et Sylvain ne put retenir le juron qui traversa ses lippes rosées et humides, ses yeux à moitié clos fixant Pierre.
- Oh putain.
- Je tiendrais pas longtemps à se rythme. Pierre s'approcha de son visage à nouveau, passant sa la vie sur son oreille. J'ai envi de te baiser putain.
Sylvain gémit à son oreille, posant sa tête dans le cou de Pierre alors que ce dernier donnait de léger coup de bassin contre le sien. Ses mains jouèrent entre ses mèches de cheveux, tirant légèrement sur celles-ci, signalant à son amant qu'il prenait plaisir.
- Fait le.
Pierre releva ses yeux sur Sylvain qui venait de lui chuchoter ces mots avec un ton de voix bien direct, presqu'un ordre. Pierre n'émit qu'un bref grognement, reposant le brunet sur le sol pour empoigner la fermeture éclair, l'abaissant complètement d'un bref geste de poignet. Sylvain passa ses jambes en dehors du tissus, qu'il délaissa au sol. Pierre ne lui laissa presque peut de temps qu'aussitôt qu'il eu posé ses pieds sur le sol qu'il l'empoigna de nouveau pour le plaquer contre le casier. La sensation du métal contre sa peau dénudée le fit gémir doucement, juste assez pour que Pierre puisse le regarder de nouveau, droit dans les yeux. Sylvain sentait les mains de Pierre, posées sur ses fesses, serrer comme s'il avait peur de l'échapper. Ces deux grandes mains qui le retenaient contre le métal froid, qui le collait à lui de n'importe quel façon possible. Ces grandes mains qu'il aimait tant.
- J'ai encore mon kalbar Pierre.
Le prénommé releva ses yeux sur le plus petit, qui le fixait, la bouche entrouverte, comme s'il cherchait à l'appâter vers lui. Sylvain passa maladroitement une main dans ses cheveux, ses yeux toujours rivés sur son amant, leurs lèvres à quelques centimètres l'une de l'autre. Elles se touchaient presque.
- Je sais.
Rien d'autre ne fut mentionné. Pierre se jeta sur ses lèvres comme s'il n'y avait aucun autre lendemain et Sylvain ne fit que fermer les yeux, acceptant ce baiser quelque peut farouche. Sylvain sentait son corps frissonner sous chaque contact et ce bas ventre se contracter, attendant le moment fatidique avec une impatience grandissante. Entre chacun de ses gémissements, entre chaque mouvements de lèvres, entre chaque frottement de leurs basins, Sylvain s'impatientait. Un doux souffle de joie traversa ses lèvres lorsqu'il sentait enfin un premier doigt titiller son entrée, timide. Ce n'était pas leur première fois, mais comme à tous les coups, Pierre semblait prendre son temps, calculer chaque coups à l'avance. Sylvain était plutôt impatient, il préférait plutôt aller droit au but, sans vraiment prendre le temps de tout calculer.
- Dépêche Pierre~ Il gémit, ses mains toujours encastrées sur la tête du plus grand. Aller~
- Arrêtes de gesticuler comme un enfant.
- Alors arrête de tourner autour du pot, bordel!
Leurs regards se croisèrent et Sylvain eu un frisson en voyant l'expression que son amant toisait en sa direction. Un petit sourire narquois étira ses lippes et sans lui laisser le temps de comprendre ce qu'il se passait, un doigt s'inséra entre ses chairs. Son dos se arqua sous la présence et ses mains se délaissèrent des cheveux de Pierre, tombèrent plutôt sur ses omoplates. Omoplates sur lesquels Sylvain enfonça ses doigts sous chaque mouvements que Pierre décidait. Sylvain ferma les yeux et lâcha un bref juron lorsqu'un deuxième doigt fut insérer aux côtés du premiers, obtempérant sous les mouvements répétés. Sylvain enfouit son faciès rougit dans le cou de Pierre lorsque ce dernier retira ses doigts, empoignant la bande élastique de son boxer.
- Tu peux te retenir sur moi le temps que je t'en débarrasse? Le barbu marmonna à son oreille, lichant son lobe au passage. T'en es capable?
- Mh.. Mh.
