Chapitre 147 : Le pouvoir et la paix

Luci était éffondré constatant sans pouvoir rien faire, la mort de Dante. Elle repensa à tout ses aventures qu'elle avait vécu avec lui. Elle n'essaya même pas de se dégager de l'emprise de son adversaire.

Luci (dans sa tête) : Je m'en veux terriblement. Tout ça c'est de ma faute. J'aurais dû venir t'aider plus tôt. Mais je n'ai pas osé l'utiliser...

Les gardes constatèrent la détresse de leur cible mais y passèrent outre, ne se laissant pas distraire.

Siéra : Maintenant tu vas nous suivre bien gentillement.

Ils lui mirent les menottes sans aucune réaction de sa part. Elle ne voulait plus bouger.

De son côté Pendrago était au milieu du cratère. Malgré sa victoire sans trop de blessures il était complètement choqué. Son visage reflétait de la peur.

Pendrago (térrifié) : Comment un mortel peut il être aussi fort ? Ce regard qu'il tenait tout le long du combat, il me térrifie. Comment un être comme lui peut il atteindre un telle niveau... Mais tout ça c'est finit, j'ai gagné. (À lui même) Vous êtes satisfait votre grandeur ?

Il attendit un peu mais rien ne semblait vouloir lui répondre.

Pendrago : Votre grandeur ? Pourquoi ne répondez vous pas ?!

Et c'est alors que dans un endroit coupé de tout. Un endroit surnaturel et semblant infini où les âmes flottaient au milieu de sombre tourbillon et de rassurant nuage lumineux. L'esprit de Dante décollait pour l'au-delà. Son esprit était serein malgré tout et ne pensais plus qu'au présent.

Dante (d'un ton calme) : Ça doit être ça la mort... un endroit calme au milieu de l'infinité. Ma vie est terminée et ça aura été une super aventure...

Il était entrain de flotter tout doucement en direction de ce qui semblait être le haut. Traversant les nuages pour atteindre ce qui semblait être l'espace. Il se rapprocha de plus en plus d'un immense tourbillon de stasis. Mais soudain, avant de se faire emporter, un de ses bras fut attrapé par quelque chose. Il se retourna pour voir ce qu'il en était et vit devant lui un être étrange qu'il n'avait jamais vue mais dont l'aura lui rappela quelque chose.

??? : Tu crois vraiment que la mort est ce qui t'attend ? Toi le mortel qui a dépassé toute mes espérance. Tu n'as peut être pas pleinement accomplie ton test final, mais tu m'as quand même prouvé ta force indéniable.

La personne qui lui avait prit le bras n'était pas très grande. Elle devait mesurer dans le mètres cinquante. Il avait une silhouette humanoïdes ressemblant à un jeune garçon dont la surface était d'un noir profond. Tout son corps était parsemé de tatouage formant des ligne rouge lumineuse et de petits points rouge ressemblant à des étoiles dans l'espace. Il ne possédait pas de bouche, son visage étant simplement décoré par ses yeux rouge brillant comme tout le reste. Il avait une chevelure mais qui semblait comme tout le reste de son corps fait d'une matière similaire à celle des mécasmes. Et enfin il possédait une paire d'ailes à la manière des élaitrops. Cependant les siennes étaient faites de cette même énergie rouge que le reste de son corps.

Dante reconnu la voix qui lui avait parlé à mainte reprise dans son esprit. Celui qui lui avait fait vivre cette sensation que sa quête allait le mener au pouvoir.

??? : Je me présente je suis Véawen frère de la Grande déesse et de la Déesse azur. Dieu primordial que l'histoire elle même à oublié.

Dante en entendant ces mots arrêta d'être complètement passif et fut grandement surpris. Il s'apprêta à lui parler mais ce fit prendre de court.

Véawen : Je suis celui qui t'as mené a tout ça, toi qui envie le pouvoir. Tu es le mortel le plus extraordinaire que j'ai put rencontrer. Tu veux la puissance et tu vit pour elle. Malgré tes limites tu croyais vraiment pouvoir affronter des dieux. Et je te félicite pour cela. Mais malgré tout tu es mort sans atteindre ton but. Alors je te propose quelque chose que tu ne pourras sans doute pas refuser.

