Chapitre 9
Le Docteur K... François, pose son pouce sur une sorte de lecteur d'empreinte digitale. Un petit écran s'allume, un laser vert scan son doigts et au bout de quelque secondes, sur le petit écran apparaît sa carte d'identité, un titre « Chevalier d'argent » qui est sûrement son grade dans cette organisation qui nous était inconnu il n'y a même pas une heure. De ce que je peux lire sur sa fiche de renseignement qu'il a rejoint l'ordre des Chevalier du Chêne en 1994, soit à ses 20 ans.
- J'ai prévenu qu'un Occulteur rends visite à l'ordre ce soir et mon supérieur est ravi de l'apprendre, c'est pas tout les jours que l'on reçoit un être de votre puissance.
"De votre puissance" ? Je ne suis pas si puissant que ça, c'est juste ma magie qui a décidé de se mettre en pilote automatique depuis mon attaque devant le Hell's bar. Tout est devenu différent ce soir là.
Je découvre que Martin n'est pas le Martin que je connaissais, ma mère me fait la guerre, des créatures infernales parcours la ville, maintenant je ne contrôle presque plus ma magie et j'apprends que je suis probablement le descendants direct d'un des premier Occulteur.
- L'ordre à était fondé en qu'elle année ?
- En 1291 par Philippe IV de Navarre, suite au meurtres de la famille royale orchestrée par un groupe de puckdoogler.
- Pourquoi un groupe de créature métamorphe et primitif aurait voulu la mort d'une famille toute entière ? demande Martin toujours aussi suspicieux des motivations qui anime ces sois disant chevalier.
- Certains monstres ne sont rien d'autre que des monstres.
Au moment de rentrer dans un genre de monte charge, Martin s'introduit rapidement dans l'habitacle qui a l'aire très ancien.
Je m'attend à ce que l'on monte, mais l'ascenseur tout poussiéreux descend d'au moins 2 étages.
J'ai l'impression de vivre le résumé de ma vie de ces deux dernière semaines en 5 minutes. Une descente aux enfers.
- Comment faite vous pour vous offrir des locaux pareils ? Demande Martin essayant encore de lire ses pensée, mais à vu d'œil son expression faciale me prouve qu'il n'y arrive pas.
- Nous comptons dans nos rangs des personnes influentes avec le compte en banque qui suit.
François ouvre la grille et un petit couloir apparaît, le papiers peint de style victorien bordeaux et gris usés par les ans je suppose, est entre coupé par trois portes close d'un côté et par une arche en pierre qui surplombe deux portes en bois qui arbore les blasons de leurs ordre secret. Cette épée et ce livre ouvert... la plume est plus forte que l'épée, mais peut-être ont-il trouvés un moyen de les équilibrer.
Le sceau se sépare en deux, quand les deux portes de bois, qui je parie sont en chêne s'ouvre et je met un pas dans le quartier général de l'ordre des Chevaliers du Chêne et tout le monde me lance un regard, certain m'analyse, d'autre me dévisage et quelques personnes prennent ma visite comme un honneur et me sourit.
Sans le savoir je suis devenu une bête de foire. Un lion dans un zoo peuplée d'humain.
Toute la pièce change d'atmosphère quand un homme en costume noir et blanc, que j'appelle le costume pingouin pénètre dans la pièce et s'approche de nous. Chacun s'affole et cours dans tous les sens, pendant que d'autre reste stoïque. Cette scène fait écho à l'arrivé du patron dans les locaux de ses employés et si je me trompe pas, la manière dont se tient François me prouve bien que ce quinquagénaire est son supérieur. Je me redresse et lève le menton.
- Je vous présente monsieur George. Me dit François en posant sa main dans mon dos et je remarque que ce geste ne plaît pas trop à Martin, il a beau lire dans les pensées moi je sais ce que les gens ressente avec leurs expressions faciale.
- Enchanté si je peux me permettre monsieur Pavlov.
On se sert la main. Un acte des plus formel.
L'intérieur de leurs QG est égal à celui d'une très ancienne cathédrale. Colonne en pierre, de la roches taille pour donner l'impression que des gargouilles nous surveillent, de sublime vitraux représentant de fugace instant de lutte entre un chevalier et une créature sanguinaire, mais ce chevalier menace le monstre avec son immense épée sertie de cristaux et de runes que seul des Occulteurs peuvent utiliser à des fins rituelle. Cette épée me dit quelque chose... mais je ne saurais dire quoi ?
De haut plafonds voûtés sont taillés de minuscule motif. J'ai remarqué que beaucoup d'entre eux reviennent assez souvent : Des chevaliers, des épées, des lunes et des racines.
- De même monsieur...
