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evy2304

Prologue



Je ne sais plus vraiment comment tout cela est arrivée, juste de vaguent souvenirs, début Novembre, je crois. Je devais partir, mes parents ont tous deux eu l'idée de déménager lors de leur divorce. Mais avant mon départ, j'ai eu un dernier cadeau d'au revoir, d'une personne qui a ce moment met très proche : Paul. Paul est mon meilleur ami, un mec génial  –bien qu'il soit un coureur de jupon— qui ce jour là a voulue montrer le projet dont il m'a fait plusieurs allusions depuis quelque temps. Une surprise qu'il a toujours dit : une fête surprise.

Je me souviens qu'on a bu, beaucoup bu même. Puis c'est flou. Je me rappelle qu'il m'a tenue assise contre lui, sur ses genoux. La fête s'été finie depuis un moment , et on été la, à regarder le bordel causer par cette dernière. Aucun de nous n'a pipé un mot, je crois que on ne l'a pas voulu, sa aurait amorcer les Au-revoir, voir les adieux. Et je dois dire que l'alcool ne nous aidée pas, on s'est regardé. Je ne sais plus vraiment qui a amorcé le premier geste. Peut-être moi ? Ou lui ? Nous deux ? A moins que ce soit l'alcool qui nous a poussé à le faire. Mais une chose est sûre : nos lèvres se sont liées.

Le Lendemain, au réveil, on a très vite compris ce qu'il s'est passé ; il n'a pas fallu chercher très loin d'ailleurs. Mais là non plus on n'a rien dis, aucun n'a cherché à en parler, gêne ? Honte ? On a ranger, les Au revoies, puis je suis partie.  Je crois que on ne s'en est pas voulus, de cette nuit, enfin je lui en n'ai pas voulu, mais lui ? Je n'ai jamais posé la question, pas le courage. Mais, me voilà a sonnée devant sa porte, soucieuse, des mois après cette histoire rester silencieuse.




Chapitre 1

Aëly

Debout, dans cette ville où j'ai grandi. Debout, devant cette maison dont je connais chaque cachette depuis des années. Debout, devant cette porte que j'ai mainte fois franchi, claquer forcée. Comment lui dire ? Est-ce une bonne idée ? Sont des questions que je me suis plusieurs fois poser depuis les dernier jours.

J'ai sonné, il y a déjà plusieurs minutes mais il ne vient toujours pas, pourtant il y a une voiture, mais je ne sais plus si il a le permis ; si c'est la sienne, il doit sûrement dormir, il est à peine huit heures après tous. Dans le cas contraire il est a son travail dont il fait l'ouverture et je vais réveiller l'un de ses parents. Je me penche pour reprendre les affaires que j'ai posé au sol, lorsque j'entend des pas derrière la porte, puis cette dernière s'ouvre. il ma fallut une demi seconde pour le reconnaître, l'autre demi seconde ma servie pour lui sauter au cou, même si il était en caleçon, au saut du lit. Je murmure a son oreille :

-Paul, tu ma manquer. A ma voix je sent ses mains me serrer doucement et je sourie contre sa peau.

-Hey..toi aussi...,

-p..Paul

On communiquer avec Sklypy ou par téléphone ces derniers mois Puis il y a mon silence radio de deux semaines. Mais parler derrière un écran est différent que dans la vie réel et le terme manquer s'appliquer de façon physique -sans avoir d'arrière pensée-. En entendant le timbre de sa voix je me mis à trembler retenant mes larmes, je ne doit pas craquer, pas pleurer. Au moins pas maintenant. Mais il la senti, il sait que j'étais mal en se moment car il ressert son étreinte avant de me recule de lui et me questionner du regard. La c'est claire je panique.. et balbutie à toute vitesse des excuses ;des « je ne savais pas ». Moi-même je ne crois encore pas ma situation.. alors que sa fait deux semaines. Paul pose le dos de sa main sur ma joue et la caresse doucement se voulant rassurant, et avec une voix douce, il me demande de me calmer puis de lui expliquer ma situation.

