ii

les gouttes salées qui ruissèlent sur ses joues ne sont que des averses éphémères. c'est sans doute ce dont sont persuadé·es ces êtres qui passent devant elle et n'ont d'humain que l'enveloppe corporelle. si tant est qu'iels voient ces larmes.
les billes opaques qui leur servent d'yeux sont d'un vide abyssal, dénués de toute lueur ; loane ne pourra jamais y contempler son reflet.

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