Chapitre 13


PDV Elisabeth

Je regarda ma fille qui souhaitais que j'accepte, c'est normal pour un enfant de souhaiter que ses deux parents s'aiment et s'entende bien...

- Très bien, j'accepte mais c'est seulement pour Louise que je le fais. lui dis fermement 

Je nus pas le temps de lever mon regard vers lui qu'il me sera dans ces bras

- Elizabeth...merci, je te promets de ne plus jamais te faire de mal... me dit il en me serrant dans ses bras

Il me serra tellement fort, comme si j'allais m'échapper, comme si j'allais disparaître à tout moment, comme si...comme si il tenait à moi, cette pensais me serra le coeur j'aurais tout donner pour qu'il tienne réellement à moi...

- Allons y me dit il avec un grand sourire 

Ce sourire c'était vraiment à moi qu'il l'adressais a l'époque ou nous étions marier c'était une chose impensable, je n'avais jamais eu le droit a un sourire, j'étais jalouse de son père, de ses deux frères, de ses amis, de ses conquêtes. Eux ils leurs adressait ce sourire tellement de fois, je n'avais droit qu'a seulement quelques regards noires lorsque je le dérangeait . Je me rendis pas compte que j'étais figée devant lui, je n'osais pas faire le moindre mouvement.

 - il y a un problème ? me demanda il

Je ne pus laisser échapper quelques larme de mes yeux.

- Elizabeth ? Demanda il en essuyant mes larmes. Pourquoi pleures tu ?

- C'est la première fois que tu me souri Méliodas...

il prit un air grave puis il s'adoucit. Il m'embrassa la joue

- Excuse-moi, dit il en posant sa tête sur mon épaule. il redressa légèrement sa tête et me caressa la joue. Sa ne serra surement pas le dernier.

Il me prit la main, porta Louise de l'autre et me tira légèrement vers sa voiture.

Sur le trajet Méliodas alluma la radio et la chanson préféré de Louise passa, Louise commença a chanté et je chanta aussi au moment tu refrain. Elle avait un grand sourire sur les lèvres c'est la première fois qu'elle est aussi heureuse, le bonheur de ma fille fit aussi le mien je commença a sourire aussi, quand j'y pense c'est exactement ce genre de moment là que j'ai toujours souhait avoir, un moment avec celui que j'aime et ma fille. Mais j'avais peur qu'au bout d'un moment il se lassera de moi, je ne voulais pas que tout s'arrête et certainement pas maintenant. J'essaya de ne pas y penser, pour le moment profitons du moment présent, pour une fois, vivons au jour le jour, j'y penserais au moment venus, ne nous cassons pas la tête avec ça maintenant. Nous arrivâmes au parc d'attraction et nous laissons Louise nous guider vers les attractions ou elle voulait monter. Elle monta dans un attraction, et nous laissa seuls avec Méliodas. Je ne voulais pas prendre la parole, c'est a lui de s'expliquer et pas à moi.

- Il faudrait qu'on parle commença il

- Je pense aussi...

- J'aimerais que l'on refonde une famille. me dit il avec sérieux

- Par ce qu'on a déjà été une famille ?

il soupira nerveusement

- Je sais que ce que j'ai fais est impardonnable, mais j'aimerais que tu me laisse une dernière chance...

- Je ne sais pas...je ne sais plus...dis je les larmes au yeux.

-S'il te plait dit il en prenant mes mains dans les siennes 

-Si je te donne une autre chance Méliodas, es ce que tout redeviendra comme avant ? Es ce que tu vas a nouveau me délaisser ? Tu vas a nouveau me trompé Méliodas ? Tu vas a nouveau m'humilier ? Tu vas encore faire de ma vie un enfer ? Ici Méliodas, je suis loin de mes cauchemar, loin de mes craintes, loin de mes peurs et loin de toi... J'aime ma vie paisible que j'ai avec Louise. Si je te laisse a nouveau rentré dans ma vie, vas tu la gâcher comme tu la fais ? Par ce que là sa ne serra pas seulement ma vie que tu vas gâcher mais aussi celle de ma fille.

Je le regarda durement il était hors de question qu'il gâche la vie de ma fille en plus de la mienne.

- Plus jamais Elizabeth,plus jamais je ne te regarderais comme je le faisais, plus jamais je ne te parlerais comme je le faisait, plus jamais je ne te ferrais souffrir, jamais je ne ferrais souffrir notre fille. Me dit il avec un regard suppliant.

Je m'apprêtai a lui répondre que Louise nous interrompu en nous sautant dessus je la pris dans mes bras et elle me raconta a quelle point l'attraction était amusant. Elle me montra une autre attraction qu'elle souhaitais faire et nous nous dirigeons vers celle ci.

La journée ce termina bien vite a mon goût, Je me surprenais a rigoler avec Méliodas comme si nous avions toujours été comme ça. Il me proposa de passer la nuit avec lui j'aurais voulus refuser mais je voulais au moin savoir si ma fille avait passer un bon séjour avec lui.

