Chapitre 92 : Vers les terres arides
Après avoir rencontré un nouveau compagnon en la personne de N6, le groupe avait repris la mer en direction de Saharash. Et cela faisait maintenant deux jours qu'ils étaient partit de Gélibourg. Ils avaient quitté depuis peu les alentours gelé de Frigost pour enfin retrouvé une température normale.
Ils étaient alors entrain de déjeuner. Ils étaient tous les six à table même si N6 ne mangeait pas, étant donné qu'elle n'en avait pas besoin.
Dante : En tout cas heureusement que tu n'as pas vraiment besoin d'un lit pour te reposer N6. Car on allait commencer à être à l'étroit.
N6 : Il me suffit juste de passer dans un sorte de mode veille. Mais comme je ne sens pas les choses de la même manière que vous, ça ne dérange pas de rester allongé sur le pont.
Luci : Mais bon tu pourrais quand même avoir ta propre chambre.
Astor (vexé) : Oui bas moi à la base j'avais prévu qu'on serait seulement trois. Et la on vient de doubler. En plus estimer vous heureuse les filles vous avez une chambre chacune alors que nous on est trois dans la même.
N6 : Ne t'inquiète pas je te l'ais dit je m'en fiche. En plus c'est pas plus mal ça me permet de monter la garde. Et quand même tu t'es surpasser en rangeant assez la cal pour que je puisse y mettre mes affaires.
Hadram : Surtout que l'autre nuit on sait encore fait attaquer par quelque possédé.
Ils continuèrent à manger tranquillement.
Dante : D'ailleurs je me disais Hadram. Comme on n'est bientôt arriver à Saharash. Il serait peut être temps que tu nous en parle un peu plus.
Luci : C'est vrai ça à part ton grand frère tu ne nous à jamais parlé de ce qui s'y trouvait.
Hadram : Et bien, Saharash est une île hostile. Avant même l'arrivée des êtres abyssal l'île grouillé de créature dangereuse en tout genre. Mais depuis que l'île à été corrompue elle est complètement envahi de cristaux et de crevasse. Les désert sont devenus encore plus caniculaire, l'eau est imbuvable et les falaise plus fragile. Il y a même un mythecomme quoi quelque part se trouverait une entrée donnant sur les limbes. De plus de très nombreux démon très puissant y rôde. Je dirais qu'en comparaison Vulcania ce n'est pas grand chose.
Dante : Mais dit moi, comment avec tout ce que tu nous dis, des gens on pût y survivre ? Je veux dire sur les autres île il n'y avait personne à part de très rare exception ou situation exceptionnelle.
Hadram : Eh bien, d'une le village des "survivants" est très bien caché et à tendance à bougé assez souvent. L'île ayant de grande falaise difficilement accessible, la tribu en tire profit.
Luci : Mais ça ne peut pas arrêter les démons. On peut pas dire que c'est endroit peut accessible qui leurs posent problème.
Hadram : Eh bien c'est aussi et principalement du haut fait que l'île ayant de base des conditions difficiles les habitants sont fort, très fort, ils sont tous des guerrier même les enfants peuvent se défendre contre des démons assez faibles.
Luci : C'est vrai que tu es le plus jeune d'entre nous et pourtant tu te débrouille plutôt bien pour un non éxalté.
Hadram (d'un sourire un peu géné) : Merci... mais le plus fort c'est le chef qui lui est un tout autre niveau.
Astor : Ah ouais ? Et à qu'elle point ?
Hadram : Un jour alors qu'un démon à trouvé le village il l'a affronté lui et plein d'autres plus faible à lui tout seul. Et est ressortit du combat sans aucune blessure. Mais je ne vous parle pas d'un démon "mineur" mais bien d'un de ce qu'on appelle des "meneurs", des démons majeurs.
Dante (intéressé) : Effectivement il a l'air super balèze.
Hadram (en souriant) : Et ouais, c'est mon grand frère !
Ils furent tous étonné sauf N6 car malgré le fait qu'elle avait entendu toute leurs petits histoires, elle n'était pas vraiment totalement à jour.
Dante : C'est ton grand frère le chef du village ?
Hadram : Ouais et j'ai vraiment hâte de le revoir pour lui montrer mes progrès.
Luci : Je suis désolé Hadram je vais poser une question qui fâche. Mais comment sais tu que ton frère est en vie. Tu doutais toi même au début sur le fait qu'il allait bien.
Hadram : La raison est simple en y repensant je suis sûr qu'il va bien car il est ce qu'on pourrait qualifier d'incassable !
Après le repas ils allèrent tous a leurs occupations. Astor comme à son habitude s'occupa de l'entretien du bateau mais cette fois aidé par N6. Ils se trouvaient alors dans la salle des moteurs.
