Chapitre 128 : Un être bien atypique
La soirée continua tranquillement malgré la présence de Laïdane qui rendait l'ambiance très différente. Mais le prince avait l'air de bien s'amuser. Pendrago l'accompagnait toujours et les gardes céleste retournèrent au près de lui.
Laïdane : Orwa ?
Orwa (en s'inclinant) : Oui votre majesté ?
Laïdane : Que pense tu de moi ?
Orwa (surpris) : Comment ça, votre éminence ?!
Laïdane : Après que Siéra et Lub t'ais parlé un peu plus de qui j'étais, que pense tu de moi ?
Orwa (dans sa tête) : Ce n'est donc pas des paroles en l'air, il a réellement écouté toute notre conversation alors qu'il était à l'autre bout de la salle.
Laïdane : Oui j'ai effectivement tout entendu.
Le garde céleste fut encore plus surpris. Le prince avait réussi à lire dans ses pensées.
Laïdane : Alors tu ne souhaites pas me répondre ?
Orwa (déboussolé) : Si bien sûr. Si je devais parler le plus honnêtement possible je dirais que je vous trouve spécial. Je n'arrive pas bien à cerner qui vous êtes réellement.
Soudain il vit Laïdane se mit à pleurer. Et encore une fois ses larmes se mirent à tomber vers le haut de façon inexplicable.
Les trois gardes ainsi que Pendrago paniquèrent en voyant ça ne sachant pas ce qu'il pouvait se passer.
Orwa : Je suis vraiment désoler si ce que j'ai dit a put vous blesser.
Le jeune être essuya ses larmes et reprit une expression neutre.
Laïdane : Ne t'en fais pas tu ne m'as pas blessé. Je reconnais que tu es honnête.
Pendrago arriva alors accompagné d'un serveur portant un plateau rempli de chose à manger.
Pendrago : Souhaitez vous manger quelque chose, votre éminence. Nous avons de nombreuse spécialités venue des quatres coins du monde.
Laïdane : Désoler mais je ne mange pas. Mais sache que j'apprécie grandement ton geste.
Siéra : Souhaitez vous faire quelque chose en particulier ?
Le prince observa autour de lui regardant ce qu'il ce passait autour de lui. Pendant ce temps le groupe profiter de la soirée.
Uther : Tu pourrais me faire la démonstration de tes nouveaux pouvoir un de ses quatres ?
Dante : Bas je vais pas te mentir en disant que je m'en servirait qu'en ultime recours.
Luci : Tu m'étonne en même temps je suis pas sûr que tu es très envie de t'enfoncer une lame dans le ventre pour le montrer à quelqu'un.
Cohort : Cette manière de combattre est vraiment trop dangereuse.
Dante : Tu as sans doute raison mais je n'ai pas vraiment le choix car sans ça je n'aurait jamais put battre la duchesse.
Juste à côté Astor était entrain de grignoter toujours avec Morgause appuyé contre lui.
Morgause : Au faite Astor, ça va mieux depuis la dernière fois ?
Astor : Par rapport à quoi ?
Morgause : L'étrange matière qui ses formées au niveau de ton ventre.
Astor : Oh ça, et bien on va dire que je m'y suis accoutumé. Je n'ai toujours aucune idée de ce que ça peut être mais j'essaye de l'oublier.
Morgause (timidement) : Et autrement après l'opération d'Otomaï, ça ne te dirait pas qu'on se refasse un petit rendez-vous, rien que tout les deux ?
Astor : Pourquoi pas...
Morgause (dans sa tête) : Il a pas dit non !!!
Encore à côté Crône était entrain de joué aux échecs contre N6 pendant que Hadram et Skadia les regardaient.
Skadia : Je comprend vraiment rien à ce jeux.
Hadram : En tout cas ce qui m'étonne c'est que tu n'es toujours pas abandonné grand frère.
Crône (ultra concentré) : J'ai beau y jouer depuis seulement plus d'une semaine je suis sûr que je peux gagner.
