Chapitre 8

Les roues cries sur le goudron quand Martin freine subitement devant le numéros 17. C'est une propriété privé, intitulé en lettre d'argent : La rive du Havre.
Notre démonologue a l'air bien plus riche que ce que je pensais et j'espère pour lui qu'il sera là pour notre rendez vous.
Martin cherche sont nom sur la liste des appelles pour sonner chez lui et qu'il nous ouvrent.

- H,I, J et Kronenh ! Dit-il en appuyant sur un bouton.

D'ailleurs il appuie plusieurs fois dessus, sans que personne ne nous ouvre.
Je m'approche, l'écarte de la porte et ramasse un caillou par terre que je tiens ensuite très fermement dans ma main droit et avec la gauche je m'entaille l'index et le petit doigts.
Mon sang coule doucement et a petit goutte sur la roche fraîchement ramassé. La magie appel le sang et le sang appel la magie.
Un sacrifice est très souvent demandé en magie, car, comme me la apprit Karl et la mort de Ben : l'on a rien sans rien.

- Privatum reveltur.

La poignée s'abaisse et la porte s'entre-ouvre, nous laissant rentrer à l'intérieur.

- Bien joué Val'.

Comme je m'y attendais l'intérieur est habillé de blanc, avec des reproductions de tableaux très connus, comme Van Gogh et Auguste Rodin.
La décoration est un peu trop kitch avec ses immenses plantes vertes. Après la richesse n'entraîne pas forcément un bon goût en terme de décoration.
Après trente secondes à entendre cette insupportable musique d'ascenseur qui ne possède aucune parole. Je me précipite en dehors de l'habitacle d'acier. Bien trop impatient de découvrir ce que ce mystérieux Dr. Kronenh à a nous offrir comme informations.
Mon ami regarde sur son téléphone et m'indique que l'on doit aller au deuxième étages, porte numéros 4.

- Alors la c'est la 1, ici la 2 et... Voilà la 4.

La porte est identique aux autres. Blanc cassé, numéros de porte en lettre d'or et les poignées imitation diamant. Ils doivent sacrément riche dans cette résidence.
Je toque à la porte. Rien.
Heureusement que j'ai garder la pierre qui m'a aidé à forcer la porte d'en bas.

- Privatum reveltur.

Un bruit de serrure retentit dans le long couloir lumineux et la porte s'ouvre en grand, tapant le mur.
J'aurais peut être dut doser la puissance du sort. Un peu plus de force et la porte serait sortit de ses gonds alors que nous ne cherchons pas à nous faire remarquer.

- C'est étrange, pourquoi personne ne répond ? Tu es sûr qu'il nous a donné rendez vous ici ?

- Je lui parlé hier soir.

Je rentre en premier dans l'appartement qui est en désordre monumentale : de vieux livre un peu partout, des notes épinglés au mur et relié par une sorte de corde rouge. Une assiette de pattes à la carbonara encore fumante trône sur la table basse du salon.
Il est encore sur les lieux.
Soudainement un homme de la quarantaine en chemise blanche, manche retroussé et pantalon à pince sort d'une pièce qui ressemble à une salle de bain. Il pointe sur moi une arbalète et tire.

- Meurt démon !

Par réflexe je lève la main en cherchant à me protéger, fermant les yeux, prêt à recevoir une flèche sûrement fatale, mais rien.
Je sens une petite odeur de fumée et regarde à mes pieds. La flèches s'est enflammée.
Martin se jette sur lui et le plaqué au sol, jetant son arbalète contre le mur.

- Ta magie t'as encore protégé Valentin.

Ma magie ? Dès que j'irai voir ma mère ce soir je lui demanderai des comptes, j'aimerais comprendre qui je suis.

- Vous êtes un Occulteur ? Me demande l'homme à terre.

- Oui Valentin  Pavlov et vous vous êtes ?

- Docteur Kronenh, un simple humain qui est aussi un peu  paranoïaque sur les bords.

Martin l'aide a se relever en entendant qui est l'individu qui vient tout juste de me tirer dessus, du moins qui a tenté.
Il s'assoit dans son canapé en tissu brun et qui me donne l'impression de coûter très cher.

- Pourquoi m'avez vous attaqué ?

- Je vous ai pris pour eux.

Parle-t-il dès succube ?

- Par eux vous voulez dire les succubes ? Demande Martin.

