Chap 4

1.Nous nous dirigeons vers le fond de la grotte, nos seules sources de lumière sont des serpents fluorescents qui passent en zigzag tout autour de nous. Je suis bercée par les pas réguliers de mon sauveur, enfin j'espère.

-Êtes vous venu m'aider ou suivez vous simplement les ordres ?

Je remarque alors que son aura est d'un marron plus clair que celui du reste des gardes, c'est bon signe.

-Je suis les ordres.

Je me crispé alors puis me détends quand il ajoute.

-Ceux d'une autre confrérie plus pure

-Qui êtes vous alors ?

-Je me nomme Armand, un infiltré chez les gardes.

Je me sens rassurée et détendue, je ferme les yeux et plonge dans un sommeil paisible, à côté de moi une jeune fille est debout, je ne la distingue pas vraiment car elle porte une longue cape blanche qui lui couvre également le visage. Elle est à côté d'une rivière, je m'approche, elle tient une rose, une mèche blond or s'échappe de sa cape, je prend la rose et elle murmure.

-Prends soin de toi sinon il perira
Prends garde à toi sinon l'autre se tura
Ne te pique pas sinon il découvrira
Je prends la rose dans mes mains  et la brume emporte le fille, le ruisseau et mon rêve.

Je me réveille sur une plaine verdoyante, Armand parle avec une femme habillée d'une cape noire en dessous une combinaison noire avec des couteaux , une tresse noire descend sur son épaule. Elle a une aura orangée. Elle se retourne vers moi et voyant que je suis réveillée elle s'approche et sort un couteau, je veux me reculer mais je suis trop faible, elle me tranche un mèches de cheveux
.
-Ne t'inquiète, je m'en sers pour connaître la pureté de l'aura des personnes je ne peux pas les voir mais simplement les sentir et dire la pureté.

Elle porte la mèche à son nez et inspire, elle me regarde étonnée puis se ressaisie et  dit.

-On va te montrer le laboratoire de l'organisation, mais avant mange ça.

Elle me tent des fruits et une feuille remplie d'eau, je m'empresse de boire et manger.
Puis ils m'aident à me lever et on avance ainsi jusqu'à un vieux chêne. Arrivé là bas Armand appui sur une branche et l'arbre s'ouvre légèrement, il s'arrache un cheveu et le pose devant la fente, le chêne s'ouvre encore un peu et Armand rentre. On s'apprête à le suivre mais il ressort brusquement le visage rouge et de la sueur perle de son front.

-Lindi, ils on attaqué, ramène la chez elle et suis le processus.

La femme me prend la main, ferme les yeux, enleve sa cape, me le donna et fait des mouvements de plus en plus rapides au sol avec ses pieds, elle ajoute les bras à cette danse étrange, un cercle de lumière orangé se dessine au sol, elle me tire rapidement à l'intérieur du cercle.
Il s'allonge vers le haut comme un cylindre et quand il se baisse on est dans un lieu que je reconnais vaguement.

2.Elle est partie et le médecins me raccompagnent. Ils me disent que vu mes crises imprévisibles ils vont me mettre dans une chambre à part pour que je ne blesse ou n'effraille personne.

Un médecin m'explique que lors de ma dernière crise, des vaisseaux sanguins ont explosés dans mes yeux et que se ne sont pas des larmes que j'ai senti mais du sang qui coulait de mes yeux.
J'imagine alors le spectacle que j'ai du donner à Valentine et espère qu'elle ne va pas faire de cauchemars.

Une lumière rougeâtre brille quelques secondes au fond de ses yeux, je me redresse mais il me dit de rester allongé le tant qu'il branche ma perfusion.

Je réprimé un petit cri lorsque l'aiguille rentre dans ma peau puis ma vision se retraissi doucement, je crois que je ferme les yeux, mais tous bouge autour de moi alors je ne sais pas.
Je plonge dans un état semi comateux et saisi quelques bribes de mots, des médecins.

-un homme.......... matin..............trois cent mille.........refusé......... docteur hika hôpital.....
-.......lui
-oui............police
-non............. ADN trouble........... Molécules violettes....

La porte claque, ils ont dut partir.
Je me réveille dans une pièce sombre et claire, je ne vois pas à cause de l'obscurité mais je sens qu'elle est casiment vide. Une machine bleue est à côté de mon lit, une aiguille est plantée dans mon bras et semble être reliée à elle, une infirmière entre, elle a une longue natte blonde qui lui descend dans le dos, elle me regarde un instant, je ferme les yeux et elle murmure à mon oreille

-c'est dommage qu'ils aient refusés un si bon prix, maintenant c'est moi qui doit m'en charger.

Elle arrache d'un coup l'aiguille, attrape les sangles qui pendent de chaque côté du lit prévues pour si je faisais une nouvelle crise et me ligoté avec, elle sort un mouchoir imbibé de produit pour m'endormir, j'essaie de résister quelques secondes mais en vain.

L'odeur empli mes poumons, je la sens mais ne m'endors pas pour autant.Je ressens alors  une décharge électrique parcourir mes bras, mes jambes et parvenir jusqu'à à mon crâne ou je vois un flash de lumière puis mes muscles se tendent et je me redresse d'un coup en arrachant les sangles ce qui produit un bruit sourd.

La fausse infirmière se retourne étonnée et n'a le temps que d'ecarquiller les yeux avant que mon poing lui arrive au visage, des sirènes s'allument dans la chambre et j'entends des personnes arriver en courant.
Les médecins !

Je me recouche au moment où ils ouvrent la porte. Ils voient l'infirmière par terre et disent.

-C'est celle qui l'accompagnait !
Occupez-vous de lui,je vais la sortir.

Les autres médecins qui semblaient avoir oublié ma présence se retournent en se précipitent à mon chevet.

-La perf à été débranchée, tout va bien sinon, il n'est pas conscient, il met en danger l'équipe médicale, il faut trouver une solution avant que des passaient souffrent des conséquences.

-Une idée ?

-On le garde encore deux jours et si son état ne s'est pas stabilisé il va falloir faire intervenir quelqu'un de plus haut.

-On ne peut pas faire ça, c'est contraire à se qu'on nous a enseigné, laisser ainsi un patient....

-J'en ai décidé ainsi, je suis toujours votre supérieur je crois !

J'entrouvre les yeux et vois qu'il ne reste que les médecins qui se disputent, l'un à l'air furieux et l'autre d'avoir envie de disparaître, ils ont une aura rouge.
Le corps a disparu, j'espère ne pas l'avoir tué, je ne comprends rien à ce qu'il m'arrive je ne veux pas devenir un assassin.

J'ouvre les yeux et fais l'ignorant.

-Docteur, dis-je d'une voie faible, que... que c'est il passé ?

Le colérique me répondit un peu sèchement.

-Petit tu vas bientôt sortir !
L'autre me regarda avec un sentiment d'impuissance puis il repartirent.

Je suis tout seul et m'ennuie depuis une heure et je commence à dessiner, je n'ai jamais eu de talent en dessin.
Je fais un paysage légèrement enneigé, de jeunes pousses vertes claires sortent de part et d'autres, un arbre est dans le coin du paysages, c'est un Saul pleureur.
Je fais ensuite un lac.
Quelqu'un toque à la portent, je sursaute et fais tomber une tache d'encre sur le lac.

La porte s'ouvre et Valentine arrive.

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