Chapitre 153 : Une vie insuflé

Astor n'en revenait pas. Cette créature l'avait appelé "fils".

Astor (désemparé) : Qui êtes vous ?

??? : Je suis un mécasme du nom d'Axonré. Je suis ce qu'on pourrait qualifier comme ton créateur.

Astor : Créateur ?

Axonré : Oui vois tu les mécasmes ne se reproduise pas comme les créatures du monde sur lequel tu vis. Ils insuflent la vie à un objet inanimé et ce dernier va se développer pour devenir un mécasme.

Astor n'arrivait plus à parler tant le choc de la vérité lui semblait irréel.

Axonré : Regarde au plus profond de ta mémoire et tu verras que ce que je te raconte est vrai. Même si pour toi c'est un peu particulier.

En présence de toute cette énergie Astor put se concentrer et des souvenirs très lointain commençèrent a lui revenir petit à petit. Il arriva à se rappeler de tout, en particulier les jours qui suivirent sa naissance. Il était né à Sufokia d'une mère et d'un père qui vivenait dans la pauvreté. Il arrivait à revoir leurs silhouettes mais pas à se souvenir de leurs visages. Mais la condition de ses parents ne leur permettaient pas de s'occuper d'un enfant. Astor fut donc abandonné dans une ruel sombre où personne n'aurait put le trouver. Étant un nouveau né à ce moment là il ne put survivre très longtemps tout seul. Il mourut donc dans le froid sans que personne ne vienne l'aider.

Mais à peine quelques minutes après alors qu'il faisait nuit et que la lune n'éclairait que peu la ville, une petite lueur descendit du ciel. Il s'agissait d'Axonré qui avait sentit ce petit être disparaître. Il était venue sur le monde du Zéphyr car comme de nombreux mécasme il se baladait dans l'univers en quête de connaissance. Il était un être complètement différent, parlant un langage que les gens de ce monde ne pouvait comprendre. Mais même lui prit ce pauvre petit steamer en pitié et décida d'essayer sa capacité de création sur un être dont la vie avait quitté son corps.

Il l'infusa donc de son énergie et miraculeusement le nouveau né put revenir à la vie. Mais il fut bien changer dans le processus. Son corps n'était plus celui d'un steamer mais il n'était pas non plus celui d'un mécasme. Il était un mélange des deux. Mais ça ne se voyait pas encore car à l'extérieur il avait gardé une apparence de steamer. Axonré prit donc le garçon avec lui et explora le monde pendant quelques mois en sa compagnie. Pendant tout ce temps Astor put graver une image dans son esprit, celle de ce triangle bleu qui veillait sur lui.

Mais un jour alors qu'ils se trouvaient non loin d'Amakna ils croisèrent la route du chasseur Léodargent. Il était reconnu pour chasser des créatures rare ou même légendaire pour les vendre et accroître ses richesses. Il n'avait à ce moment là qu'à peine 18 ans mais avait déjà amassé une petite fortune. Et en ayant la chance de croiser au hasard cet être venue des étoiles il comprit que c'était la prise la plus exceptionnelle qu'il pourrait avoir. Il avait déjà entendu de nombreuse légende sur des êtres qui peuplait d'autre monde, mais là elles c'étaient matérialisé devant lui.

Il traqua donc sans relâche Axonré sans que ce dernier en tant que simple mécasme ne puisse faire quoi que ce soit contre l'homme qui à l'époque avait déjà ses pouvoirs d'éxalté.

L'être venue du ciel était alors entrain de fuir son ennemi à travers les plaines du sud d'Amakna. Il savait sa situation complètement désespéré et en passant devant un petit village il se résigna. Il attrapa donc Astor qu'il transportait dans un grand sac pour le maintenir au chaud. Et le prit dans ses bras.

Axonré : Astor, je ne sais même pas si en tant qu'hybride tu es en capacité de comprendre le language propre a mon peuple. Mais sache que malgré que je ne ressens pas grand chose, je t'aime. Tu es un être éxeptionnel. Tu ne ressemble peut être pas à un mécasme à leur actuel et tu auras sûrement tout oublié en grandissant.

Le très jeune hybride ne comprenait pas ce qui ce passait. Il n'était qu'un simple nouveau né perdu par la situation.

Axonré : Mais je sais qu'un jour ta vraie nature s'éveillera et j'ai espoir que tu te souviendra de moi. Tu es spécial Astor et mon cœur pourtant différent des êtres qui peuple ce monde est éffondré à l'idée de te laisser. Mais je fais ça pour t'assurer un avenir, à toi petit être que le destin n'a pas épargné.

Sans trop éveillé les soupçon il amena discrètement le petit hybride devant ce qu'il savait être un orphelina. Et alors qu'il le déposa devant la porte le mécasme le prit une dernière fois dans ses bras avant de le laisser. Il partit donc en volant loin du village sans ce retourner et en voyant cela Astor ce mis à pleurer. Ses cries attirèrent Méla qui ouvra la porte de l'orphelina.

Méla (intrigué) : Qu'est ce qui peut bien ce passer à une heure pareil ?

Elle regarda autour d'elle et vit cette enfant abandonné devant sa porte. Elle eut le réflexe de le prendre pour voir si il allait bien.

Méla (d'une voix rassurante) : Que fait tu la mon petit ? Qui a bien put déposer un si charmant bébé devant ma porte.

Elle regarda encore une fois autour d'elle mais personne ne se trouvait à proximité. Elle désespéra de constater une nouvelle fois les malheurs de la vie mais en regardant Astor elle se mit à sourir pour le rassurer.

