Chapitre 55 : Un lâche
Il était maintenant tard et la nuit commençait à tomber sur la ville de Sufokia. Le groupe était dans un restaurant chic du centre ville.
Uther : Prenez ce que vous voulez, c'est moi qui paye.
Dante : Tu es sûre, on vient de se faire un paquet de kamas. On a largement les moyens de payer.
Uther : Non j'insiste, vous avez cas dire que c'est en remerciement de m'avoir sauvé.
Astor : Ouais enfin ta dette je pense que tu l'as largement remboursé depuis le temps.
Dante : D'ailleurs on t'a pas raconté, ce qui c'est passé sur l'île des wabits après que tu sois partie.
Ils furent servit et puis il lui raconta alors toute la suite des événements et sa confrontation avec Vizzavona. Uther était alors très étonné de l'apprendre.
Uther : Attend et en plus c'était un éxalté ?
Dante : Oui et avec un pouvoir bien énervant.
Uther : J'avais jamais encore entendu parler d'un éxalté n'étant pas un membre des adeptes de la déesse.
Astor : Bas ducoup ça doit être possible mais très rare.
Uther : Par contre attendez y a un truc que j'arrive pas à comprendre ?
Astor : De quoi ?
Uther : Luci est bien une éxalté, alors comment ça se fait que les sommenifères de Vizzavona ont fonctionné sur elle ?
Tout le monde fut alors intrigué.
Uther : Non parce que moi ça m'est déjà arrivé un jour alors que je marcher dans les Landes de sidimot. Quelqu'un avait essaye de me droguer en m'offrant quelque chose à boire pour pouvoir ensuite me dépouyer. Mais la substances n'as eu aucun effet sur moi.
Astor (étonné) : C'est vrai ça, j'avais vue que les éxaltés sont immunisé à tout les poisons et problème de santé.
Luci (surprise) : C'est vrai j'avais oublié, bas alors comment ça se fait que ça a marcher sur moi ?
Uther fixa alors Luci longuement.
Uther : C'est bizarre je sens pourtant bien une énergie d'éxalté.
Luci : Bas écoute je pourrais pas t'expliquer, parce que là je sèche.
Uther : D'ailleurs je me suis toujours demandé, pourquoi t'as un œil tout le temps fermé.
Luci : Ça c'est juste une mal formation, je n'est pas d'œil droit et je ne peux pas ouvrir ma paupières.
Uther : Eh ben t'es plutôt bizarre quand même. D'ailleurs j'ai oublié de vous prévenir, j'ai entendu que les commandants ont reçu la visite de deux gardes céleste.
Personne ne savait de quoi il parlait sauf Luci qui fut étonné.
Luci : Des gardes céleste ici à Sufokia ?
Uther : Oui, je crois qu'ils sont venu pour se renseigner sur la confrérie.
Luci : À voir vos réactions vous ne devez pas savoir qui ils sont, je me trompe ?
Dante : Si ça me dis un truc mais j'arrive plus dire d'où sa vient.
Uther : Les gardes céleste sont l'élite des éxaltés du monde. Ils sont au nombre de quatre et sont sous les ordres direct de la déesse Zéphyr.
Dante (intrigué) : Ils ont l'air balèze.
Uther : Pas qu'un peut, à part le général en chef on estime que aucun mortel ne peut les battre dans un combat singulier. Ils auraient été entraîné par le seigneur draconique en personne.
Astor : Le seigneur draconique ?
Luci : On raconte qu'il y a 73 ans les dragons du monde entier ont voulu se révolté contre la déesse Zéphyr. Mais un dragon les à tous soumis à lui tout seul.
Uther : Il a ensuite prété allégeance à la déesse et maintenant tout les dragons gardent et vivent dans la cité de Zéphyréa.
Dante : Donc les gardes céleste sont les élèves d'une entité aussi puissante. Effectivement ça doit pas être des petits.
Uther : Je sais pas si vous les croiserai mais si c'est le cas vous les reconnaîtrais tout de suite.
Uther tourna alors les yeux vers Adesca qui était en bout de table.
Uther : Tu n'as rien pris à manger, pourtant je te l'ais dit c'est moi qui paye ?
Adesca : Je n'ais pas besoin de manger, seulement de l'eau et du soleil me suffisent pour vivre. D'ailleurs je crois que je vais aller dehors pour profiter des derniers rayons du soleil.
Elle se leva alors et sortit du restaurant. Elle partit s'assoir au bord de l'eau.
Adesca (dans sa tête) : Ça fait quand même bizarre, y a pas une plante ou un seul carré de terre dans la ville, que de la pierre à perte de vue. Je me sens pas si à l'aise que ça au final.
