la/(l'en)quête commence

Le jour suivant, il fut midi, le groupe fut rassemblé au bureau du responsable. Ce dernier leurs donna des dossiers concernant cette affaire : Cinq hommes et cinq femmes s'étaient fait enlevés à leurs domicile pendant la nuit. Ils possédaient tous des prénoms composés. Tous les prénoms masculins commençaient pas Jean. Il y avait Jean-Paul, Jean-Claude, Jean-Kévin, et Jean-Martin. Du côté des femmes, c'était semblable. Elle possédaient toutes un prénom composé elle aussi. Il y avait Marie-Amdalla, Marie-Besmméla, Marie-Barmistva, Marie-Rouana et Marie-Jeanne. Sur le dossier, il y avait également l'ancienne adresse des reportés disparus.

L'elfe guerrier qui avait une légère gueule de bois et qui de ce fait, ne savait pas vraiment pourquoi il était ici dit :

- Il faut retrouver ces gens et les tuer ? demanda-t-il, à moitié dans les vapes.

- Mais non ! hurla tout le reste du groupe.

- Ils nous disent de les retrouver et de savoir pourquoi es-ce qu'ils ont disparus, après... ils ne nous ont pas dit qu'on avait pas le droit de les buter, sugéra Maxence.

Dans la cacophonie totale de la discutions, le néogicien pris les choses en mains et proposa une manière de procéder :

- Bon, on va tous allez chez un des disparus pour chercher des infos.

- Ah oui, on va chacun chez une des victimes ! Ça ira plus vite ! s'exclama Frïdule.

- Mais non ! cria Täbeul. Il y aura le moitié du groupe qui va se perdre !

- Sinon on peut aller dans des endroits pas très bien famé pour avoir des infos, suggéra Maxence.

Et finalement au bout d'une deuxième cacophonie. Le groupe d'aventurier se retrouva devant la maison des parents de Jean-Paul.

- Mais Wouaish, il habite chez ses parent à 23 ans ? demanda Fridül, désorienté.

- Ben oui, c'est un fils a papa, quoi... lui dit Maxence comme si s'était une évidence.

Le groupe entra dans la maison. Un détail n'échappa pas au yeux du prêtre et de la gnome voleuse. La famille, d'une classe pourtant moyenne, possédait beaucoup de meubles. Certain, était même richement décoré.

"Donc vous êtes ? commença Täbeul.

La vieille dame et le le vieil homme répondirent ensemble dans un sanglot en parti retenu.

"Les parents du disparu.

- Oui donc on est là pour enquêter sur la disparition, continua le néogicien. Il faisait quel métier dans la vie, votre fils ?

- Ouais, c'était quoi son boulot ? rajouta le mage.

- Il était ébéniste.

- Joli jeux de mot Maxence... dit Lezza, ennuyée.

- Ah, ça explique la déco, lâcha Dané.

- Vous sauriez s'il avait des ennemis, enchaîna Täbeul,  des gens qui lui auraient voulu du mal ?

- Ben non, il était gentils, on comprend pas. Son meilleurs ami s'appelait Jean-Kévin. Il a disparu lui aussi. Tout le monde le renommai Paupaul.

- Quand es-ce qu'il a disparut ? demanda de nouveau le néogicien.

- C'était il y a cinq jours.

- Il s'est fait enlevé dans sa chambre ?

- oui.

- Vous y avez touché depuis ?

- Ouais, ce serait bien qu'on puisse y jeter un œil, rajouta Lezza.

- Non, on y a pas touché, répondirent les Parent de Jean-Paul, c'est à l'étage. Vous pouvez allez voir."

Le groupe commença à monter.

"Et sinon, il était bon en tant qu'ébéniste ? demanda Frïdul juste avant de monter.

- On s'en fout ! lâcha Maxence en le tirant vers l'escalier."

À l'étage, dans la chambre de Jean-Paul. La lampe de chevet était cassé, la fenêtre explosée et des traces de griffe ornaient le mur autour de cette ouverture à courant d'air.

"Peut-être qu'il s'est barré pour se suicider. Non parce que Paupaul c'est trop ridicule comme surnom, suggéra Frïdul.

- Mais non ! ragea Täbeul.

- Mais tais-toi... lâcha la naine désespéré par son équipe."

La fenêtre donnait sur la rue, n'importe qui aurait pu sauter. En cherchant un peu le néogicien fit une découverte.

- Hé, j'ai trouvé des poils ! cria-t-il.

- Mais oui, il s'est transformé en loup-garou ! Il y a cinq jours c'était pas la pleine lune ? S'exclama Fridül.

- Non, c'était pas la pleine lune... C'était la demie lune... lui répondit Dané en soupirant.

- Si ça se trouve c'est des poils pubiens. Il dormait à poil votre fils ? hurla Maxence au vieux couple à l'étage d'en dessous.

- Euh, oui... mais pourquoi vous voulez savoir ça ?...

- Ben voilà, c'est des poils de bite faut pas chercher plus loin, déclara le mage semi-elfe.

- Ouais, si tu le dis, répondit Dané. Je les gardes en échantillons, on sait jamais.

- En tout cas, lança sérieusement Lezza, il n'y a pas de sang ni de marque de lutte.

- Bon ben, on a toutes les infos qu'on pourra trouver ici. Maintenant on va chez Jean-Kévin ? Puisque c'était son pote... proposa Frïdul.

- O.k, cette fois c'est toi qui parle, lui répondit Dané.

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