| CHAPITRE 1 |
Hello Guys, j'espère que vous allez bien !
De mon côté tout va bien, je suis super contente d'update le premier chapitre de cette fiction ! J'espère qu'il vous plaira !
Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture !
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Debout sur le rebord d'un toit parmi les bâtiments en construction dans un coin calme de la capitale, Jeongguk observe la ville de ses yeux noisette tandis que les lumières se reflètent dans ses pupilles sombres. Il est comme coupé du reste du monde et le brouhaha au loin résonne au creux de ses oreilles comme une faible mélodie qui donne un fond sonore à ce film qu'est sa vie et qui se déroule lentement, vie qui risque de s'achever à chaque seconde qui passe. Le vent vient alors effleurer son visage l'espace d'un instant faisant picoter les blessures qu'il porte sur sa pommette droite et le coin de ses lèvres, mais il ne cille pas, seul l'océan face à lui retient son attention. Océan à la fois sombre et lumineux, Séoul lui rappel le vaste et immense ciel étoilé de part ses nombreuses lumières. Océan infini qu'il voudrait tant rejoindre et alors qu'il ferme ses paupières, les vagues viennent lui murmurer mille et uns secrets qui ravivent ses souvenirs qui défilent peu à peu sous ses yeux une fois qu'il les a ré-ouvert. Colorés et vifs, ils disparaissent peu à peu tandis que le temps s'écoule, Jin hyung disparaît en premier et pourtant ses souvenirs reviennent à chaque fois pour s'envoler de nouveau tandis que les autres s'effacent lentement sous le regard innocent du jeune homme.
Ils disparaissent peu à peu devenant écume, quelques souvenirs mettent du temps à s'en aller, certainement qu'ils sont plus chers aux yeux du bruns que d'autres. Des voix résonnent au loin ou alors est-ce là seulement la mélodie enchanteresse des vagues.
« Jimin hyung ! C'est à mon tour maintenant ! »
« Encore un tour Kookie ! Promis ! »
« Rooh... Ok ! Mais après c'est à moi de faire du vélo ! »
Quelque chose attire plus son attention que tout le reste, un large sourire vient orner ses lèvres alors que lentement, le souvenir se fige dans le temps et qu'un petit clic sonore résonne dans l'espace-temps. Jeongguk referme les yeux et tend la main droit devant lui et lentement autour de lui s'évapore Séoul et ses immenses tours de verres, le brouhaha qui l'habite ainsi que tous les soucis qui se sont entravés sur le chemin du jeune homme. Se dessine alors cette utopie magnifique dont rêve le brun pour apaiser ses souffrances, l'océan qu'il aime tant est juste à porter de main, encore un peu et il l'effleurera de ses doigts. Un pas suffit.
Cet endroit si calme qu'il désire tant se construit peu à peu autour de lui et au soufflement du vent, la forêt derrière lui reprend vie grâce au bruissement de ses multiples feuillages. S'élève alors dans l'air une agréable brise qui vint faire virevolter les mèches vagabondes de sa chevelure, il ne ressent plus aucun picotement sur sa peau, il n'a plus mal nul part et il se sent simplement... Léger.
Face à lui, les vagues chahutent tranquillement et laissent le soleil se refléter à la surface de l'eau créant ainsi un océan étoilé en plein jour, pailleté et brillant de mille feux. Mais rien ne peu égaler à ce moment-là le sourire éclatant de Jeongguk. Ce qu'il désire depuis longtemps est sur le point de se réaliser et pour rien au monde, il voudrait que ce rêve se brise. Le bonheur qu'il souhaite tant est enfin entre ses mains, il ne lui reste qu'un pas à faire pour rejoindre les flots, un seul et unique pas et il pourra rejoindre ses Hyungs.
Vivre calmement avec eux, rester auprès d'eux dans cet endroit si utopique empli de sérénité. Quoi donc espérer de meilleur que de voir son rêve le plus cher se réaliser ? Rester dans cet endroit qu'il aime temps, éternellement sans aucun souci ni prise de tête.
