Chapitre 27

POV JUNGKOOK

Après avoir calmé les pleurs de Haeli, je l'ai couché et il s'est endormi. Néanmoins, moi, je n'y arrive pas, tourmenté. J'ai beau essayer de ne pas y penser, je ne peux pas nier le fait que Jimin me manque. Peut-être même plus qu'à notre bébé. C'est à n'y rien comprendre. Et, le soir plus que le jour, j'ai ce constant espoir qu'il se glisse dans mes bras afin que je puisse le réconforter de sa longue journée de travail.

Mais j'imagine que c'est un autre qui se charge de remplir ce rôle à présent. Depuis que je l'ai rencontré, l'idée de faire quoi que ce soit avec quelqu'un d'autre ne m'a jamais effleuré l'esprit. Lorsqu'il l'a fait avec Taehyung, lors de notre "pause" et quand il était en dépression pour une raison qui m'échappe encore ; je n'ai jamais envisagé me tourner vers un autre. Alors... pourquoi ai-je cette boule de rage et de tristesse qui étouffe ma gorge ? Cette peine qui me fait penser à des folies, cette peine qui me donne envie de... de le faire souffrir. Plus. Je veux qu'il souffre plus.

Il tourne la page sur tout ce qu'il s'est passé mais continue à me supplier de revenir. Quelle hypocrisie ! "Je souffre beaucoup trop," ça explique que tu ailles voir ailleurs le lendemain ?! "Reviens, je t'en prie." Pour que je sois celui qui se fait balader ?! Conneries. Que des conneries.

Si ça ne tenait qu'à moi, jamais je ne le reverrai ! Mais il y a notre fils et je n'ai pas le droit de les séparer.

Alors, le lendemain matin, je me rends à notre appartement, Haeli dans mes bras. Il est à peine cinq heure. Jimin doit être ici. Ma respiration accélère, mon cœur se ressert, mes muscles ramolissent et ma gorge me brûle. Je veux le voir, je veux le voir tellement mais j'ai peur. Peur de retrouver cet expression vide de sentiment qu'il me présente constamment. Cette voix neutre et sans émotion qui écorche mon oreille habituée à un son mélodieux et mielleux.

Je compose le code de la porte et pose ma main sur la poignée. Je déglutis, je tremble. J'ai peur. Je veux le voir. Je l'abaisse et ouvre doucement la porte avant de pénétrer dans le salon. La pénombre a envahit la pièce. Alors, sans un bruit, j'allume la lumière et pénètre dans la salle... vide de son absence. Je me dirige donc automatiquement vers la porte de la chambre et m'apprête à entrer lorsque j'entends une faible respiration, à peine audible.

Un sourire se forme sur mes lèvres. Ce son lent et léger, si délicat et attendrissant, je pourrais le reconnaître entre mille. Mon cœur qui battait follement de peur, s'apaise pour laisser place aux vibrations régulières – toujours rapides pourtant – qui me démontre que mon amour pour l'objet de mes tourments, est encore là.

Je referme la porte, ne voulant le déranger. Il ne dort déjà pas assez ; alors si je l'interromps en plus...
Heureux sans raison, je me dirige vers la cuisine et commence à préparer le petit déjeuner, veillant à ne pas réveiller mes deux bébés en faisant le moins de bruit possible.

Je me demande quelle tête il fera lorsqu'il va m'apercevoir. Il sera surpris ? Triste ? En colère ? Ou bien m'accueillera-t-il à bras ouverts ? Je meurs d'envie qu'il se lève tout de suite et de sentir ses bras s'enrouler autour de ma taille, la chaleur de son petit corps se mélant à la mienne. Puis, on s'expliquera, peut-être qu'une dispute pas bien méchante éclatera, je verserai certainement quelques larmes et j'espère lui aussi. Ensuite on s'embrassera tendrement et se dira des gentillesses avant de reprendre une vie conjugale parfaite.