N6 était amusé de l'espoir qu'avait Crône car elle gagnait toute les parties qu'ils faisaient.
N6 : C'est beau de rêver, mais ça ne te suffira pas pour gagner.
Elle lui mit alors un échec et math sans qu'il ne puisse rien faire.
Crône (frustré) : Mais c'est pas possible, comment je fais pour perdre à chaque fois.
Soudain ils entendirent une voix des plus particulière leur adresser la parole.
Laïdane : Excusez moi, vous savez joué au échecs, j'aimerais faire une partie contre vous si vous n'y voyez pas d'inconvénient.
Ils furent incroyable surpris de voir le prince qui était en plus suivit par les trois gardes, mais Crône lui laissa très vite sa place et le jeune être s'y asseya.
Laïdane : Je vous remercie.
Il commença donc une partie contre N6.
N6 : Excuse moi mais tu sais joué à ton âge ?
En entendant ses mots les gardes céleste furent choqué et surtout Siéra qui se mit dans une profonde colère.
Siéra (enragé) : Vous réalisez à qui vous parlez petite éffronté !!!
Laïdane leva la main lui faisant signe d'arrêter.
Siéra : Je suis désolé votre majesté pour ne pas m'avoir contrôlé.
Laïdane : Ne t'en fais pas N6, j'aime bien y joué avec ma suivante.
N6 (dans sa tête) : Comment il connaît mon nom celui là ? Il est vraiment bizarre ce gamin.
Ils jouèrent donc au échecs et alors que N6 prenait son temps pour jouer de manière réfléchie et attentive, le jeune être fit exactement l'inverse il jouait très rapidement comme ci il avait déjà réfléchi à tout ses coups à l'avance. La partie ne dura pas très longtemps, car Laïdane battu la xélor à plate couture.
N6 : Et ben je pensais pas perdre aussi rapidement.
Laïdane (en souriant) : Je vous remercie pour ce petit moment partagé avec vous. Maintenant j'y vais je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps.
Il se leva et partit autre part. Dante le vit s'en aller et l'observa attentivement intriguer par cette être sortant de l'ordinaire.
Dante (dans sa tête) : Je ne pensais pas rencontrer quelqu'un d'aussi étrange. L'enfant de la déesse ? Je me demande bien à quoi elle ressemble.
Juste après il vit Laïdane regarder dans sa direction car il avait entendu ses pensées.
La soirée continua sans que rien de notable ne se passe et il était maintenant le moment d'aller dormir. Le château ne pouvant pas accueillir tout les membres de la confrérie, la Grande majorité des soldats partirent dormir soit sur leurs bateaux soit dans des auberges qu'ils avaient réservé pour la nuit. Le groupe était encore au château, plus précisément dans les jardins alors que leurs amis capitaines étaient déjà partis dormir dans les chambre qu'on leur avait attribué au château.
Dante : C'était bien sympa cette petite réception.
Luci regarda Astor d'un air taquine.
Luci : Y en a ici qui on bien profité pas vrai ?
Astor (géné) : J'y peux rien c'est elle qui me colle tout le temps.
Luci : Mais bien sûr, dit celui qui ne l'a pas repousser à un seul instant.
N6 (d'un ton humoristique) : Moi je pense que tu devrais parier de l'argent la prochaine fois Crône.
Crône (un peu énervé) : Oui bonne idée comme ça je finirais ruiné.
Hadram : Ouais je pense que ça vaudrait mieux pour toi de ne pas essayer de te laisser embarqué dans ses plans.
Skadia (en bayant) : Moi j'ai hâte d'aller me coucher. Je suis crevé.
Mais soudain Dante de rappela de quelque chose.
Dante : Je vous rejoins juste après j'ai oublié de récupérer ma faux après la réunion.
Luci : T'es vraiment tête en l'air.
Dante : Oui bas en même temps j'allais pas me ramener à la réception avec une arme.
Astor : Bas à tout à l'heure alors.