Il s'éloigna légèrement de Dante en flottant dans cet espace infinie et déploya une puissante aura projetant une lumière rouge.

Véawen : Devient mon nouvel hôte et je ferais de toi l'être le plus puissant possible. Tu pourras à nouveau te battre et même terrasser les dieux je te le promets. En échange tu devras me fournir en énergie. Mais quoi de plus simple pour une personne voulant vaincre les dieux démons ?

Dante réflechissa à tout ce que lui disait le dieu ancien. Il se demanda même si tout cela n'était pas un rêve où une hallucination, et si il n'était pas sur le point de se réveiller.

Véawen : Allez dit le, il ne te suffit que d'une phrase pour obtenir cette puissance dont tu rêves tant !

Quelques secondes passèrent au milieu de cette espace infinie et après un bref moment d'hésitation Dante finit par ouvrir la bouche.

Dante : Je veux le pouvoir...

En prononçant ses mots son corps fut envahie d'une énergie rouge et le dieu ancien se mit à sourir.

Véawen : Bien qu'il en soit ainsi. Nous allons assister à la naissance du guerrier ultime !

De retour dans le vrai monde le général sentit que quelque chose avait changé.

Pendrago (inquiet) : Seigneur Véawen, vous êtes là ? Vous êtes satisfait que j'ai put éliminer ce mortel ?

Il entendit alors la voix du dieu ancien lui parler dans sa tête.

Véawen : Oui malgré un temps d'attente plutôt long tu as fait du beau travail.

Pendrago : Merci, je suis honorer par vos paroles.

Véawen : Mais il y a quelque chose dont je dois te parler.

Soudain du côté de Dante son corps immobile recommença à bouger un petit peu. Son sourir s'éffaça et il finit par tombé de l'arbre dans lequel il était encastré. Il marcha ensuite tout doucement, parcourant la jungle par le chemin qu'il avait créé en déracinant les arbres. Ses pas résonnait comme une menace approchant tout doucement. Il sentit ce qu'il y avait autour de lui avec une toute nouvelle perception. C'est comme ci ses sens avait été porter à un niveau supérieur, tout comme ça perception des énergies. Pendrago finit par l'apercevoir avancé dans sa direction et n'en croyait pas ses yeux.

Pendrago : Que ce passe t'il seigneur Véawen ? Pourquoi il n'est pas mort ?

Véawen : Il l'était, mais avant que son âme ne parte définitivement j'ai conclu un marché avec lui. Il est devenue mon nouvelle hôte. Tu as brillament remplie ton rôle de test final en le faisant dépasser ses limites.

Pendrago (paniqué) : Mais c'est moi votre hôte ! Je vous ais servit durant 25 ans. Vous ne pouvez pas m'abandonner.

Véawen : Si tu crois que j'en ai quelque chose à faire de toi. Tu devais me rapporter de l'énergie mais malgré la puissance que je t'ai fourni tu n'as jamais été fichue de battre quelque chose de plus fort qu'un catégorie 1. Tu es peut être attiré par le pouvoir mais tu es un lâche incapable de te lancer dans un combat que tu n'es pas sûr à cent pourcent de remporter. Dante est un être qui désir le pouvoir autant si ce n'est plus que toi. Et il à eut le courage de partir au devant de la mort sans fuir à un seul instant.

Pendrago : Mais je peux continuer à vous servir. Je peux encore vous être utile je vous jure.

Véawen : Je ne peux avoir qu'un seul hôte à la fois. Ma connexion avec toi sera d'ailleurs bientôt complètement éffacé. Alors maintenant tu vas me servir de premier repas pour mon nouvelle hôte.

Pendrago (paniqué) : Attendez ! Vous cherchez l'hôte le plus fort possible. Et bien c'est moi le plus fort d'entre nous deux !

Véawen : Si tu le dis alors prouve le moi ! Si il s'avère que tu restes le plus fort d'entre vous deux je reviendrai sur ma décision. Mais dans le cas contraire tu vas mourir. Alors bat toi et prouve moi ta soit disante supériorité.