Son plat étant terminé, je verse le tout dans une assiette que je prends en main dans le but de la poser sur la table. Mais, quand j'arrive face à ce meuble, un détail me fait m'arrêter. Deux flûtes de Champagne posée face à face deux chaises différentes, tiennent autour d'une bouteille encore fraîche. À cette vue, une rage envahit mon corps et, si je ne m'étais pas repris, j'aurais fracassé l'assiette contre le sol. Je resserre ma mâchoire, pose le plat sur la table, et quitte hâtivement l'appartement.

Qu'il aille se faire foutre comme il le fait déjà si bien.

POV JIMIN

– Jungkook, putain d'enfoiré de merde, où est-ce que t'es bordel ?! Tu ne peux pas te permettre de te tirer avec MON bébé sans rien me dire ! Je n'en n'ai plus rien à foutre de toi mais laisse moi voir mon bébé, bordel ! C'est quoi ton putain de problème, connard ?! Et réponds quand je t'appelle si tu ne veux pas que je te colle un procès au cul ! Ça fait un mois, bordel ! Un putain de mois entier ! Alors ramène toi ! Je m'en fous qu'on discute, qu'on se quitte, qu'on ne se revoit plus jamais ! Si c'est ce que tu veux alors ainsi soit-il ! Mais tu n'as pas le droit de m'empêcher de voir mon enfant ! Tu m'entends ?! T'as intérêt à m'entendre, putain d'enfoiré ! Je te déteste ! Amène moi mon bébé, bordel !!!

Sur ce, je balance mon téléphone à travers la pièce avec rage. Les mains appuyées sur mon bureau, face à la grande baie vitrée de cette salle où j'ai passé tout mon temps ces derniers jours, je bouillonne de rage.J'en ai vraiment marre. Ça fait trois semaines que j'essaie de le contacter et je tombe tout le temps sur sa messagerie. Je ne sais pas s'il cherche à couper les ponts complètement mais si c'est ça, il peut s'attendre à une lourde peine de prison.

Je pensais qu'il allait se calmer au bout d'une semaine ou deux pourtant il ne semble vraiment pas décidé à revenir. Si au moins je pouvais voir Haeli de temps en temps, je le supporterai. Néanmoins mon enfant grandit sans moi et ça me rend fous de rage. La seule raison pour laquelle je n'ai pas encore commencé le procès est que je ne veux pas qu'un scandale éclate.
Mais j'en n'ai plus rien à foutre de rien. S'il ne me répond pas avant demain, il passera ses dernières nuits derrière les barreaux.

Je sens soudainement une main glisser doucement sur la mienne et un bras s'enrouler autour de ma taille.

– Qu'est-ce que t'essaie de faire là ? dis-je avec agacement.

– Laisse moi te réconforter, Jimin, susurre délicatement Kota.

Un rire moqueur s'échappe de mes lèvres.

– Tire toi avant que je ne me fâche.

– Je sais que tu en as envie. Donne toi à moi et tous tes problèmes s'envoleront.

Il me mordille l'oreille en collant son bassin au mien.

– Ma patience a des limites, gamin.

– Ça fait des jours que tu restes cloîtré ici. Ne me dit pas que tu ne veux pas satisfaire tes désirs...

Ça m'énerve de l'admettre, mais il a raison. J'ai souhaite souvent rentrer pour me soulager un coup. Néanmoins, pas avec lui.

– T'es pas sensé être hétéro ?

– Oui mais je peux faire une exception.

J'essaie de reculer. Il ressere encore plus son emprise sur ma taille.

– Tu m'aimes, c'est ça ?

– Non.

Je soupire.

– Tu ne peux donc rien m'apporter.

– Je peux faire semblant !

– C'est absurde.

Kota se met à embrasser mon cou frénétiquement, remontant peu à peu jusqu'à ma joue.

– Je t'aime, Jimin.

– Arrête ça.

– Dès l'instant où j'ai posé les yeux sur toi, mon cœur t'appartenait déjà tout entier.

– C'est stupide.

– Je veux t'inonder de mon amour, te noyer avec jusqu'à ce que tu me supplies de te laisser respirer. Je te veux tellement que je rêve de toi le soir. Je rêve de dévorer ton corps dans un plaisir charnel qui te fera planer. Ne m'aime pas en retour... ne m'empêche juste pas de le faire.

