Égoïste - Im JaeBum
Un jour comme un autre,
Parce que s'en est un, je peux me gonfler l'estomac comme me nourrir de savoir.
Ou bien dormir avec paresse contre les casiers du première étage, la chaleur de l'été accompagnant mes envies flegmes d'assister au cours de cet après midi ensoleillé.
Les yeux clos sous ces rayons brûlants, visage partageant le soutiens du radiateur dont on profite les temps de détente, la tête se vide et les odeurs de vacances imprègnent les lieux de travailles rigoureux dont je me fiche royalement.
C'est dans ces moments que tu arrives, m'accompagne dans la douceur au fond bruyant. Que ton sourire me réveille et ta voix me bouscule. Si mon regard fatigué ou blasé se pose sur ton visage d'ange, porté par cette personnalité si donnante d'amour et d'extra, je me sais envieux de ton savoir, ta gentillesse et ton corps parfait.
Tu étires le sourire sur mes lèvres décousues de plaisir de la vie, à l'existence menée sans réel but et l'envie de plaire me gardant vivant.
Tu es celui qui m'amuse plus que je ne m'amuse moi même, qui m'apprend ce que j'ai honte ou flemme d'apprendre durant ces jours ou je n'accorde rien à rien.
Un jour comme un autre,
Parce que s'en est un, je t'ai mené jusque mon intimité clôturée par ces murs si fins. Nombreuses fois ou durant ces chaleurs insoutenables tu m'as rejoint sur le canapé, non sans mal et non sans craintes, non sans idées embrumées ou pensées décalées. Nous étions deux hommes d'une amitié certaine, au échanges bien plus agréables pour mon cœur aussi lâche qu'est mon âme égoïste.
Je t'ai aimé car je te savais sincère, je t'ai aimé d'une de ces amitiés si profonde que l'on si perd et qu'on n'ose penser à sa fin précipité.
Si ton bonheur à fait le mien, ton malheur m'a accablé. Non pas que je partageais tes souffrances, car égoïste j'étais, égoïste je le suis toujours, je ne voyais plus mon bonheur dans tes regards.
C'était pourtant si simple, ta confiance était si importante, mais mon être si compliqué.
Un jour comme un autre,
Parce que s'en était devenu un, tu m'avais avoué ton mal, cette douleur qui te rongeais le corps, les entrailles, le cœur et l'âme. J'avais su écouter comme de nombreuses fois sur ce canapé, devant la télé, ou tu te livrais de secrets palpitants, romantiques et tristes. De rire et de regards échangés je trouvais les mots pour te faire garder ton sourire et ton bonheur qui faisait le miens.
Mais cette fois je n'avais su trouver les mots, d'une maladresse je te contemplais tomber dans le désespoirs que je ne connaissais que trop bien. Et d'une ignorance affligeante je m'éloignait de toi dont le bonheur se détachait et ne renvoyait que la tristesse, faisant évanouir le miens qui se tenait au tiens.
Un jour comme un autre,
Tu m'avais retenu dans ces couloirs trop souvent emprunté sans y accorder d'importance, de ta voix qui me manquait et ta main blanchâtre qui m'empoignait. De ce regard qui en disait long, qui parlait pour tes lèvres sèchent, je n'entendais pas, n'écoutais pas, ne comprenais pas.
Je ne le voulais pas.
« Tu dois te tromper. »
Pourtant jours après jours tu te battais, sans relâche à en garder les larmes de blessures que je t'infligeais jours après jours.
Comment avais tu pu me voir de cette façon ? Ne comprenais tu pas mon mal ? Ne comprenais tu pas que mon existence étais mauvaise ? Que ma bonté cachait l'égoïsme pure ? Tout était évident, un tout bien trop beau, trop faux. Je me fichais que tu ailles bien pour aller bien, je me fichais de tes bonnes nouvelles et de la bonne conscience.
Tout ce que je désirais été cette vie que tu m'offrais, d'amusement, joie, bonne humeur, pur bonheur.
Ton mal faisait désormais le miens, je te devais ça car égoïste j'ai toujours été. Et de notre discussion blessante échangé, j'écorchait ton cœur fissuré par la jalousie et l'envie, le désire inconnu et de sentiments absurdes.
Et ces derniers mots prononcés je t'avais détruit, comme je l'avais voulu. Je te faisais pleurer et retrouver effondrer dans un sentiment de plaisir détaché.
Pourtant ce rire de folie, ce rire d'hypocrisie m'avait prit.
Un jour comme un autre,
Je contemple ton nom qui me manque, qui d'une certaine manière me prend le cœur. Et des mes doigts qui ne savent qu'écrire de belles paroles bien trop durs, je te rappelle mon existence douloureuse.
Par culpabilité, maladresse et égoïsme je peine à m'excuser et t'adresse ces paroles sans sens, bien trop flou pour comprendre le désespoir derrière tout cela.
Et de tes mots aussi durs que bons, tu m'accordes cette chance inexistante d'un futur peu probable, m'adressant le mal que je t'avais fait et dont tu ne voulais refaire face.
Et les regrets me frappent, la vérité m'étrangle, les rêves me font planer. Au combien j'aurais été heureux avec toi, dans tes bras ou toi dans les miens. Au combien j'envie sentir tes lèvres contre les miennes, nos corps de nouveau collé dans un même lit, ton regard posé sur mon visage endormi, j'aurais voulu contempler le tiens comme tu as su si bien le faire.
Mais jamais je ne t'avouerais ces remords qui me tirent et les vérités que je t'ai caché. De mon envie de revenir en arrière pour accepter et de faire la sourde oreilles aux dires de ces fausses bonnes consciences aux conseils bancales qui m'ont fait te perdre autant que mon égoïsme me poussait à le faire.
Égoïsme ou peur ?
Pourquoi n'ai je jamais cru en ton amour dévoilé ?
Parce que personne ne peut m'aimer, tout simplement.
[2018-01-02]
Alors jsais pas, j'écris, j'réfléchis vraiment pas, c'est giga brouillon et tout bref. Par contre celui là m'donne envie d'faire une histoire complète dessus ???
On verra si ça s'fera, ça sera forcément avec Jaebum si un jour j'le fais
Bon concrètement, jsais pas c'qui m'arrive, 800 mots Douche, 900 celui ci, j'pourrais plutôt utilisé d'ce temps pour écrire autre chose, mais pas envie oops : ((
Bref c'est chelou, ça risque d'être effacé, mais pour le moment c'est posté !
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