Méla : Ne t'en fait pas, on peut dire que tu es tombé au bonne endroit. Je vais bien m'occuper de toi à partir de maintenant.

Astor grandissa donc à l'orphelinat ne se souvenant pas de tout ce qu'il avait vécu bébé. Il n'avait pas une apparence de mécasme car sa vrai nature ne c'était pas encore éveillé. Mais il finit par ce faire un solide groupe de camarade avec qui il partagea de grand moment. Maintenant, lui qui était le soutien ce rendit compte que comme tout le monde il avait une part de lui qui était unique. Il n'était pas qu'un simple orphelin sans histoire, bien au contraire.

De retour au milieu de cette vision dans le présent il était sous le choque. Il regarda Axonré et commença à verser des larmes. Puis il se jeta dans les bras du mécasme.

Astor (en pleure) : Père, je suis si content de vous revoir.

Axonré : Moi aussi ma petite création. Je ne pensais pas pouvoir te revoir un jour. Même si cela devait ce faire sous cette forme.

Astor : Comment ça ?

Axonré : Tu te doute bien que mon corps ayant été détruit je ne suis plus vraiment en vie. Seul une toute petite étincelle de mon esprit est encore dans mon cœur. Et c'est grâce à cela que nous pouvons nous parler.

Astor : Non ce n'est pas possible...

Axonré : Mais ne t'en fait pas tout ce qui compte c'est que tu ailles bien. Je ne suis pas un être qui tient en très haute estime sa propre vie. Je ne suis qu'une petite poussière dans l'infinité du krosmoz.

Malgré le manque d'expression du à ça nature de mecasme, les paroles d'Axonré résonné dans l'esprit de sa création comme emplit de bienveillance.

Axonré : Mais toi tu es spécial et je veux que tu vive ta vie. Tu es ma création et je ne pourrais pas supporter de savoir que tu vas disparaître. Alors relève toi et bat toi ! Tu n'es pas qu'un simple steamer. Tu es Astor celui que le destin a voulu voir mourir mais qui a suvécu. Alors va et triomphe de cette énutrof qui ne pense qu'à l'argent et ce fiche des vies qu'il prend.

De retour dans le vrai monde Astor ce releva en empoignant le cœur de son créateur. Il ne c'était écoulé qu'à peine une seconde depuis qu'il a eut cette vision. Le commandant le vit en possession du cœur et s'énerva.

Léodargent : Et toi, rend moi ce cœur il ne t'appartient pas !

Astor (énervé) : La ferme ! Il ne t'appartient pas non plus. Tu n'es qu'un monstre qui ne mérite même pas de vivre. Tout ces mécasmes que tu as tué étaient peut-être les êtres les plus amicaux de l'univers.

Léodargent : Qu'est ce que tu raconte. Nous ne sommes même pas en capacité de les comprendre. Alors tu sais je vais pas me prendre la tête avec ça.

Astor : Et bien prépare toi à subir le revers de toutes tes actions !

Léodargent : Et tu penses faire quoi ? Ton ami tiens à peine debout et toi tu n'as que tes petits gadget.

L'hybride pointa alors son cœur avec son canon de poignet.

Astor : Je crois que tu as oublié qui j'étais.

Il entendit dans sa tête la voix de son créateur.

Axonré : C'est cette situation de mort qui t'as fait ressortir ta nature profonde. Tu ressemble peut être à un steamer mais ton cœur est aussi celui d'un mécasme.

Sa création se tira dessus lui créant une plaie béante au niveau du cœur. Il enfonça ensuite sa main dans sa cage thoracique et en sortit son cœur. Hadram et Léodargent furent alors choqué par ce qu'ils voyaient. Son cœur n'était pas celui d'un steamer. Il était en forme de losange bleu. Du sang y coulait mais il était complètement bleu lui aussi. Son corps se mit alors à s'illumine d'une forte lueur bleuté. Il regarda Hadram en souriant.

Astor : Allons y... allons dans ce monde de paix dont nous a parler Luci.

Hadram (en souriant difficilement) : Tu as raison, peut importe qui nous sommes, nous irons tous ensemble dans ce monde.

Une puissante lueur bleu éblouissa l'ouginiak et l'énutrof. Et une fois le flash passé ils purent voir Astor qui avait changé. Il avait maintenant une apparence très proche de celle de son âme à Vulcania. Il avait la quasi intégralité de sa peau de couleur noir bleuté et des traits un peu partout sur le corps. L'iris de ses yeux était devenue bleu. Son cœur en forme de losange était apparent à gauche sur son torse. Cependant il ne ressemblait pas totalement à un mécasme. Car toute sa tête sans compter son cou avait gardé une apparence normal. C'était aussi le cas de ses mains et de la moitié avant de ses avant bras, ainsi que le bas de ses jambes. Sa silhouette restait tout de même celle d'un steamer.

Léodargent (choqué) : J'arrive pas à y croire ! C'est quoi ça comme mécasme ?!

Astor prit le ceour de son créateur a deux mains.

Astor : Au revoir père, je suis content d'avoir put vous revoir. Maintenant je vous laisse reposé en paix.

La faible lueur qui éclairé encore le cœur s'éteigna et Astor le brisa en morceau. L'énutrof s'enragea en voyant cela.

Léodargent : T'es malade ?! Tu sais combien ça coûte un truc par...

Astor (fort) : La ferme !!! Je vais t'envoyer en enfer ! Et je pourrais ensuite aller retrouver mes amis la tête haute.

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