C'est absurde, stupide, insensé. Tellement insensé. Alors pourquoi ? Pourquoi mon corps se réchauffe-t-il ? Pourquoi ses mots m'atteingnent-ils tant ? Pourquoi... ai-je l'impression qu'il est ce qui me manque ?

– C'est... vraiment beau.

Bientôt, ses deux bras enlacent ma taille avec force, coupant presque ma respiration et il scèle nos lèvres aussi sensuellement qu'elles sont arrivés par le chemin délicat des baisés. Ses lèvres meuvent insatiament contre les miennes, me faisant frémir exagérément. Et entre deux respirations il me murmure :

– Arrête moi tout de suite.

– Continue, imbécile.

________
ATTENTION : La scène qui va suivre contient des passages déconseillés aux lecteurs sensibles. Vous pouvez scroller jusqu'aux NDA.       
_____________

À ces mots, il détache mon pantalon doucement, mais toujours avec une légère impatience, et le glisse à travers mes cuisses avant d'approcher son corps à nouveau. Puis, je le sens bouger derrière avant de rencontrer son bas contre moi, se frottant sans retenu. Malgré son assurance du départ, je comprends qu'il est totalement inexpérimenté.

– Tu sais comment t'y prendre au moins ?

– Je... j'ai vu... des vidéos.

J'éclate de rire.

– Écarte toi, je ne veux pas être ta première fois, ce serait...

– Ne dites rien, je sais que vous voulez partir mais donnez moi une chance !

Le voilà qui me vouvoie de nouveau.

– Pourquoi ça ?

– Parce que... parce que je vous aimes.

Je soupire une nouvelle fois et descends mon boxeur afin de m'enfoncer trois doigts directement et d'en ajouter un peu après.

– Passons les préliminaires. Rentre.

– Qu... quoi ?

– Je vais t'apprendre à bien le faire.

– D... d'accord.

Il attrape mes hanches et, en un coup de rein, me pénètre avant de jouir immédiatement. Il devient soudain muet.

– C'était quoi ça ?

– P... pardon...

– T'es un éjaculeur précoce ? Tss... un vrai gamin, je te jure.

Comme si ce n'est pas tout, il est venu en moi. C'est terriblement agaçant.

– J'en ai assez vu. Sors.

– N... non ! Je... je vais recommencer ! Donnez moi juste une chance !

Il me supplie ainsi jusqu'à ce que je cède.

– Bon. Maintenant que tu es à l'intérieur, tu ne dois pas te contenter de bouger d'avant en arrière. Il faut aussi que tu me donnes du plaisir. Et pour ça, tu dois trouver ma prostate.

– Elle est où ?

– Cherche.

Les mains sur mes hanches, il commence des va-et-vient étranges, montant et descendant comme perdu.

– Arrête, arrête. Reste en bas et bouge jusqu'à ce que je te dise que c'est bon.

– D'accord !

Il bouge alors son bassin, d'avant en arrière, avec plus d'affirmation à présent. Je ne veux pas dire, mais je prends déjà mon pied. Je me mords la lèvre pour ne pas faire trop de bruit, mais de faibles gémissements m'échappent malgré tout.

Han !

Qu... qu'est-ce qu'il y a ?! Je vous ai fais mal ?!!

– N... non. C'est bon... tu as trouvé.

– Je vois.

Kota reste un moment stoïque avant d'aggriper fermement ma chaire et de me marteler violement à coups de reins puissants, toujours au meme endroit. Je ne peux plus camoufler mes cris et dois me retenir de tomber en avant en maintenant inflexiblemement mon appui sur la table. C'est quoi... ce monstre ? Mon corps est en feu et la chaleur me monte à la tête.
Il faut que je le calme si je ne veux pas m'évanouir.

– K... Kota... re... ralenti...

Il frappe brusquement nos deux corps, me faisant m'écrouler à plat ventre tandis qu'il laisse tomber ses mains sur les miennes, se contractant avec force pour jouir en moi. Les yeux au ciel, je me cabre d'un plaisir douloureux, ressentant sa semance brûlante se déverser abondamment en moi. Ça n'a pas durer longtemps mais c'est déjà trop.

