09
Zain se massait les tempes. La nuit commençait à se défilé et laisser la lumière du jour se présenter au monde. Il ne comprenait pas vraiment ce qu'il se passait, ce qu'il advenait de lui dans toute cette histoire. Il ne savait pas vraiment que le temps était comme même passer rapidement, alors qu'il avait passé plus de huit heures à l'extérieur. Normalement, n'importe qui se serait ennuyer après une ou deux heures, lui n'avait même pas vu le temps défiler. Le cours de ces pensées lui avait fait perdre le fil du temps et des secondes passées s'aditionner entre elles.
Zain ne savait même pas dans quelle partie de la ville il se trouvait. Il avait arrêté de faire attention à l'endroit où il allait, au chemin qu'il empreintait. Il avait arrêter de se prendre la tête à rester dans ce qu'il était sûr de connaître pour partir à l'aventure. Il avait arrêter de se contené dans la partie qu'il connaissait sur le bout des doigts. Il ne savait même pas dans quelle rue il se trouvait et comme il avait l'habitude d'être, il s'en foutait royalement. Cela pourrait être la fin du monde qu'il s'en fouterait comme même toujours autant.
Zain ne comptait pas beaucoup à sa vie. Il s'en foutait d'elle aussi. La température prenait un peu de fraîcheur et se réchauffait un peu, mais il avait toujours aussi froid à ses genoux. Il regretterait sûrement pendant longtemps d'avoir mit un skinny noir troué. Il l'avait presque oublié, ces trous, mais le vent pénétrant dans le trou et faisant sentir des rissons sur sa peau, l'anglo-pakistanai se rappela l'erreur qu'l avait commise, qui n'était pas vraiment une erreur, mais avec son habitude de tout exagéré c'étaut presque plus important que la fin du monde. Il n'allait pas changer comme même.
Zain sortir une clope de son paquet, fouilla dans la poche arrière de son jean pour retrouver son briquet et le reprendre dans ses mains. Il lança le petit contenant en l'air, dans un petit saut de quelques centimètres avant que celui-ci ne se retombe sur sa paume ouverte, qui attendait que le briquet retombe. Il prit la clope dans ses mains, la plaça à ses lèvres, remit le paquet, ne contenant plus que de trois cigarettes alors qu'elle était pleine, la veille au soir, dans l'autre poche arrière de son jean. Il plaça le briquet au bout du cylindre et attendit.
Zain ne savait pas vraiment ce qu'il attendait et pourtant il attendait cette chose. Il n'attendit pas longtemps non plus, ayant le briquet qui le tentait ainsi que le cylindre bouré de tabac. Il alluma le briquet, cacha avec sa main, le bout de sa cigarette, de l'autre côté de ces lèvres et y passa le briquet jusqu'à être sûr que le cylindre se consume. Il remit son briquet dans la poche arrière de son jean, autre que celle contenant le paquet de cigarette. Il ramena sa main droite à ses lèvres pour retirer le cylindre dont il venait de prendre une latte.
Zain aimerait dire avalé la fumée, mais il l'expira vers l'extérieur, sachant que cela allait encore plus le détruire. Mais il se ravisa quand il vu le soleil entrain de se montrer sur l'horizon. Il se concntra sur l'astre qui montrant le bout de son nez. L'anglo-pakistanais, qui aimait bien plus la pluie que le soleil, ne pouvait comme pas se retenir d'admirer la beauté que dégageait l'astre, ainsi que la chaleur qu'il laissait échappé. Il ne pouvait pas s'en empêcher, même s'il le voudrait au plus profond, même si ce n'est pas le cas, il ne pourrait pas.
Zain ne bougeait pas, il restait stoïque, presque aussi raide qu'un poteau, et laissa son regard se glisser sur les courbes du soleil. Le soleil n'était pas une femme, s'il l'était, il ne serait même pas une siblime et irrésistible créature, mais pourtant le jeune homme regardait l'astre de cette façon. Il remarquait enfin les biensfaits que lui produisait le soleil sur son esprit et son corps. Il commençait à préféré le soleil à la pluie, mais il n'était pas encore près de ce but-là. Il y avait encore quelques démarches à faire, par rapport à l'amour qu'il porte à la pluie.
Zain s'en foutait pas de se blesser le yeux à cause de regarder le soleil. Il s'en foutait même largement. Il ne voulait pas que cela prenne de l'importance pour lui. Ce n'était pas dans sa nature de faire attention à quelque chose et il voulait rester ainsi. Il se disait que l'on vivait mieux en ne prêtait pas attention à toutes les choses qui nous entourent, que l'on vivait mieux si on s'y attachait pas. Il ne voulait pas faire partie des personnes qui meurent à force de trop aimer telle ou telle chose, il nétait pas ainsi, ce n'était pour lui.
Zain ne comptait plus le nombres de secondes qu'il passait à regarde le soleil. Il avait presque oubli la présence d'une clope entamée entre ses fins et longs doigts de sa main gauche. Il ramena la cigarette à ses lèvres pour retirer une latte. Il expira la fumée, toujours en fixant l'asre se levant tout doucement dans le soleil. Il savait qu'aujourd'hui allait être une bonne journée, ensoillée et plus chaude que la nuit. Il savait et pourtant, il irait sûrement rentrer chez lui, toujours une clope aux lèvres, à ne pas profiter de la chaleur naturelle du soleil.
Zain était sûrement un gros abruti, mais surtout un grand enfant. Il était quelqu'un qui avait peur de se brûler à cause du soleil, comme si le feu de son briquet ne pourrait rie lui faire mais que le soleil le brûlerait vif. Il était ainsi, à toujours se contredire et se convenir. Il était un véritable casse-tête, une exception de la nature. Il sortait totalement de l'ordinaire, il n'était pas comme tout le monde. Il était un mystère à lui tout seul, qu'il valait mieux ne pas résoudre pour ne pas finir avec un mal de crâne monumental. Il valait mieux ne pastrop lui porter d'attention, ne pas trop s'attacher à lui, sinon il ne fera que du mal. Il n'aime pas l'amour, porter de l'amour vers quelq'un, avoir quelqu'un qui lui porte de l'amour. Il n'aimait rien de cela et s'en contentait bien.
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