- De Navarre, mais en tant que invité vous pouvez m'appeler George et si vous me permettez j'aimerais continuer cette discussion dans la bibliothèque.
Navarre ? Comme le fondateur de cette société ?
C'est impressionnant qu'une lignée humaine ait réussi à tenir aussi longtemps sans disparaître au cours des nombreuses guerres de l'époque.
- Voici la bibliothèque, dit-il en retirant son pouce d'un lecteur d'empreinte identique à celui qui nous as conduit ici. Cette pièce à été imaginé et décoré par Michel Ange.
Celle-ci est une salle circulaire aux plafonds imagé de peintures aux même principe que les vitraux, mais dans un style venant tout droit de la renaissance. Les murs sont tapissés de livres ; les échelles à roulettes monte presque jusqu'au plafond. Les volumes de cuirs en expositions ne sont pas du genre humain, du genre à être vendu dans la librairie du coin: ils sont solidement cadenassés par de l'argent. Leur usure suggère non seulement qu'ils sont anciens mais aussi qu'ils ont beaucoup servi aux Chevalier de Chêne.
Au centre de la pièce trône un imposant bureau en chêne massif. La table reposait sur le dos de deux chevaliers de marbres blanc. Derrière ce bureau est assis un homme dans la même tranche d'âge que Martin et moi.
- Je vous présente mon fils prodige, Dorian de Navarre.
Le jeune homme se lève, contourne le bureau et rejoint son père qui lui tend les bras.
Ce simple geste qui est un gage d'affection, m'est totalement inconnu. Mes parents, même mon père, ne ma jamais serré de la sorte. Je sais très bien que nous les Occulteurs ne sommes pas des être d'affection paternel, mais ça n'en reste pas moins blessant, un genre de manque.
- Enchanté. Me lance-t-il quand nous échangeons une petite poignée de main innocente.
Je détache mon attention du fils soit disant prodige et m'approche d'un immense rangement de livres qui portent le nom "Esotérisme". Des livres de magie.
- On aime les livres Valentin ?
Je me retourne et le fusille du regards. Dorian s'approche de moi.
- Pourrait tu l'appeler monsieur Pavlov ?
Son père est à ce point vieux jeux ? J'ai dix neuf ans et non cinquante ans, comme lui.
- Ne vous inquiétez pas je ne me sens pas offensé.
- Bien. Il se tourne vers Martin. Nous allons laisser votre ami avec mon fils et vous venez avec moi ? J'aimerais en apprendre plus sur vos talents en tant que Huldres.
Martin ne bronche pas et le suit en me saluant d'un faible mouvement de poignée.
Les portes se referme derrière le cortège de soldat qui suivent George de Navarre et mon ami.
- Comment a tu su que j'aimais les livres ? Demandai-je à l'homme qui caresse étrangement la tranche d'un recueil de poison.
- Je l'ai deviné à l'expression de ton visage quand tu es rentré dans la pièce à moins que je ne sois à l'origine de cet émerveillement.
J'étouffe une exclamation de surprise quand je comprend ce qu'il vient de me dire.
Soudain il attrape un livre et me le jette dessus, mais le vieux volume se voit barrer la route par un champs de force et tombe sur le parquet lustré de la bibliothèque.
- C'est donc vrai ! T'as magie te protège sans incantations.
- Et si cela aurait était le contraire je me serais prit un livre de plus de cinq cent pages dans la figure, dis-je en grognant.
A mon tour de lui jouer un petit tour à ce gosse de riche mal lunée, à la bouche légèrement pulpeuse dont une lèvre plus gonflé que l'autre, avec une sorte de constellation sur la joue droite de grain de beauté à peine visible, ses sourcilles sont à peine brossé leurs donnant une allure un peu broussailleux, mais pas totalement désagréable à regarder et ses yeux en amandes cache une évidente arrogances lié à son statut dans cet ordre.
Je m'entaille légèrement le doigts avec la page d'un livre et regarde le sang perler à petites gouttes.
- Exleum Ortencia.
Son pantalon devrait prendre feu dans quelque secondes. Je continu de feuilleter les livres qui me tende les bras pour me nourrir de savoir et aprè dix minutes à attendre que quelque chose se passe je reste frustré que mon sort ai échoué.
- Bien essayé Val' mais j'ai une amulette de fer et d'obsidienne enchanté par une Occultrice du seizième siècle.
En plus d'être arrogant il est protégé contre ma magie.
Mon amertume se voit détruit par de la curiosité quand je pose mes yeux sur un livre qui s'intitule: "Famille Royale des Occulteurs".
Ce livre très ancien à peut être des informations sur les origines de ma magie et pourquoi elle agit de la sorte.
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