Personne pour me frapper dessus...
Pas de brouhaha incessant... Ni de bâtiments en construction.
Juste... le calme. L'éternel repos.
À cette pensée, un sentiment de bien-être gonfle dans sa poitrine et tout son corps se détend alors que le souffle du vent vient caresser chaque parcelle de sa peau de sa fraîcheur et que le son des vagues l'enveloppe peu à peu. Son sourire s'est élargi et de toutes petites perles salées s'écoulent sur ses joues laiteuses : il y est. Cet endroit qu'il aime tant, il y est enfin. Ses hyungs pourront le rejoindre.
Jin hyung pourra encore prendre des photos, nous serons seuls. Que nous sept. Que nous et personne d'autre pour nous faire du mal... Plus de crises d'angoisse, de comprimés désagréables à prendre, plus de solitude ou de sensation de vide... Plus de père violant. Non, rien de tout cela ne sera ici. Il n'y aura juste que nous et notre bonheur, que nous et nos envies. Plus de tristesse. Nous sept, c'est suffisant. N'est-ce pas ? C'est ce qu'il faut hein ? Juste nous comme avant... On doit rejoindre Hyung. Il nous attend et je l'amènerais ici comme vous...
Rien ne pourrait venir détruire cette euphorie si convoitée, ce monde si parfait, si calme et empli de douceur. Jeongguk le sait pertinemment ou du moins, il essaie d'y croire, croire qu'il pourrait garder ses hyungs auprès de lui et pour toujours, les rendre heureux. Réaliser ce rêve qu'il tient depuis son enfance : rester près de l'océan.
Et il est sur le point de se réaliser, mais alors pourquoi la mélodie des vagues est-elle peu à peu en train d'être remplacée par les débris de son cœur fissuré en mille morceaux ? Pourquoi se sent-il aussi vide qu'une noix de coco lorsqu'on lui frappe dessus ? Lentement, le tic-tac d'une horloge résonne au loin et se fait de plus en plus intense et les engrenages tournent à une allure folle. Il est comme une marionnette, prisonnier de ses rêves. La douleur de ces coups reçut une heure plus tôt le ramène peu à la surface, à la réalité.
Mirages ou miracles. Cauchemars ou rêves.
L'océan aussi calme soit-il ne cache t'il pas ses ténèbres en son entre ? Si la surface aussi calme est-elle, ne cache t'elle pas en réalité une tempête déchaînée en son fond ? Semblant couler davantage dans les profondes abysses qui renferme ses secrets les plus noirs, c'est son reflet qu'il rencontre et il lui sourit, l'autre a le visage déformé par la douleur, la tristesse et l'amertume. Jeongguk est cassé. Son reflet n'est autre que la réalité qui ne cesse de l'attraper. Parce que même endormi, même calme, et même attirant par sa beauté, l'océan ne pourrait en aucun cas apaiser ses souffrances et comme cette réalité qui l'étouffe, il pourrait d'un seul coup faire chavirer la barque, la retourner et noyer ses marins, les attirer en son entre et les consumer à petit feu pour mieux les rendre écume une fois leur corps sans vie. Et ce Jeongguk cassé ne cesse de lui crier que rien ne pourra le sauver, pas même cet océan et cet endroit euphorique qu'il aime tant. Ce Jeongguk brisé n'a pas besoin d'un mirage, il souhaite autre chose.
Mais quoi ?
Soudainement, tout éclate. Le son strident d'une énième notification provenant de son téléphone résonne dans l'air et le sort de sa torpeur. Sa bulle si protectrice dans laquelle il se trouvait s'évapore en un clin d'œil, les mirages s'affaissent et redonnent place à la dure réalité. Cette fois, l'air, vient lui fouetter le visage d'une brise glaciale. Chacun de ses hématomes et chacune de ses blessures semblent lui brûler le corps à de nombreux endroits ; c'est avec agonie qu'il tient faiblement son ventre et fait un pas en arrière pour tomber sur ses fesses contre le sol un peu trop dur à son goût. Le retour à la réalité est d'une brusquerie sans nom. Lentement, il se laisse tomber sur le côté, la respiration saccadée, les larmes dévalant sur ses joues et la mâchoire serrée. Il ouvre doucement les yeux, conscient que sa bulle vient d'éclater autour de lui, et pourtant, il voudrait tant y retourner dans cet océan, attendre les hyungs restant...
