Est-il possible d'aimer encore après avoir souffert autant ?

L'être humain ne devrait pas, il devrait vivre de choses simples.

Essayer d'aimer pour essayer d'être sauver.

Sauver pour retomber plus bas encore.

Et pourtant recommencer toujours plus.

L'amour avec un grand A, est aujourd'hui considéré pour moi comme un grand H, pour la haine.

Le cur devrait avoir pour seul pouvoir de nous faire vivre, et non de choisir et de contrôler nos sentiments.

L'amour fait faire des choses stupides, comme aimer, ou détruire.

Personne ce méfit de l'amour alors que c'est le plus grand prédateur que je connaisse aujourd'hui, après les humains et leurs envie de régner sur le monde.

L'amour porte un masque, une image parfaite, celle où tu crois y voir le bonheur, la passion, la vie, mais une fois la porte passée et les masques tombé, ce n'est que tristesse, douleur, trahison.

Alors non, j'interdis mon cur de faire ce qui lui chante, car aujourd'hui il en paie encore ses erreurs.

Je lui empêche juste de recommencer une seconde fois.

Je lui empêche de ressentir le moindre sentiment d'amour et lui rappelle simplement ce qui s'y cache derrière, il reviens ensuite à la raison et me remercie encore une fois, d'exister moi, sa pensée, de lui montrer le bon comme le mauvais côté des choses. Je l'enferme à clé que seule la mort pourra ouvrir, et libéré ce sentiment de bonheur.

Les gens sont un tas de mensonges. Ils mentent à leurs entourages, et à eux mêmes. Ils sont faux. Faux comme le père noël à noël, les ufs de Pâques à Pâques et l'amour. Tout ça ne sont que de simple histoires pour pouvoir endormir les enfants avec le sourire. Le bonheur n'est pas réel pourtant tout le monde le cherche et croit l'avoir trouver. Moi je pense que le bonheur n'existe pas, du moins pas pour moi. Peut-être que personne ne peut l'avoir car personne ne le mérite. Je pense, qu'on a besoin d'un but pour vivre, pour avancer dans la vie, sans ce dire qu'on fonce droit dans le mur.

Ashton était celui qui me permettais de voir plus loin que ce mur.

Mais ce que je n'avais pas prit en compte était la chute. Avec Ashton j'avais l'impression de dépasser ce mur, de le gravir afin de passé de l'autre côté. Mais tout est parti en fumée et je suis retomber, sauf que cette fois la chute ne s'arrête pas, je tombe sans m'arrêter, la même douleur. Chaque jour.

Chaque jour depuis son départ.