Je tente de me relever mais il me plaque de nouveau contre la table pour reprendre ses mouvements énergiques et calculés. Je ne me souviens pas lui avoir dit de frapper tout le temps ma prostate ! Mes jambes ramolissent et je suis à la merci de ce gosse pour qui les ébas amoureux étaient encore inconnus la veille. Il éjacule une énième fois mais je sais, de part son membre qui ne ramolie pas, que c'est loin d'être terminé.

Kota attrape immédiatement ma cuisse droite et la balance vigoureusement sur le bureau afin de reprendre activement son affaire. Je l'entends grogner gravement tellement rarement que j'ai à peine l'impression qu'il respire. C'est à croire qu'il est en apné constant ! Ses coups ne ralentissent pas, ne diffèrent pas et ne faiblissent aucunement. C'est... atrocement bon !

Il reste un moment dans cette position, venant tous les dix coups de reins, mais repartant de plus belle. Je n'imagine pas la marre de sperme qui doit ruisseler sur le parquet, ni même le temps que je vais prendre à me nettoyer ce soir. Mais qu'est-ce que j'en ai à foutre à présent ? C'est juste mon plaisir fou mélé à sa jeunesse folle et son amour insensé. Je kiff, voilà tout.

Au bout d'un long moment, il s'arrête pour jouir encore mais cette fois, je l'entends haleter bruyamment. Puis il sort de moi. Essoufflé, je reste dans les nuages, les yeux au ciel et la bouche salivante, me contractant malgré moi pour éjecter son liquide épais et gluant. Enfin... c'est enfin fini.

Kota me retourne soudainement sur le dos et saisit mes hanches de nouveau. Merde. Je me redresse vivement et pose ma main sur son buste pour l'empêcher d'approcher plus, soutenant mon corps affaibli grâce à mon autre main posée sur le bureau. Il relève immédiatement son visage vers moi.

– A... arrête, chéri... c'est trop. Tu... vas me tuer à ce rythme. Je... suis fatigué.

– Quoi ? s'exclame-t-il d'une voix triste, les yeux brillants de larmes. Encore ! je veux encore !

– Non. C'est fini, chéri. J'en peux plus.

– S'il te plaît, Jimin ! S'il te plaît ! Juste un peu ! Pas beaucoup de temps ! Je veux juste pas beaucoup !

– Tu ne vois pas que mon corps dégouline de... de ton foutre ?! Comment tu peux en avoir encore ?!

– J... je ne sais pas ! Je veux juste encore une fois ! S'il te plaît ! Une dernière fois ! Laisse moi goûter encore !

Aish... ce gamin arrogant. C'est affreux à quel point la jeunesse est dévastatrice. Il me supplie comme s'il risquait d'en mourir. C'est moi qu'il va tuer si on continue !
Mais devant cette bouille adorable... qui pourrait refuser ?

– Fais comme tu veux, déclarai-je en détournant le regard.

Son visage s'illumine, ses larmes disparaissent et il m'enlace tendrement... en se remettant en moi. Ce n'est pas plus long que Jungkook ou Taehyung. Ça dépasse à peine les quinze centimètres et pourtant c'est vraiment trop large. C'est comme avoir un god proportionné de façon à ne satisfaire qu'un type bien précis de personne.

Épuisé, j'enroule mes bras autour de son cou et l'embrasse tendrement. Ainsi, il se fatiguera plus vite. Kota se remet à bouger rapidement. Nos peaux claquent aqueusement pour raisonner dans la pièce harmonieusement avec mes gémissements. Il est tellement collé à moi que ma poitrine est écrasée contre la sienne et mon ventre a à peine la place de gonfler lors de mes respirations. Mes jambes entourent sa taille avec force pendant que ses bras me serre sans pitié. Si je ne mourrais pas déjà de plaisir, je l'aurai fait d'asphyxie.

Violement, Kota aggripe mes cheveux et les tire vers l'arrière afin de séparer nos deux bouches pour attaquer sauvagement mon cou. Il me mord presqu'au sang, lèche sa marque avant de la remplacer par un suçon puis recommence son opération de multiple fois, me faisant frémir d'une douleur assez supportable pour ne pas me faire le frapper.