Son rêve beau en couleur, agréable et paisible au bord de l'eau vient de se briser en mille morceaux et c'est une toute autre euphorie qui vient l'engloutir en l'emprisonnant dans une nouvelle bulle. Ses angoisses resserrent un peu plus leur emprise sur sa gorge, son ventre qui jusque-là était empli de cette sensation papillonnante se tord de douleur et bientôt le manque d'air dans ses poumons rend l'entièreté de son corps semblable à un brasier. La tristesse qui dévale sur ses joues est telle un torrent dont les gouttes élargissent cette bulle dans laquelle il est à présent enfermé. Cette bulle - qui jusqu'à présent était une libération à toutes ses souffrances - est maintenant devenue sa prison. Lentement, tout s'extirpe une seconde fois et Séoul refait son apparition face au jeune homme. Le calme règne là où il se trouve même s'il est évident qu'au loin c'est toute une cacophonie de rire, de klaxon et de bruit urbain qui résonne au cœur de la ville et dans chacun de ses quartiers. Seulement, à l'intérieur, c'est la tempête qui règne et doucement le film que sont ses mauvais souvenirs se déclenche dans sa tête créant ainsi une dissonance assourdissante devenant ensuite un brouillard de pensées désordonnées .
Recroquevillé sur lui-même, Jeongguk prend sa tête entre ses mains et ferme ses yeux au maximum, il laisse toute sa rage sortir du plus profond de son être. Et comme si ses cris prenaient tout à coups vie, une silhouette se dessine sous son nez et se tient à quelques pas de lui. L'individu le toise du regard l'espace de quelques secondes alors qu'un doux sourire vient poindre sur ses jolies lèvres rosées. Il dégage à la fois quelque chose de rassurant et d'effrayant : contrairement à Jeongguk, il est en meilleur état que lui et il a l'air plus serein, aucun cerne colorie le dessous de ses yeux, aucune griffe - sauf sa cicatrice à la joue - gribouille son visage pas même un hématome ou du sang séché. L'éclat pétillant de ses pupilles lui donne un air innocent et rieur et ses quelques mèches rebelles qui virevoltent au gré du vent le rendent enfantin. On pourrait croire que ce Jeongguk n'a jamais porté de lourd fardeau sur ses frêles épaules d'adolescent, il est si calme et dégage une telle bonhomie que l'on se laisserait berner. Pourtant, Jeongguk les voit, ses pensées qui fourmillent autour de son double tel un bouclier. Ce n'est qu'une illusion comme les nombreuses qu'il s'est faite, ce n'est que son subconscient qui tente une nouvelle fois de le faire tomber.
- Viens. Murmure t'il en lui tendant la main en gardant son sourire aux lèvres. Je peux t'aider moi.
Jeongguk le regarde d'un air méfiant, il aimerait bien retrouver toute cette joie qui orne le visage de son double. Retrouver sa vivacité et toute l'énergie dont il faisait preuve il y a quelque temps. Ce sourire, c'était le sien et chaque fois qu'il l'offrait à ses hyungs ils retrouvaient leur bonne humeur. Il avait ce dont d'égayer les autres même dans les pires situations grâce à son innocence et son énergie débordante et contagieuse.
- Pourquoi ? Répondit-il sur un même ton de voix. En quoi pourrais tu m'aider... ?
- Je suis la cause de toute cette euphorie, souffla le double. Ce rêve que tu souhaites tant réaliser laisse-le éclore Jeongguk. Tu sais bien qu'en un clin d'œil il peut se réaliser...