Astor : Je dois avouer que ton catalyseur est plutôt pas mal. Même si on doit avoir Dante, Luci ou toi sous la main pour l'utiliser.
N6 : Je te l'ais dit ça marche tout aussi bien. D'ailleurs je comprends vraiment pas pourquoi toute tes machines sont aussi volumineuse. (D'un ton moqueur) T'as la folie des grandeurs ou quoi ?
Astor : Qu'est ce que tu raconte encore.
N6 : Bas elle prennent toute une place importante pour pas grand chose. Par exemple je suis sûr que je serais capable de modifier ton méca de combat pour le rendre plus petit pour une éfficacité similaire.
Astor (intrigué) : Effectivement là ça m'intéresse. Dis m'en plus.
Pendant ce temps Luci s'occupait des plantes. Elles avaient toute un peu fanées à cause de leur passage dans un environnement plus froid. Mais une d'entre elle ressortait maintenant du lot. Il s'agissait de la plante d'Adesca qui malgré le froid avait continué à bien se développer. Elle arborait un petit bourgeon laissant présagé l'apparition d'une fleur.
Luci (dans sa tête) : Cette plante est vraiment particulièrement, pourtant je ne ressens pas d'énergie particulière.
Elle mit ses queue devant elle et se mit à les observer.
Luci (dans sa tête) : Pourtant elle est bien partie, sinon je pourrais encore être connecté à elle.
La journée passa alors tranquillement jusqu'à ce que tout le monde hormis N6 allèrent se coucher. Mais une fois de plus Dante fut tourmenté par cette étrange rêve. Ils étaient encore dans le couloir mais semblait de plus en plus grand. Tout au bout se trouvait encore la silhouette qui lui parlait.
Dante (dans sa tête) : Je savais qu'il allait revenir.
??? : T'es content de toi ? T'es passé à côté d'une sacré puissance quand tu a redonné à cette xélor le cœur énergétique. T'imagine t'aurais eut une telle puissance quand tu étais petit tu aurais put sauvé ta sœur.
Dante le regardait de manière menaçante.
??? : Quoi ? Tu pense que tu n'en a pas besoin c'est ça ? Que tu vas quand même devenir le plus fort ? C'est pas ta petite bande qui va compenser... Non ça tu le sais déjà. Mais un jour tu vas tomber sur un adversaire que tu ne pourras pas battre. Peut être un dieu, ou juste un pauvre démon pathétique. Et ce jour là tu t'en mordra les doigts.
Dante se mit à courir dans sa direction.
??? : Tu es encore bien trop loin pour venir jusqu'à moi.
Mais soudain Dante se réveilla en tombant du lit. Il était complètement perdu et finit par se relever. Et sans qu'il ne sache pourquoi c'est comme si tout a coup il se mit a voir tout en rouge un court instant. Il eut ensuite mal à la tête et décida d'aller prendre l'air sur le pont. C'est alors qu'il croisa N6 qui s'y trouvait. Elle avait déplacé quelques affaires et était entrain de bricoler sur une petite table qu'elle c'était installé.
N6 : Dante je voulais te dire... désolé de t'avoir énervé la première fois qu'on c'est rencontré.
Dante : T'en fais pas, tu avais t'es raison. Moi aussi je peux être désagréable avec les gens parfois. Mais d'ailleurs je me disais ça ne te dérange pas tout ça ?
N6 : Comment ça ?
Dante : Bas on va dire que tu es venue avec nous sans savoir dans quoi tu allais embarquer.
N6 : Ça ne me dérange pas.
Dante : Tu es sûr ?
N6 : Moi la seul chose que je voulais c'était de me crée ce corps pour me libérer du mien. Mais maintenant ce que je veux c'est vivre avec des gens en qui j'ai confiance. Alors peut importante ce que vous comptez faire je vous suivrait. En plus tu sais j'aime bien les combats, je trouve ça amusant. La dernière fois j'étais trop faible et tracassé par le cœur énergétique. Mais maintenant je vais pouvoir te montrer ce que je vaux
Dante (en souriant) : Et bien je te souhaite de nouveau la bienvenue. Et j'espère que tu trouveras ton compte en restant.
Il observa N6 mais à cause de son corps aucun sentiment ne transparaissait
N6 : Même si je ne peux pas sourir, sache que c'est ce que j'aurais fait.
Juste après elle se leva en prenant ses affaires.
N6 : Sur ceux je te laisse j'ai d'autres choses à faire.
Elle laissa donc Dante seul sur le pont. Ce dernier n'arrivant pas à fermer l'œil alla s'allonger en haut de la vigie pour profiter de l'air marin.
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