Je le sens venir trois fois avant que, à la dernière, il ne tire de long jets ardents dans mon abdomen. On reste à se serrer encore un peu, le temps de redescendre de notre extase et il se retire de moi.

– Satisfait, chéri ?

Il me pousse hâtivement sur le bois, me faisant pousser un cri de douleur, écarte mes jambes en posant ma cuisse gauche sur le meuble et ma jambe droite sur son épaule, avant d'approcher son membre de mon entrée. Je puise dans mes dernières forces pour le stopper de la même façon qu'avant.

– C'est fini, c'est fini, Kota.

– Non ! Encore ! S'il te plaît ! me supplie-t-il en larme.

– J'ai dis non.

Il ne m'écoute pas et s'avance soudainement. Je le gifle avec violence. Il s'arrête, la tête maintenue déviée par mon geste. Ma main me brûle alors je n'imagine même pas sa joue. Le son de mon acte bourdonne dans mes oreilles et je suis à la limite de m'excuser lorsqu'il remet sa tête face à moi, toujours cet air niais et enfantin au visage.

– Jimin... une dernière fois, je t'en prie...

Ses yeux sont remplis de larmes, sa joue rouge, son expression tristounette et sa voix comme pleurante.

– Aish ! C'était tout à l'heure la dernière fois !

– Mais... mais ça n'a pas duré assez longtemps... !

– C'est de ma faute si tu jouis trop vite ?!

– N... non mais c'est ma première fois... et c'est trop bon, je ne peux pas m'en empêcher... !

– Ce n'est pas mon problème. J'ai mal au cul et...

Je sens un liquide froid sortir de mon corps. Merde... il y en a vraiment trop.

– Et mon ventre est plein.

– Au pire... tu peux fermer les yeux ?

– En quoi ça va changer le fait que tu vas me baiser comme un animal ?!

Il baisse la tête, dépité et sanglotant.

– Tu pleures ?

Il acquiesce en mordillant sa lèvre inférieure. Je soupire bruyamment.

– Regarde moi, chéri.

Il le fait mais ne fixant que mes lèvres.

– Dans les yeux, Kota.

Ses petite prunelle se plonge alors dans mon regard.
J'attrape son membre et me mets à le branler énergiquement, appuyant à chaque fois sur le bout lorsqu'il jouit ( il le fait trois fois par minute c'est trop bizarre). Au bout de quelques temps, je le masse plus que le frotte et il ramoli enfin. Il n'a pas quitté une seule fois mon regard, et moi non plus. Je pose un doux baiser sur ses lèvres avant de passer ma main dans ses cheveux puis de la glisser sur sa joue brûlante. Kota me fixe avec conviction, les yeux mi-clos, en haletant comme quelqu'un ayant fait un marathon.

– Tu as fait un bon boulot, chéri. C'était très bien.

Ses yeux se révulsent vers l'arrière et il s'écroule sur moi, me faisant tomber sur le bureau. Il s'endort ainsi après avoir marmonner :

– Jimin, je t'aime trop...

__________________
To be continued...
_________________________________________

*rire machiavélique*
J'ai inventé Kota juste pour ce moment juste magique~
Non mais sérieusement, il est beaucoup trop mignon ! Venez on change le jikook pour un jikota. C'est bien, non ?

Je plaisante, je plaisante... mais en vrai vous devriez rechercher "Kota Miura" sur internet ( à 19 ans ), il est beaucoup trop adorable !
J'ai pensé ( très très brièvement) à le faire en tant qu'alpha mais qu'il ait menti à Jimin sur son second genre. Imaginez la merde que ça aurait fait ! Jimin aurait deux bébé trop adorables ! Un de Jk et l'autre de Kota.

Je plaisante, c'est atroce.
En tout cas j'espère que ce chapitre vous aura plu ^^

Désolé pour le qui ne lisent pas les lemons ㅠ^ㅠ vous n'avez pas eu grand chose à lire...

On se dit à bientôt pour de nouvelles aventures d'Utopie~

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top