Pendrago : Bien à vos ordres !

Il se tourna alors vers Dante qui continuait à se rapprocher de lui. Le regard vide, il ne retranscrivait pas d'émotion particulière. Mais en continuant de se rapprocher le général remarqua rapidement que quelque chose avait changé. Et ses doutes furent confirmé quand Dante stoppa sa marche une dizaine de mètres devant lui. Le général en chef mesurait environ trois mètres de haut et Dante qui jusque là était écrasé par sa stature, le dépassait maintenant en taille. Il devait mesurer dans les trois mètres 20. Il était devenue un véritable colosse a la taille surnaturel. Surtout pour un huppermage. Ses vêtements c'était d'ailleurs déchiré à cause de cette transformation physique. Montrant ainsi son corps massif couvert de cicatrice qui semblait par contre complètement guéri.

Véawen : Allez y battez vous !
Celui qui gagnera ce duel sera définitivement mon hôte.

Au même moment alors que Luci était en larme. Elle sentit de nouveau la présence de Dante.

Luci (dans sa tête) : Je ne pas le croire... Je t'ai pourtant sentit disparaître à jamais. C'est... c'est un miracle...

Elle se releva tout doucement et les deux gardes la laissèrent faire non sans se préparèrent à l'attaquer si elle tentait quoi que ce soit.

Luci (à hautr voix) : J'ai compris une chose...

Les gardes furent étonné du ton que l'osamodas venait de prendre.

Luci : J'ai faillit ne plus jamais le voir sans lui dire ce que j'avais à lui dire. Je ne dois plus me cacher, fuir ou mentir. Ils ont le droit de savoir.

Lub tenta sentit qu'elle s'apprêtait à faire quelque chose et prit les devant en tentant de l'enfermer dans une de ses bulles. Mais au dernier moment Lilith débarqua de nulle part et stoppa le coup avec une bourrasque crée par ses ailes.

Siéra : Qu'est ce qui ce passe ? Depuis quand il y a une duchesse ?

Cette dernière se tourna vers Luci pour lui parler.

Lilit : Il est temps.

Luci : Oui tu as raison. Cette fois ci j'ai prit ma décision.


Le vielle écaflip asséna un coup à Luci qui l'envoya en plein dans le petit étang à côté duquel ils se battaient. Mais au moment où elle fut immergée dans l'eau une puissante énergie commença à y émaner. Il s'agissait d'arcanite, qui engloba l'environnement de se sentiment de colère caractéristique. Un sentiment qui allait même bien au-delà de tout ce qu'ils avaient ressenti. Une haine incroyable presque irréel. Tout ce présent sur l'île le sentir et furent plongée dans un puissant état de malaise. Tout les combats se stoppèrent momentané. Tous étant complètement paralysé.

Gauva : Qu'est ce qui ce passe ?

Yrvain : Un démon très puissant est arrive ?

Soldat : Je n'ai jamais sentit une pression comme celle ci.

Norgane : Même les ducs n'émane pas une telle énergie ! Qu'est ce que ça peut bien être ?!

Les deux gardes qui voyaient cette sinistre énergie sortirent de l'étang avait une réaction un peu différente.

Lub : Je le savais c'est une entité maléfique. Sa majesté a bien fait de nous envoyer pour la capturer.

Siéra : Il n'y avait que très peu de chance pour que ça ne soit pas le cas.

Lilith se précipita au dessus de l'étang en volant et se plaça juste au dessus de là où se trouvait Luci, alors encore sous l'eau. Elle se mit elle aussi à dégager une énergie similaire, amplifiant encore plus cette tension.

Et soudainement à travers toute l'île d'Otomaï, les compagnons de Luci qui lui étaient lié grâce à son pouvoir entendirent sa voix dans leurs têtes.

Luci : Mes amis, il est temps que je vous dises la vérité... Je ne suis pas vraiment celle que vous croyez. Je ne suis même pas une éxalté...

N6 : Quoi ?

Crône : C'est pas possible ?

Skadia : Pourtant tu émane la même énergie que nous ?