Le jeune homme fixa son double et fronça les sourcils. Il disait vrai, un seul pas et rapidement, il se voyait plonger dans ce qu'il aimait tant. Mais pourtant, cette proposition ne l'enchanta guère. Ce Jeongguk avait beau sourire de ses jolies dents - lui donnant un air adorable de petit lapin - il n'était pas serein en sa présence. Et pourtant, il s'agissait de lui-même. Sans bouger d'un poil, il l'observe s'avancer vers lui et lentement l'autre s'abaisse à sa hauteur et glisse ses lèvres vers son oreille en même temps que sa main caresse les cheveux soyeux de son vis-à-vis. Un seul murmure et son sang se glace et que des milliers de frissons viennent parcourir son échine.
- Alors Gguki ? Tu décides quoi... ?
- Je...
- Prends cette main que je te tends. N'aie pas peur.
Cette fois, c'est le temps qui semble se stopper, il n'y a plus que Jeongguk et Jeongguk. Les pupilles du noiraud tremblent légèrement lorsqu'il se rend compte que le sourire si juvénile de l'autre s'est évanoui. Il ne ressemble plus qu'à une étrange et effrayante ombre, les pensées négatives et souvenirs douloureux du jeune homme lui bouffent en parti le visage. L'angoisse recommence à le ronger de l'intérieur tandis que l'ombre se rapproche un peu plus de son hôte et raffermit ses caresses dans ses cheveux.
- Tu n'as pas besoin des autres pour plonger Jeongguk... Souffle l'ombre d'un air calme mais enjoué. Tu es assez grand. Ne pense qu'à toi et oublie ces hyungs qui t'ont abandonnés. Pourquoi ne sont-ils pas avec toi là maintenant alors que tu vas mal ? Pourquoi pense-tu à les ramener dans ton monde, ton rêve ? Pourquoi vouloir les aider alors qu'ils ne le font pas en retour pour toi... ?
Jeongguk tressaillit et la peur coule lentement dans ses veines alors que les larmes se remettent à glisser sur ses joues. Comme mis à nu par le regard exécrable mais insistant que lui lance son double, il ne parvint à sortir aucun mot. Ni à bouger. Il est comme prisonnier de lui-même alors que les paroles de l'ombre défilent avec folie dans ses pensées. Et même s'il ne parvient pas à réfléchir correctement, il sait exactement qu'il ne doit pas l'écouter, ne pas tomber dans son piège. Ce rêve, cette utopie, il souhaite l'atteindre rapidement, mais pas de cette manière, pas en chutant dans la folie, mais bien de son plein gré.
Se recroquevillant encore plus sur lui-même, il laisse cet être maléfique faire ce qu'il veut, il ne s'en préoccupe plus à présent : il tente de faire le vide dans sa tête en gardant les yeux fermés et en essayant de se calmer. Il lui faut de bonnes minutes pour replonger dans sa bulle, mais il y parvient : aucun bruit ne l'atteint alors qu'il sait pertinemment que l'autre murmure toujours dans son coin pour le ramener dans sa folie. Il le sent tenter de perforer à nouveau sa bulle pour s'emparer de tout son être et décider à sa place.
Cette fois, ce n'est pas une bulle qui le coupe de la réalité, ses blessures le font toujours souffrir, mais il garde les idées lucides. Son cœur retrouve ses battements normaux, calme. Du revers de la main, il essuie ses larmes et renifle un coup avant de fouiller dans sa poche pour en sortir son téléphone. Deux notifications lui indiquent qu'il a reçu deux messages. Au moment ou - tremblotant - il veut déverrouiller l'écran, une troisième sonnerie retenti faisant une nouvelle fois éclater la bulle et un troisième message apparaît. Ses pupilles s'écarquillent au maximum alors qu'il se redresse d'un coup s'arrachant par la même occasion un cri d'agonie.
Hyung grincheux ♥ :
| Tu sais ce que j'aime chez toi Gguki ? Ta tenacité. J'aurais aimé l'avoir moi aussi.