À ce moment là Hadram débarqua de nul part et comme la dernière fois s'asseya à côté de Adesca.
Hadram : Me revoilà !
Adesca : Salut Hadram, tu débarque toujours de nul part ?
Hadram : Je suis plutôt rapide et agile pour mon âge tu sais.
Adesca : D'ailleurs tu m'avais parler de ton grand frère l'autre fois il est où ?
Hadram : Il est encore sur Saharash à l'heure qu'il est.
Adesca (étonné) : Mais c'est terrible, les démons doivent être nombreux là bas.
Hadram : Ouais même trop nombreux. On m'a dit que ça fait bien plus d'une centaine d'année que les démons y sont. Et il y a un peu plus d'un an mon frère et moi on a tenter désespérément de partir de l'île pour aller chercher de l'aide sur le continent. Mais avant de pouvoir ne serait-ce ne plus avoir en vue l'île on c'est fait repérer par des démons. Mon frère à alors tout fait pour que je m'échappe et lui est resté. J'essaye donc d'accomplir sa volonté initiale et de chercher de l'aide mais au final je n'ais trouvé personne.
Adesca : Tu sais moi j'étais seul sur mon île, toute ma famille tout mes amis ont été transformé en démon, j'étais la seul survivante. Je vivais en me cachant grâce à mes pouvoirs. Mais un jour quand ils sont arrivés sur mon île un espoir et arriver et en pariant sur eux je n'ais pas été déçu.
Hadram : Tu dis ça mais l'huppermage il veut pas de moi sur leurs bateau.
Adesca : De ce que j'ai put comprendre il n'accorde juste pas sa confiance à n'importe qui. Si tu veux venir avec eux il faut que tu face quelque chose qui lui permettrait d'avoir confiance en toi.
Hadram : Alors ça vas être compliqué. Parce que je suis un lâche.
Adesca (étonné) : Comment ça ?
Hadram : Sur Saharash seul les plus fort arrive à survivre mais moi je suis une exception. La seul raison pour laquelle j'ai réussit à survivre est que Crône ma prit sous son aile quand j'étais tout petit et que mes parents ont été tué.
Adesca : C'est qui Crône ?
Hadram : C'est pas vraiment mon grand frère je le considère juste comme tel. Il est le plus fort des survivants de l'île quasiment invincible en combat. Il m'a protégé moi qui était alors encore jeune, mais je n'ais jamais put lui rendre la pareille parce que je suis trop faible.
Dante : Alors comme ça gamin quelqu'un est devenu ton frère et ta prit sous son aile ?
Adesca et Hadram se retournèrent d'un seul coup.
Hadram (surpris) : Qu'est ce que tu fais là ?
Dante : Je savais très bien que tu aller venir. Tu nous suis depuis cette après midi.
Hadram : Et alors, encore une fois tu peux pas me dire de dégager.
Dante s'asseya à côté de Hadram.
Dante : Alors comme ça alors que tu étais faible quelqu'un ta soutenu. Tu sais ça me rappelle ma propre expérience. (d'un ton ironique) Sauf que moi j'étais pas un lâche comme tu t'es décrit toi même. Mais moi je regrette de ne jamais avoir vraiment pu rendre à la personne ce qu'elle m'a donné. Enfin sauf si lui laisser la vie sauvé après avoir failli la tuer c'est vraiment lui rendre ce qu'elle m'a donné, mais franchement j'en doute.
Hadram (méfiant) : Qu'est ce que tu essaye de me faire comprendre ?
Dante : Montre moi que tu arrive à ne pas être un lâche et j'accepte que tu vienne avec nous.
Hadram : Sérieux !?
Dante : Par contre je te préviens, si tu viens avec nous on ira pas tout de suite à Saharash.
Hadram : C'est pas grave dans tout les cas vous êtes les seuls personnes qui pouvez m'y emmener, en plus si vous êtes fort ça fera d'une pierre de coup, parce que vous pourrez nous aider.
Dante : Bon je vous ais assez entendu parler, je retourne manger.
Il se dirigea vers le restaurant et vit Luci à l'entrée le regardant revenir.
Luci : Alors comme ça messieurs est touché par les paroles d'un gamin ?
Dante (saoulé) : Lâche moi un peu, j'ai bien le droit d'avoir la logique que je veux. Aller viens on va pas laisser Uther avec seulement deux personnes alors qu'il nous a invité tout les cinq.
Ils rentrèrent dans le restaurant pour aller manger.
Adesca : C'est super si tu peux venir avec nous !
Hadram : Enfin il est gentil mais prouvé que je ne suis pas un lâche, comment je suis censé faire ça ?
Adesca : Je pense qu'on va rester quelque jours tu trouvera bien quelque chose pendant ce temps.
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