C'est sûrement en pensant à toi que Dieu a eu l'exact idée de créer l'univers, j'ai toujours vu en toi une merveille, une femme qui dès que mes yeux tombe sur elle je perds tout contrôle c'est ce même toi qui m'a fait ressentir ce que l'on pouvait ressentir en enfer, en m'accrochant à ton amour tu m'as amené à ta fournaise. Je sais que le monde est plein de fruit dangereux mais j'aurais jamais imaginé qu'un fruit aussi doux pouvait être aussi mortel, je pouvais vraiment pas échapper à ta prison car tel un aveugle j'offrais de l'or à une femme qui allait duper mon cœur, une femme qui cherchais un homme comme moi mais pas moi.

Je ne sais pas si c'est normal mais mon corps entier faiblit quand elle m'embrassait car c'est en elle que je me voyais le plus nette que possible, je sais pas comment ni pourquoi mais sans elle je me sens vide et vague, d'après toi c'est normal de vivre dans un enfer et dans un paradis en même temps? Jusqu'à présent malgré tout ce que tu as pu me faire je pouvais crier sur les toits que je te hais et je t'aime car sans toi dans ma vie ça ne rime à rien du tout. Après tout ce que tu as pu me faire, c'est vrai que j'ai eu le cœur brisé et peu importe ce que je trouve dans les autres filles ça me rappelle que j'ai un cœur même s'il ne bat plus car certains traumatismes ne s'effacent pas facilement peu importe le nombre d'année écouler. Ta présence était pour moi une telle consolation parce-que t'étais une lumière au fond de ma tunnel,rien qu'en te regardant, j'avais les pupilles qui tremblent et mes porcs qui se dilatent.

J'ai été stupide de tomber amoureux du démon, et maintenant j'ai plus de cœur parce-qu'il est rasé en miette comme l'a fait la bombe-H à l'Hiroshima, j'ai été manipulé, hypnotisé par le diable qui sourit d'un sourire ravageur. Il existe une expression bien connue de tous qui dit « Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit. » tel un fou furieux je voulais exister l'inexistant, je vivais dans un monde solitaire pourtant tu étais là à quelques centimètres de moi à me regarder avec un regard que j'aurais jamais imaginé, un regard qui inspire la violence, un regard d'un cèdre en feu c'est ce putain de regard qui a laissé tous ces fissures à cupidon.

La fin de la partie 2/ parfaite embrouille