J'avais mal musé, je pensais que cette supposition était universelle, celle qui dit ''dans une histoire d'amour ce qui compte c'est la confiance'' encore une fois en embrassant l'obscurité j'ai embrasse l'absurdité. Je suis une victime, une victime de l'amour qui dans un temps j'étais tombé amoureux du diable incarné, putain...! Oh ange, pourquoi tu es tombé dans mon horizon, si c'est pour me rendre aussi malheureux... Toi qui a su comment fonctionner mon cœur, toi qui a su sur quel rythme que je dois danser, toi qui d'un seul regard je reste sans mot dire, c'est ce même toi qui a utilisé des mots doux pour faire violence a mon cœur. Malgré tout ce que tu as pu me faire, tu m'inspirais chaque courte plume ou du moins tu vivais dans ma plume, je t'aimais à en décrocher la lune or avec toi je me sentais amoureux, j'étais soumis à ton charme qui était une arme redoutable c'est la raison pour laquelle mon cœur avait trouvé son rythme stable et jusqu'a aujourd'hui j'ai senti la douceur de ta peau et le gout du nectar de tes lèvres, je vivais que de toi car au-delà de ton absence il n'y'a pas de vie possible, tu fais semblant de ne pas savoir ce que tu représentais pour moi pour que tu puisses me battre par ta ruse. Elle est une abomination dans un joli corps, j’aurais jamais pense que les anges serais aussi malfaisants, on dit que chacun a en soi une faiblesse et cette perverse a su trouver la mienne, elle m'a manipulé, elle m'a blessé pourtant je l'aime toujours. On a baisé une fois si je me rappelle bien c'était délicat dans tous les sens du terme, c'était comme si Dieu rentrait en connexion avec moi, en te pénétrant j'ai senti ce courant aussi puissant qui me traverse, ouf! je me souviens de tout comme si c'étais hier, la jolie sorcière m'as battu par la ruse, elle m'a ensorcelée avec son sourire et son amour. je fais l'impossible pour me passer de ces flèches que tu as laissé sur cupidon mais a force d'être toujours amoureux de toi me rapproche beaucoup plus près des moments passés avec toi, tu es ma pierre angulaire, mon démon et ma dulcinée