enfermement
Pdv extérieur.
Une alarme retentit. Des hommes en uniforme militaire sortent de différentes pièces. Tous se dirigent vers le même endroit. Lorsque qu'ils y sont, un homme, qui se tient près d'une table où sont superposés une centaine d'armes prend la parole :
- Allez on se dépêche! Je sais pas comment mais y a un intrus dans la base! On est peu, environ une trentaine, je sais pas toujours pas comment mais ceux qui sont entré on certainement su que la plupart des hommes serait en mission. Alors on se dépêche et vous allez me les tuer ! Sinon vous allez m'entendre!
Chaque soldats prend 3 à 4 armes et se dirige vers le couloir qui mène à l'entrée du bunker. Les intrus sont certainement déjà bien avancé puisque des armes dans l'armurerie ont disparue. Les trente hommes se figent lorsqu'il virent les intrus... Ou plutôt l'intrus. Ce n'était qu'un jeune adolescent de 16 ans. Et aucune autre personne était en vue. Les soldats hésitent, doivent-t-il tuer un enfant ? Leur hésitation prend fin lorsque l'homme aux commandes hurle:
- Je reviens sur ma décision, ramenez-le moi vivant ! Et en assez bon état ! C'est clair ?
Personne ne réponds mais le chef n'attendait pas de réponse. Les ordres ne sont pas fait pour être discuter. Au bout d'une vingtaine de minutes, l'intrus et finalement attraper et amené dans le bureau du commandant.
PDV Thomas.
Je me suis fait attraper comme un con. Mais on peut dire que j'ai eu de la chance ! Mathéo disais que à chaque fois qu'il y avait un intrus dans cette base, il n'en ressortait pas vivant. Je pense pas que ceux avant moi est eu le temps de voir cette pièce. Un bureau en bois massif trône au centre. Quelques tableaux tapissent les murs de béton. Un homme entre dans la pièce par la lourde porte en métal. Il est assez grand. 1m80 je dirais. Il doit avoir la quarantaine. Ses cheveux blonds, presque totalement rasé donne l'impression qu'il est chauve, et ses yeux marrons, impassible, me fixe. Je décide de briser le silence :
- Salut, vous êtes qui vous ? Et puis je fais quoi là ? Non parce que je penser que si je me faisais attraper, je serai tué ou jeté au cachot non?
L'homme m'ignore royalement et vas s'assoir sur la chaise derrière le bureau.
- C'était pas des questions réthoriques mais bon! Je grommele.
- Des question quoi? Demande l'homme.
C'est pas possible ce mec! Il entend les mauvaise phrase ou quoi?
- Des questions réthoriques. Vous savez pas ce que c'est ? je m'étonne
- Bon on va entrer dans le vif du sujet. Je veux savoir pour commencer d'où tu viens!
Ok... Le mec il m'ignore au calme. Il veut jouer ? Ok sans soucis !
- Oh vous savez j'habite un peu partout. Je répond.
- Ceci n'est pas une réponse. S'énerve-t-il
- Tout comme le faite que vous ignorez depuis tout à l'heure toute mes questions.
- Bon jeune homme ! Je n'ai pas de temps à perdre !
- Non? C'est vrai ? Bah vous avez qu'à me tuer alors! C'est pas le sort réservé d'habitude ?
- Si mais... J'aimerais d'abord savoir comment tu as fait pour rentrer dans cette base.
Un sourire vient de plaquer sur mon visage. S'il savait que lorsque j'étais dans la tour j'avais appris des plans de base militaire par cœur ! Mais bon se serait dommage de tout révéler non?
- Oh vous savez c'est pas bien compliqué ! Je commence. Une cape d'invisibilité, une clé passe partout et le tour est joué.
- Je veux la vérité ! Dit-il en devenant rouge de colère.
- Ok ok mais moi je vais quand même vous proposer un truc vous devez me répondre sinon je réponds pas.
- Vas-y. Tu me tapes sur les nerfs.
- C'est pas ma faute si vous m'attacher à une chaise. Bon on va commencer simple votre nom?
- Je suis le colonel Valentin Connio. À toi !
- Moi je suis Thomas Furhung. Pourquoi vous ne m'avez pas tué ?
- Je pense que tu pourrais nous aider. Il n'y avait pas toute la base mais tu a réussi à t'en sortir face à des hommes sur-entrainé. C'est pour cela que je veux savoir d'où tu viens.
- Je viens des rues. Je mentis. Enfin pas vraiment vraiment, je me suis retrouvé à la rue.
Je suis pas fait pour mentir... Ça me répugne... Ducoup je donne toujours une part des réponses attendues. C'est pas forcément génial mais ça me fait moins culpabiliser.
- Humm... Tu n'en diras pas plus n'est ce pas? Reprend le colonel.
- Vous avez raison. Dis-je pour le provoquer.
- Très bien. Je vais vous accompagner jusqu'au cachot. Il faut que je vois si je vous garde ou pas? Tu as une préférence?
Mais il est con c'est pas possible ! Bien sûr que j'aimerais rester en vie. D'ailleurs, leurs faire croire que je suis de leur côté m'aiderait très certainement. Faut que je partes de ce pays, ils sont tous idiot !
- Tu ne répond pas donc je verrai par moi-même. Pour l'instant, direction les cachots.
En disant cela, il me force à me lever et à le suivre. J'observe autour de moi, les murs, les plafonds et les sols sont peints en blanc. Il n'y a aucune couleur. C'est triste, mais bon j'aurais dû m'y attendre. Les portes elles, sont grise. Chelou leur histoire. Si vous mettez tout en blanc faut vraiment tout mettre en blanc ! Je continue mon inspection tout en essayant de mémoriser le chemin. J'ai volé une carte de la base tout à l'heure, à l'armurerie, mais je sais plus si je l'ai encore. Je ne la sens plus en tout cas. Elle a peut-être pris la température de mon corps ? J'avance, j'avance, jusqu'à se que je sois tiré en arrière.
- Où tu vas comme ça? Le cachot et ici. Je te souhaite bonne chance. Si tu veux me donner ton avis sur ton sort, demande aux gardes qui sont devant. Mais prépare des arguments.
J'émet une sorte de ralement. Il me poussa sans ménagement, me faisant tomber sur le sol dur.
- À plus tard peut être.
Il sorti en fermant la porte. Je m'adosse au mur en soupirant. Je ferme les yeux et j'entends :
- Bonjour, ma sœur veut savoir qui tu es ?
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