Le groupe se dirigea vers leur bateau pour la nuit tandis que Dante remonta la tour pour aller dans la salle de la table ronde. Il y ouvra tout doucement la porte au cas où quelqu'un serait là mais ne vis personne. Il alla donc chercher sa faux qu'il avait laissé sur un râtelier au fond de la pièce. Il l'a récupéra et au moment de se retourner il entendit une voix.
Laïdane : Bien le bonsoir Dante.
Le jeune être se trouvait sur le même siège qu'occupait l'huppermage pendant la réunion.
Dante (surpris et méfiant) : Que faites vous ici ?
Laïdane : Je suis venue te voir.
Dante (étonné) : Moi ? Et pourquoi donc ? Que me voulez vous ?
Laïdane : Car tu es important à mes yeux, où plutôt à ses yeux.
Soudain Dante crut reconnaître quelqu'un en regardant le prince.
Dante : C'est vous pas vrai ?
Laïdane : De quoi parle tu ?
Dante : L'étrange silhouette que j'ai vue dans mon esprit à de si nombreuse reprises.
Le jeune être le regarda d'un air intriguer.
Laïdane : Pourquoi pense tu cela de moi ?
Dante : Vous avait exactement la même silhouette, celle d'un enfant possédant une paire de cornes similaires à celle des osamodas. Vous avez exactement les mêmes proportions.
Le prince ricana en entendant les mots de son interlocuteur et se mit à sourire légèrement.
Laïdane : Eh bien sache que ton raisonnement malgré son fondement plus que censé est faux. Je ne suis pas l'être que tu as aperçu dans ton esprit.
Dante : Comment je pourrais bien vous croire ? En plus vous parlez de ça comme si vous trouviez ça normal que je vois quelqu'un dans ma tête.
Laïdane : Libre à toi de le penser. Mais sache par contre que je connais la personne avec laquelle tu m'as confondues.
Dante fut étonné par ces mots et s'apprêta à lui demander de qui il s'agissait, mais n'en n'eut pas le temps.
Laïdane : Cette personne est plus proche de toi qu'elle ne la jamais été. Et j'ai hâte que votre rencontre est lieu. Elle permettra peut être de grande chose.
Un long silence suivit sa phrase, pendant lequel Dante réfléchissait au sens de ces mots. Puis il fut briser à nouveau par le jeune être.
Laïdane : Avant que je ne te laisse tranquille puis je te demander une chose ?
Dante (inquiet) : Quoi donc ?
Laïdane : Puis je te toucher le visage ?
Dante (surpris) : Qu'est ce que j'y gagne ?
Laïdane : Je te donnerais une information sur qui est Lucifer.
L'huppermage fut surpris par sa déclaration, et hésita un instant. Mais il finit par se rapprocher du jeune être, puis il se baissa pour être à la même hauteur. Laïdane approcha sa main de son visage et la posa sur sa joue. Dante ne sentit rien de particulier et observa simplement le prince se demandant ce qu'il faisait, car ce dernier se contentait de le fixer.
Laïdane : Je te remercie pour avoir accepté.
Dante recula alors et regarda à nouveau le jeune être de haut.
Laïdane : Maintenant je t'ai promis quelques choses, je vais donc te le dire. Tes suppositions concernant Lucifer sont correct. Mais comme tu le sais, elle ne souhaite pas te le dire maintenant.
Dante : Mais comment le savez vous ?
Laïdane : Car on peut dire que je suis un être très proche d'elle.
Le prince se leva alors et se mit à flotter dans les airs.
Laïdane : Je suis heureux d'avoir put te voir avant le "test final". Maintenant part l'accomplir avec bravoure.
De la lumière se mit à apparaître dans la paume de ses mains et il les rapprocha.
Laïdane : J'espère que nous nous reverrons.
Au moment où la paume ses deux mains se touchèrent un flash lumineux apparue. Et quelques secondes après alors que Dante put rouvrir les yeux il constata que Laïdane avait disparu.
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