Chapitre 6.

Le vieillard nous a fait entrer chez lui.

- Dites-moi, vous êtes quoi au juste ?

- pardons ? s'étonne Aiko.

- Vous êtes qui ? d'où venez-vous ?

- Nous sommes des peuples Scio, Magnite, calcédoine et Aiko est une Salutem. On est là pour combattre les Azurites.

- Chut ! Parle moins fort lorsque tu dit ça... Comment t'appel-tu ?

- moi c'est Goro... je suis un Scio.

- Enchanté moi je m'appel Akemi, moi je suis Azurite.

- Hein ! s'étonne Omaro en sortant un couteau de sa poche.

- Lâche ça jeune homme, dit le vieille homme. écoute, je le suis mais je ne suis pas comme nos dirigeant. Tout les Azurites ne cherchent pas la guerre. Je ne cherche qu'à vivre dans la paix.

- C'est vrai... nous n'y avons pas réfléchi.

Il se retourne et ouvre une porte.

- Suivez-moi, tout aussi Omaro.

- Hein ?! Comment vous savez ça ?

- Ta pensé... ta pensé...

Je ris intérieurement, et oui Omaro, Akemi est Azurite sont pouvoir est celui de la pensée, la télépathie,...

Nous arrivons dans une pièce sombre, éclairé par un simple lustre.

- Et voilà mon atelier ! Je fabrique des armes comme des épées, des couteaux, des arcs,...

Je me tourne vers les autres... nous ne sommes que six ! 

Ah oui... Senshi, mio et Atsuko ont été tué. Comment ai-je pu oublier ça ?

Akemi ouvre un meuble.

- Servez-vous.

Nous avançons vers le placard.

- Super ! Je prend l'arc. m'exclamé-je.

- Prend aussi un couteau, me conseil Akemi.

- Moi je prend l'épée, dit Leiko.

- Moi aussi j'en prend une.

Benkei prend également une épée. Tadashi, me suit et prend un arc.

- Vous êtes équipé.

- Excusez-nous de vous demander ça mais... commence Leiko.

- Vous pouvez rester la journée et la nuit oui. Pas plus, ce serai trop dangereux. vous repartirez demain matin.

- Comment... ah oui, vous êtes Azurite.

- Exactement, et, tutoyez-moi. Je préfère.

Nous entendons des bruits de pas a l'extérieur.

- Cachez vous.

Nous nous cachons dans la maison.

La porte s'ouvre brusquement.

- Bouge pas ! cris un homme, un garde.

On dirai le garde qui nous a attaqué plus tôt.

- Cherchez, dit-il. 

J'entend des pas qui passe juste à côté de moi, je suis caché dans le placard sous l'évier.

Les pas descendent les escaliers qui mènent a l'armurerie.

- Nous cherchons six individu, ils sont agé d'une vingtaine d'années et son étranger. Ils se baladent avec un gamin.

Benkei ! C'est de Benkei qu'ils parlent, il n'a rien d'un gamin. A part l'âge... mais il est bien plus intelligent que certaines personnes de 20 ans.

- Les avez vous vu ? demande le garde à Akemi.

- Non... quoi que... oui je les aient vu ! 

Quoi ?! Mais à quoi il joue !

- Et où les avez-vous vu Akemi ?

- Ils sont passé dans la rue, je les aient vu passer dans la rue.

Je regarde par un petit trou dans la porte du placard.

Le garde met les mains sur le crâne d'Akemi... j'ai entendu parler de ça, les azurites font ce geste pour découvrir les pensées profondes. On est foutu.

- Eh bien, nous allons vous laisser faire votre soupe, bonne journée et surtout si vous les revoyez contactez les autorités.

- Chef ! Venez voir ici ! dit une voix féminine.

C'est la voix du garde qui est descendu a la cave.

- Qu'à tu trouvé Mio ?

Mio ?! Merde ! Mio à quoi tu joue !

Je me disait bien que cette voix m'étais familière.

- Venez voir chef.

Le garde descend.

- Ne bougez pas d'ici Akemi.

- Je n'irai pas bien loin toute façon.

- Ne sortez pas de la maison !

- Bien, lance Akemi.

D'un coup une voix retentit dans ma tête, on dirai celle d'Akemi justement.

"Alors les p'tits gars vous n'avez pas trop fait dans votre froc ? c'est bientôt fini ses charlots vont partir".

Comment fait-il ça ?!

"Akemi... Tu l'a dit toi même, je suis Azurite. La télépathie ça me connais".

Le garde reviens dans la pièce avec Mio...

- Akemi, nous vous prenons quelques armes. Combien nous devons-nous ?

- 15 Zénon.

- Pardons ?!

- Non, c'était... de l'humour, c'est gratuit pour vous.

- Merci beaucoup

- Je peux bien vous offrir ces armes, pour tout ce que vous faîtes pour nous, lance Akemi.

- C'est ça c'est ça... bougonne le garde en sortant.

Je sort du placard.




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