Luci : Mon aura est tout de même similaire a celles des éxaltés, car elle puise sa source au même endroit. Je ne suis d'ailleurs même pas vraiment une osamodas. Je possède également du sang d'éliotrop. Car je suis un fragment de la grande déesse, Zénith.

Ils furent tous sous le choque en entendant sa déclaration.

Crône : Zénith ? La déesse a qui est destiné le temple de Saharash ?

N6 : L'être source de toute vie dans l'univers ?

Ils avaient des centaines de questions à lui poser mais furent rapidement interrompue.

Luci : J'ai une faveur à vous demander...

C'est alors que l'énergie émanant une puissante colère changea progressivement. Une atmosphère sereine commença à s'installer sur l'île et l'arcanite de couleur violette laissa place à une énergie beige légèrement décoloré, la même que Dante avait sentit en se retrouvant face à l'âme de Luci à Vulcania.

C'est alors que à ce moment à Zéphyréa sur le domaine des dragons quelqu'un sentit cette énergie, pourtant présente à plusieurs milliers de kilomètres. Cette personne s'envola alors dans le ciel à toute vitesse sans que personne n'eut le temps de la retenir.

Au même moment Luci sortit de l'eau en arborant une autre apparence. Ses vêtements avaient disparu et sa poitrine ainsi que son entre jambe étaient couverte par une couche de cette énergie beige. Son œil était devenue beige lui aussi. Son sert tête c'était brisé laissant place à une véritable paires d'ailes similaires à celles des éliatrops mais de couleur beige. Ses cornes prirent la même apparence devenant beige décoloré et faite de cristal. Et ses cheveux changèrent également devenant légèrement beige au pointe.

Luci (d'une voix surnaturel) : Changer le monde avec moi pour une aire de paix.

En même temps Lilith aussi changea d'apparence pour arborer une peau faite de cristal beige. Ses ailes se transformèrent en ailes d'énergie beige de la même forme que celles des dragons. Des cornes de dragon faite de cristal beige lui poussèrent sur la tête. Une fois cette transformation achevé, elle se posa à côté de Luci. Les deux se mirent alors à parler à la fois normalement et dans la tête de leurs compagnons.

Luci : Je suis Lucifer fragment de Zélith alterégo de Zénith, et incarnation de sa bonté.

Juste à côté la duchesse retira son masque. On pouvait enfin voir son visage. Il était éxactement le même que celui de Luci à la différence près qu'elle n'avait non pas son œil droit mais son œil gauche de fermé.

Lilith : Je suis Lilith fragment de Zélith alterégo de Zénith, et incarnation de sa timidité.

Les autres n'en revenait pas. Leur compagnon depuis tout ce temps était en faite une divinité.

Luci : Je vous en prit ne perdez pas. Vous êtes la chose la plus précieuse que j'ai en ce monde. Je ne veux pas vous perdre comme tout ce que j'ai perdue jusqu'à présent.

Puis elle continua à s'exprimer mais seul Dante pouvais l'entendre. La queue le représentant réparue, toujours de la même couleur. Mais cette fois elle ne finissait pas en une pointe comme toutes les queues d'osamodas mais en un cœur.

Luci : Dante je t'aime, je t'ai toujours aimé. Cela depuis notre première rencontre. Mais l'amour est le plus destructeur des sentiments et je ne pouvais pas l'assumer. Mais maintenant je me suis décidé, je ne le cacherai plus. Alors s'il te plaît gagne, que l'on reparte tous ensemble sain et sauf. Et allons main dans la mains installer une aire de paix dans laquelle tout ce qui nous sont chers, ainsi que le monde entier puissent vivre en sécurité.

Du côté de Dante il ne réagissa pas ayant l'esprit toujours aussi embrumé. Mais instinctivement il se mit en position de combat devant son adversaire qui lui semblait térrifié. Véawen qui avait maintenant accès à l'intégralité des penser de son nouvel hôte, avait donc put entendre tout ce que Luci lui avait dit.

Véawen (amusé) : Ma sœur a donc un nouvel alterégo. La situation devient de plus en plus intéressante. Tout ces millénaires d'attente porteront bientôt leur fruit !

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