- J'accepte, mais a une condition. Lui dis je.

- Laquelle ? Me demanda surpris.

- C'est toi qui cuisine ce soir.

- Mais-

- Si tu ne veux pas dépose moi chez moi. Le coupais je.

- C'est bon je cuisinerais.

J'abordais un sourire satisfait, je tournais la tête vers lui il me regarda d'un air surpris.

- Quoi ? Lui demandais je.

- Rien. Dit il en tournant la tête vers le côté

J'haussa un sourcil en le regardant avec insistance .

- Pourquoi voulais tu que je cuisine ?

- Et bien je voulais savoir si ma fille étais bien accueillit pendant son séjour chez toi.

- Notre fille. Me dit il fermement.

Je le regarda avec incompréhension.

- Depuis toute à l'heure tu appelle Louise "ma fille" comme si je n'étais pas son père. Me dit il durement. 

je ne comprenais pas pourquoi il était tout d'un coup froid avec moi

- Tu es peut être son géniteur mais je l'ai élever seule, c'est ma petite fille chérie. Lui dis je avec une voix douce et un sourire.

Il arrêta soudainement et brusquement la voiture

- Sa aurait pu être différent si tu ne m'avais pas privé de mon enfant ! dit il avec une voix dur en tapent sur le volant. 

Je rêve ou il me reproche d'être partis ? Je leva mon regard vers lui en m'apprêtant a lui répondre. Mais je croisa son regard, ce regard était le même que celui qu'il m'adressait quand je l'appelais pour manger ou quand je faisais du bruis lorsqu'il baisait avec ses pétasse.C'était un regard remplis de dégoût, comme si j'était un déchet, une sous merde. Un frisson de peur me parcouru la colonne vertébrale, j'étais figée, les larmes me montèrent au yeux, lui qui m'avait promis de ne plus jamais me regarder comme ça, de ne plus me traité comme ça, de ne plus jamais me faire souffrir.

- Je me doutais que c'étais des paroles en l'air... C'était trop beau pour être vrai...lui soufflais je trop fragile pour hausser le ton a mon tour je risquerais de fondre en larme sinon.

Je détacha la ceinture et sortis de la voiture je ferma la portière derrière moi et ouvrit la porte arrière ou se trouvais ma fille qui dormait.

- Qu'est ce que tu fais ? me demanda il

- Je rentre chez moi. lui dis je les yeux vide de toute émotion.

- Pourquoi ?! demanda il en s'énervant. il essaya de reprendre son calme avant de me redemander plus calmement. Pourquoi ?

- Tu vois Méliodas, c'est impossible que tu change ton comportement avec moi, tu restera toujours celui que tu étais avec moi, même tout l'amour du monde ne changera pas ça. Fais toi a l'idée que toi et moi Méliodas, c'est impossible, sa ne marche pas et sa ne marchera jamais.

- Ecoute je suis désolé je te laisse y refléchir, laisse moi au moins te raccompagner. s'affola il

- Pas la peine j'appelle Arthur il viendra me chercher.

- Qui est Arthur ? s'énerva il.

- Mon collègue, Au revoir Méliodas. dis en fermant la porte de sa voiture ne lui laissant pas le temps de répondre

Je porta Louise et sorti mon téléphone pour appeler Arthur qui me dit d'aller dans l'arrêt de bus la plus proche. Je vis la voiture d'Arthur je m'approcha d'elle je déposa Louise a l'arrière. Il me regarda d'un air inquiet sans que je puisse les contrôler je me mis a pleurer des lourd sanglot vinrent me frapper Arthur lui ne me posa  pas une question et me pris dans ses bras en me caressant le dos et me chuchota des mot doux. Une fois calmer il se mit en route vers ma maison et sur le trajet je lui raconta ce qui s'est passer, il m'écouta sans prononcer un mot attendant la fin de mon récit.

- Ne te mets pas dans un état pareil pour un homme qui n'a pas de parole, tu vaut beaucoup plus que ça, Elizabeth me dit il avec sa voix douce 

- Tu as toujours les mots qu'il faut pour me réconforté Arthur. lui souriais je malgrès mon visage inondé de larme.

- Je serais toujours là pour toi Elizabeth, pour être honnête je suis heureux que sa soit moi que tu aie appeler.

- Je ne sais pas ce que je ferais sans toi Arthur, je ne sais pas comment te remercier.

- Tu n'a pas a me remercier Eli'

Pdv Méliodas

J'ai merdé. Je me suis même pas rendu compte de la façon dont je l'ai regarder et encore moins de la façon dont je lui ai parlé je m'en suis rendu compte au moment ou j'ai vu son regard remplis de peur et de larme, Je méritais peut être ses mots, mais ils m'ont vraiment blesser, surtout quand elle m'avait dit qu'elle allait appeler un certain "Arthur" pour la raccompagner chez elle, ils n'étaient certainement pas de simple " collègue".


Chapitre 15 ---> Méliodas essaie de se faire pardonner.

by seira-chan34


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