Au souvenir de ces moments je recommande un verre de vodka.

Très fort et sans odeur.

Puis un tismey comme je les aime viens me coller.

Et je vous passe nos bails.

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Salam Aleykoum

*{Partie 3}* : Détruite de Z à A

Les yeux fixés sur le plafond je me demande comment j'en suis arrivée ici.

Bzz Bzz

SMS

Sarah : Je sais que t'es en train de te mettre bien mais on rentre.

Je me lève, prend des billets dans le portefeuille du gars et on rentre.

*{Flash Back}*

Sofiane ne me lâche plus.

Mon père pense que c'est pour rire, mais c'est bien grave que sa.

Je ne peux pas faire deux pas sans me sentir épiée.

Je rentre du lycée à pied. J'ai râté le bus, je suis vraiment pas douée.

Je marche et du coup on m'attrape et on me baillonne.

On me jette dans une voiture et elle demarre.

On se dirige vers ma cité et on arrive au bâtiment de Sofiane.

On rentre par derrière et puis le gars me laisse là, dans une cave.

? : Tiens tiens tiens, miss Dehar.

Je me retourne,

Moi : Qu'est-ce que tu me veux ?

Sofiane s'avance et je recule jusqu'au mur.

Il m'attrape les cheveux et m'embrasse.

Starfulah je n'imaginais pas mon premier baisé comme sa.

J'ai vu un flash. Oh le monstre...

Il commence à m'enlever mon sac puis mon t-shirt

Moi : Laisse moi partir s'il te plait...

Il ne m'écoute pas et continue son œuvre tout en prenant des photos...

***

Je continue de pleurer et il se lève enfin de moi, je me rhabille en vitesse et sors difficilement de la cave.

Je tombe nez à nez avec Samira et... Nabil.

Je le regarde dans les yeux et noud mes bras autour de son cou.

Quand Sofiane sors de la cave tout sourire.

So : Uhm...Sa fait du bien de temps en temps.

Et il s'en va.

Je le regarde avec dégout et puis pose les yeux sur mon frère.

Nabil : Plus jamais Zahia, plus jamais tu poseras tes mains sur moi.

Moi : Non Nabil c'est pas..

Il me pousse et je tombe par terre.

Samira : Ne me parles plus Fatima, t'es allé trop loin là.

Et voilà comment en moins d'une heure Sofiane a ruiné ma vie.

Je suis resté à pleurer comme une conne et je me suis décidé à rentre les teneurs de murs m'ont tous lancés des tship et autre.

J'entre enfin chez moi. Ma mère ne me regarde même pas

Moi : Salam...Aleykoum

Yemma : (sec) Aleykoum Salam

Je vais dans ma chambre, j'ai la tête qui tourne..

Je me deshabille et vais me doucher.

Je pleurais si bien que je suis resté une bonne heure.

TOC TOC TOC

Nabil : OH LA KxHBA L'EAU C'EST PAS TOI QUI LA PAIES SALxPE.

Je suis sorti et je me suis habillé.

Feiza est entrée dans ma chambre alors que je pleurais.

Elle me jette son télephone à la figure

Feiza : LA PUTXIN DE TOI C'EST COMME SA QUE TU ME REMERCIES DE T'AVOIR DEFENDU ? SALE TEPU

Je vois encore des photos de Sofiane.

Il en avait mis une photo de lui sur moi, on voyait son visage, j'avais caché le mien, mais on devinait mes seins.

« Quand je vous disait que je l'avait bai*é ! »

Et d'autre de mes sous vetements tff.

Quand je vois sa je jette le téléphone contre Feiza et vais m'enferme dans la salle de bain.

J'avais juste envie de mourir. J'ai pris une lame de rasoir et je me suis taillé les veines.

Sa fait mal au début, mais on ressent plus la douleur au bout de 10 secondes.

J'ai commencé à m'évanouir.

Tout était flou et rapidement j'ai entendu la serrure se tourner et ma sœur me secouer et crier.

J'arrives pas à te repondre Feiza !

Non je ne fais pas exprès...

Puis rapidement c'est ma mère qui arrive, elle me donne des petites tapes.

Feiza appelle une ambulance, j'ai juste le temps d'articuler « C'est Sofiane » et

Trou noir.

Je me reveille, et la lumière m'aveugle.

J'arrives pas à bouger le bras...

J'essaies de tousser.

Yemma : BENTHI !

Elle appelle des gens et il me verifie les yeux et me demande comment je me sens

Moi :Faible.

Medecin : Tu as sectionné la veine principale de ta main. C'était léger mais tu aurais pu la perdre.

Moi : Et maintenant.

Medecin : Tu as perdu beaucoup beaucoup de sang. Parce que tu t'es  cogné la tête donc il y avait double hémorragie, triple même parce que les coupures allées sur tout le bras. Tu va rester ici jusqu'à Jeudi (on était mardi matin) et on verra.

Il sort.

Yemma : Pourquoi tu as fais sa ?

Je me tourne pour qu'elle ne me vois pas pleurer.

Moi : Demande à Nabil, Demande à Feiza, Demande à Samira. Demande à SOFIANE

Je passe jusqu'au Jeudi aprèm.

J'ai pu sortir, il n'y a que Feiza qui est venu me voir, avec ma mère et mon père aussi.

Sofiane est venu hier soir, après la fin des visites, il a dit qu'il ne me laisserai plus, que je lui avait offert un beau cadeau ou je sais pas quoi.

J'arrivais même pas à crier pour alerter des infirmières.

Il a dormi dans mon lit, moi je dormais pas.

J'ai finis par prendre la couverte et l'oreille et j'ai creché dans la salle de douche.

[...]

Je suis de retour à la cité, je n'ai le droit de rien porter, ils m'ont mis un plâtre, non pas que j'ai quoi que soit de casse mais rien ne doit toucher mon bras, sinon sa peut s'aggraver, d'ici une semaine ou deux la veine aura récuperer, il y aura juste les cicatrices.

Les gens parlent beaucoup.

Le clan pro Zahia ne comptait plus désormais que moi, Feiza et deux exs de Sofiane.

Elles savent très bien qu'il est lunatique et très bizarre. Elles l'ont toutes les deux quitté parce qu'il ne savait pas se contrôler dans tout. Il voulait faire tout et n'importe quoi avec mais elles étaient contre bref.

Au bahut aussi les gens sont au courant, que je me suis scarifier, et chacun y va de ces suppositions.

Tout le monde me demande, ou demande à Samira, à mes anciennes potes. Enfin potes...

Je suis désormais seule, tout le temps.

Il n'y a que Feiza, qui mets ses amies de côté pour l'instant. Pour m'aider.

Miskina elle a que quinze ans et je l'exploite comme sa.

Elle est en seconde et alhamdulilah sa se passe bien pour elle

*{Fin du Flash Back}*

***

J'étais en soirée quand mon portable a sonné.

Une notification, je regarderais plus tard.
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Bisous