Partie XVIII
Cassandre ne vit plus le temps passer avec son travail et ses activités à côté, mais cela lui allait comme un charme. La jeune femme était épanouie, oubliant presque son ancienne vie. Soudain, son téléphone sonna.
-Allô ?
-Allô ? Cassy ? C'est Lynda.
-Oui, je le sais, ton nom s'affiche sur l'écran quand tu m'appelles.
-Oh ! Oui.
-Tu appelles pourquoi ?
-A ton avis, pour quelle raison ta meilleure amie pourrait appeler ?
-Hmm. Je ne sais pas, peut-être que je te manque.
-Oui, aussi. Mais pour avoir de tes nouvelles surtout. Ça fait un moment que je n'en ai plus ou à peine. Enfin, je veux dire par là que les nouvelles que j'ai, ce n'est pas toi qui me les donne.
-Comment ça ?
-Oh ! Cass. Chaque fois que j'appelle, soit ça ne décroche pas, soit je tombe sur Audren. A force je me pose des questions.
Cassandre gloussa.
-Du genre ?
-Es-tu avec lui de ton plein gré ou t'a-t-il kidnapper. Cela dit être kidnapper par un homme à la voix si suave et chaude ne doit pas être si déplaisant. Enfin, je m'inquiète beaucoup pour toi quand-même.
-Une voix quoi ?
-Sérieux ? Tu as retenu que ça dans mon discours ? Tu me déçois, dit-elle dans un rire.
-Non, plus sérieusement. Je vais bien Lynda, je t'assure et je ne suis nullement kidnappée ou séquestrée. Je peux sortir et rentrer comme je veux, et il prend bien soin de moi. Je n'ai jamais vu un homme aussi attentionné. Rassurée ?
-Oh que oui. Ça me fait du bien de t'entendre.
-Tu sais quoi, si tu veux on se voit après le travail. On fera nos commères.
-Avec le plus grand des plaisirs. J'ai tellement de choses à te raconter.
-J'ai hâte d'entendre tout ça. Je te laisse à tout à l'heure Paonne.
-A tout à l'heure Cassy.
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