Il emmène son assiette dans la cuisine quand l'on s'assoit dans les fauteuils en face du canapé principal.

- Oui ils peuvent changer d'apparences.

- Donc ils ont déjà essayaient de vous tuer ?

Il attrape une pile de livre en cuir relié brun et rouge., la pose devant nous et les ouvres  à différents passages.
De nombreuses illustrations présente des créatures cornues et inhumaines sortant de la terre, en s'agrippant à celle-ci pour s'échapper des Enfers. Dans chaque illustrations ces succubes possèdent un symbole sur le front et chaque histoire les présentes comme d'abjectes créatures aux milles visages et au désirs de sang sans fin. Les invocateurs se servent d'eux  pour se venger ou aspirer l'énergie des autres, car la faculté principale de ces démons, c'est de se nourrir  psychiquement sur les autres.

- Vous avez déjà eu affaire à eux ?

- Si j'avais réellement eux affaire a ces choses je serais mort.

Martin attrape un livre et commence à feuilleté les pages à vitesse grand V.
Nous avons sous nos yeux toutes les informations nécessaire à notre chasse aux monstres.
Comment ce fait-il qu'un humain en sache autant sur notre monde ?

- Vous en savez beaucoup sur notre monde, je me trompe ?

- Non vous avez raison, il sort du col de sa chemise un pendentif. Ma famille est en quelques sortes chercheurs dans le paranormal et ça depuis très longtemps.

Un chercheur ? Des personnes non magiques étudient notre mondes dans notre dos ? C'est Fascinant et ça en boucherait un coin a pas plus d'un, tous se croit discret.

- Comment ça des recherches ? Demande Martin.

- Nous avons était formé en 1281, on chasse les monstres qui tue des humains et on  répertorie tout type d'artefact surnaturel dans une salle privé au QG.

Je fixe sont collier d'une manière presque effrayante, il reflète la lumière tamisé de l'appartement qui réussit à filtrer les rideaux. Son pendentif ressemble à un blason familial, avec deux symbols, équitablement repartie. Une épée et un livre. Peut-être possède-t-ils des guerriers dans leurs ordre secret.

- Vous faite partie de la famille Pavlov c'est bien ça ?

- Oui c'est bien ça Docteur Kronenh.

- Je vous en pris appelé moi François.

J'acquiesce d'un mouvement bref du menton.
Nous parlons depuis trois ou quatre heures des Huldres, des succubes et des invocations infernales qui d'ailleurs sont très interessante car seul un sacrifice par le sang permet d'invoquer un démon de cette envergure.
Je me permet de lui demande pourquoi mon nom de famille est si important.

- J'aimerais bien vous répondre très chers mais tout les informations sont dans la salle dont je vous ai parlé plus tôt.

- Serait-il possible d'y accéder ce soir ?

Il se lève et enfile sont manteau par dessus sont cardigan en laine gris. Nous faisons de même.

- Vous voulez autant que nous renvoyer ces sales créatures aux enfers, donc je vais vous donner accès a la salle des reliques.

En bas de sont bâtiment, il nous dit d'attendre à un endroit précis , le temps qu'il vienne me récupérer en voiture, car Martin doit prendre sa moto.
J'allume une cigarette en tendant mon doigts, au bout apparaît une petite flamme.

- Tu pense que l'on peux lui faire confiance, dis-je à Martin en continuant de tirer comme un pompier sur ma clope.

- Je ne sais pas , j'ai pas réussit à lire dans ses pensées.

Étrange. La seul chaise qui peut bloqué un télépathe c'est une amulettes de silence, ce genre de grigri rend silencieux votre esprit pour les autres. Celui qui essayera de lire vos pensées, se retrouvera frustrée de ne pas avoir réussi.

- Si il y a quoi que ce soit n'hésite pas à te défendre t'a vie est bien plus précieuse que la sienne.

Il se gare avec sa Cadillac sur le bord de la route et me fait signe de rentrer.
Je serre la main à Martin.

- On se retrouve là-bas.

Je monte dans la voiture et file à plus de 50 km/h vers le lieu qui détient tout ce que nous attendons. La fameuse salle des reliques.
Malheureusement je ne pourrais pas aller régler les problèmes familiaux qui m'assaillent. Ma mère attendra, ainsi que mon père qui reste muet sur cette histoire.
J'espère juste que Karl va bien sous sont petit escalier à être k.o par ma faute...

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