La situation, est compliquer. Je bute sur les mots, les détails et je le vois m'implorer du regard de lui expliquer mon trouble. Ce trouble c'est lui, nous plutôt, enfin il est l'un des deux créateurs. Je suis la seconde. J

Avant mon silence je me suit plainte de douleur au ventre de tel que on m'as hospitalisé, c'est la dernière chose qu'il a sue de moi. Comment lui dire pourquoi ? La cause de tous sa. Lorsque je plonge dans ses yeux de plus en plus suppliant , le responsable de mes douleurs se met à gémir légèrement nous faisant sursauter. Je jette rapidement un coup d'œil au siège auto poser au sol voir si tous vas bien et soupire timidement.

-la cause des douleurs à mon ventre.. était l'accouchement du bébé.. j'aurais voulu te prévenir plus tôt.. mais j'ai pas pue.. je suis venu des ma sortie d'hôpital

Sa y est la bombe est lâcher. A se moment son son sourire disparu, et son visage s'est complètement fermer et un long silence nous entoure. Ses yeux sont poser sur le bébé. La question fatidique arriva assez vite par sa voix tremblante, non je ne savais pas que jetait enceinte. Ses yeux cherche à présent les miens sûrement à la recherche du moindre mensonge, un soupçon de blague. La vérité est que j'ai fais un déni jusqu'à terme. Entre le divorce de mes parents le remariage de ma mère, a vrai dire les médecin ne savent pas se qu'il mes arrivée. La voix de Paul me sortie de mes penser

-tu est sur que c'est le mien ?, a cette question je rougie fortement

- je.. tu es le dernier à m'avoir toucher...

Je prend doucement le nouveau née dans les bras, qui dormait à nouveau emballer dans une couverture en laine beige en murmure doucement en montrant le visage du nourrisson « elle ne peut qu'être de toi ».

-c'est....une petite fille ?

-Lilwenn, elle s'appelle Lilwenn.. je sais que tu aimais ce prénom.

C'est un nouveau murmure qui est sortie de ma voix, lui était perdu et ne disais rien. Je me précipite d'ajouter qu'il n'est pas obliger de la reconnaître, que je voulais juste qu'il sache. Apres tous, il est mon meilleur ami et s'il n'aurait pas aidé a la création du bébé, il aurait été son Parrain. J'eu a peine fini ma phrase sur le fait de la reconnaître en t'en que père, que le jeune homme me ferme la porte au nez. Pendant un instant j'ai crue l'entendre répéter le mot « merde ». Des larmes coulent le long de mes joues, d'accord, je viens de me faire rejeter. Je me retrouve seule avec ma fille. Je me penche au dessus d'elle en lui et lui murmure tremblante  « c'est pas grave, on vas s'en sortir mon bébé, toutes les deux, grand-papa sera peut-être plus compréhensif... »



Paul

Etres réveiller a 8 heures du matin alors que j'ai bosser tard la veille me fais légèrement chier. J'étais prêt a crier sur le trouble fête quand ce dernier me saute dessus. J'ai très vite reconnue le parfum et la voix de la jeune femme. Ma belle aely. Je me suis mis a la serrer en retours par réflexe. Son silence radio m'a inquiété. Mais je n'imaginais pas ça, pas cette nouvelle là. Sa voix timide et hésitante, ma d'abord pousser a la rassurée puis ma préoccuper.

Lorsque j'ai vue, cette petite Lilwenn.. j'ai été figer face a se visage endormi, elle semblais si innocente et fragile je réagissais plus. Jusqu'à que le mots reconnaître sonne dans ma tête. Je lui est claquer la porte au nez. Je cois que j'ai balancer un « ho merde » dans le même temps. Mais quel idiots. Je couru jusqu'à ma chambre et ferme la porte derrière moi. Je rêve.. dites moi que je rêve. Mais quel idiots de coucher complètement éméché, avec ma meilleure amie en plus. Promis c'est la dernière fois que je le fais, en voyant le résultat. On aurait pas du, et je sais même plus de quoi c'est partie.

Assis sur mon lit, je regarde le sol. L'image du bébé dans ma tête et la voix c'est de cette fidèle amie annonçant la nouvelle me hantent. « Elle ne peut qu'être de toi », une seule phrase peut autant tourmenter quelqu'un ? J'ai vraiment fais ça ?



Aely

Je me suis retourné pour partir quand la porter s'ouvrir a la voler

-je dois faire quoi, pour la reconnaître ?

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