Il n'avait point eu la force de répondre de vive voix, elle était bien trop effrénée et haletante. Sylvain se contenta donc de hocher la tête, s'appuyant sur Pierre pour laisser ce dernier lui débarrasser de son boxer, qui partit rejoindre le sol aux côtés de la combinaison. L'air froid du vestiaire parcouru sa peau et Sylvain laissa un frêle gémissement sortir de ses lèvres, abaissant de nouveau sa tête dans le cou du plus grand. Ses doigts se resserrèrent d'eux-mêmes sur les omoplates lorsque Pierre s'inséra en lui, d'abord doucement, puis ensuite brutalement. Sylvain sentit son dos s'arquer, ses os craquer et il pinça ses lèvres ensemble. La douleur était toujours éphémère au début, mais le moustachu ne s'en était jamais encore habitué complètement. Comme si Pierre l'avait sentit en douleur, il vont plonger d'innombrables baisers dans son con, faisant relever sa tête pour venir en parcourir sa mâchoire et ses lèvres, l'embrassant pour lui faire oublier ces longues secondes.
Sylvain colla sa tête contre le casier dans les premiers mouvements de hanches et la douleur de dissipa rapidement, le laissant baigner dans l'extase. Une particule de sueur se posa sur son corps entier et la friction de son haut ignifugé contre le métal lui faisait sentir toute sorte de sensations bizarres. Il était juste heureux d'avoir une couche protectrice contre la surface quelque peut rugueuse. Pierre l'enroula dans ses bras, laissant son corps descendre sur sa verge jusqu'à sa base en un bref mouvement, le faisant siffler sous la jouissance. Son bas ventre se crispait de joie à chaque mouvements et même si ceux-ci n'étaient point égale, ils tiraient en lui une sensation addictive. Ils se volèrent un énième baiser, leurs corps dansant l'un contre l'autre dans des frictions et mouvements bancales et grotesques, mais aucun des deux n'en avait cure. Du moment qu'ils prenaient du plaisir, c'était l'important.
Sylvain jouit en premier, susurrant des mots incompréhensibles à l'oreille de Pierre, ses doigts se crispant de nouveaux sur les omoplates de ce dernier. Son corps devint mou comme un chiffon et ses doigts se délogèrent doucement, ses doigts se rétractant sous la vague de jouissance. Retenant le corps fatigué de son amoureux sur lui, Pierre se contenta d'embrasser son cou, marmonnant de doux mots d'amours à son oreille alors qu'il continuait ses mouvements de hanches. La jouissance le frappa à son tour, vive, mais douce, cachant son visage cramoisie dans le cou du plus petit.
Ils restèrent ainsi de longues minutes, haletant dans l'oreille de l'un et l'autre, parcourant leurs corps de brefs baisers apposés timidement. Sylvain tituba légèrement lorsqu'il remit pied sur le sol, marmonnant un truc incompréhensible en se penchant pour récupérer son boxer. Pierre rajusta le bas de sa combinaison, ensuite de ses lunettes, passant une main dans ses cheveux trempés de sueur en fixant Sylvain s'habiller. Un grand sourire étira ses lèvres lorsque ce dernier rajusta sa combinaison, se déhanchant. Il avança doucement, posant ses mains sur ses hanches, posant un baiser sur la tête de ce dernier. Le plus petit se tourna vers lui, un bref sourire sur les lèvres, les joues rougit.
- Ne me fixe pas comme ça, Lévy.
- Je te fixes aussi longtemps que je désire, Chabrier.
- Arrêtes ou je vais pas me contenir et te baiser de nouveau dans ce vestiaire.
Il eu un petit rire et Pierre de contenta de déverrouiller l'espace, Sylvain dans son dos. Ce dernier passa amoureusement une main sur son dos, s'arrêtant à ses fesses pour en serrer une.
- J'aimerais bien te voir aller, monsieur Chabrier.
- Aller, bouge ton ulc Lévy, on nous attend. Pierre e marmonna, soufflant. On a des entraînements à faire.
Personne ne fit de commentaire sur leurs têtes rouges lorsqu'ils revinrent au garage. Personne ne fit de commentaire sur leurs tenues maladroitement remises. Personne ne fit de commentaire sur le suçon qui trônait sur le cou de Sylvain et encore moins les marques qui sillonnaient le cou de Pierre. Personne ne fit rien, ne dit rien, parce que personne ne savait réellement ce qu'il s'était passé derrière les portes closes de leur vie privée...
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Petit Os bien citronné que j'ai décidée de sortir de mes notes et de retaper un peut pour lui refaire une beauté. Un autre petit smut qui prend place dans ce recueil, mais j'aime beaucoup ce dernier, plus que celui de Waves.
La publication des prochains Os se fera moins courante vu que je suis entrain de mettre mon énergie sur un autre recueil Kpop et sur une histoire entamée qui touche à sa fin. J'ai toutefois commencée à écrire quelques paragraphes dans les Os, donc aussitôt que j'ai une poussée d'énergie, je me penche dessus. Promis 🫠
Je vous laisse donc ici et je vous dis à la prochaine, chers loulous! ♥️
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