20h30.
| Je n'ai pas encore pu te remercier pour toutes ces fois où tu m'as sauvé alors... je le fais maintenant. Je ne suis pas adepte des paragraphes alors merci p'tit frère. Je crois que ce soir c'en est trop, j'ai assez vécu pour continuer ce calvaire. Pardonne-moi.
20h47
| Adieu. Sois fort. Ps: j'aurais aimé te revoir une dernière fois.
21h00.
En même temps, qu'il lit les messages, un sanglot traverse la barrière de ses lèvres et suivent alors une multitude de flots ravageant son visage enfantin. La panique se lit dans ses iris alors qu'une étrange sensation le prend à la gorge. Ses pensées filent à toutes vitesses et de manière claire dans sa tête et sans chercher à comprendre davantage, il se relève sur un genou puis sur ses pieds et se remet sur pied en un clin d'œil. Il balaye d'un coup l'ombre de sa main et essaie d'ignorer le tiraillement que causent ses blessures récentes.
- N'y vas pas ! Crache t-elle en tendant la main vers lui alors qu'elle disparaît. Reviens !
- Non ! C'est à moi de les sauver !!
Une vérité si évidente : si ses aînés ne sont pas là pour l'aider, c'est qu'eux-mêmes sont en train de souffrir quelque part.
Un seul objectif court dans ses pensées alors qu'il passe la porte du toit et qu'il dévale les escaliers menant au dernier étage et manquant par maladresse de tomber. Sans trop savoir d'où lui vient cette puissante adrénaline, il se jette dans la cage d'ascenseur et appuie férocement sur le bouton du rez-de-chaussée alors qu'il essuie rageusement de nouvelles larmes. Dans sa tête, les trois messages qui lui sont destinés tournent en boucle, ces messages auxquels il n'a pas pu répondre plutôt alors qu'il était plongé, concentré dans cette euphorie à la fois bénéfique et malsaine.
Sortant en trombe du bâtiment, boitant légèrement, Jeongguk presse le pas en focalisant son regard sur l'écran de son téléphone alors qu'il tente désespérément de trouver le numéro de son hyung grincheux. L'appel est lancé alors qu'il court comme il peut à cause de sa hanche qui lui fait mal, malheureusement personne ne décroche. Comme pour se motiver à aller plus vite, il murmure sans cesse le prénom de son ami sans vérifier où il met les pieds. Un autre numéro est composé, mais au moment même où il appuie sur la petite icône vert, un bruit assourdissant l'oblige à relever la tête.
Et dans ses sombres prunelles, vient se refléter l'éclat aveuglant des phares du véhicule qui lui fonce dessus à toute allure. Et tandis que tout devient sombre autour de lui, les lumières de la voiture lui rappellent une dernière fois les flammes dans lesquelles est certainement en train de se faire consumer ce hyung qu'il aime tant.
Hyung... c'est plutôt à moi de te demander pardon... Au final, je ne suis pas aussi tenace que tu ne le penses...
Vous m'avez initié et je suis qui je suis grâce à vous... je ferais tout pour le rendre.
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ღ EUPHORIA ღ
Voilà le premier chapitre ! J'espère qu'il vous a plu ! Qu'est-ce que vous en avez pensé ? Je me suis aidé de Euphoria pour ceux qui n'ont pas compris ! J'aime tellement cette chanson et ce qu'elle signifie ! :') Je suis tombée de haut en apprenant il y a quelques jours qu'elle parlait de suicide... J'avais pas compris que le MV de Euphoria bah... c'était pas un montage d vidéo pour accompagner la chanson mais que c'était bel et bien ce qu'elle évoquait... Je croyais que ça parlait d'amour... <.<" En tout cas, je l'aime encore plus maintenant !!
Ce chapitre permet de mettre en place les pensées de Jeongguk et ce qu'il souhaitait faire. C'est une sorte de transition qui va amener la vraie histoire au prochain chapitre ! J'ai hâte de l'écrire hehe !
Sur ce, je vous dis à bientôt !
Dongbaek.
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