Je me suis réveillée dans le bruit, des gens papillonnaient autour de moi, j'étais allongée par terre. J'ai ouvert les yeux et ai vu tout le monde autour de moi.

Un homme en tenue du pompier était penché au dessus de moi : " Danila, est-ce que vous m'entendez ?"

Je le regarde de travers : " J'suis pas sourde, pourquoi je suis par terre ?"

Il m'aide à m'assoir, je me dégage : " Vous avez fait un malaise."

Je pris appui sur mes jambes pour me lever : " Merci, je vais bien."

Je titubais à nouveau et manquais de tomber une deuxième fois, mais le pompier m'a rattrapée d'un air pas très convaincu : " Vraiment ?"

Je grogne tandis qu'il m'aide à me relever, je prends appui sur son bras, j'entends des filles crier. Ah, mais c'est super, parce qu'en plus y a des fans ?

Oui, visiblement.

Je leur adresse un sourire, j'en vois certaines qui pleuraient sourire en voyant que j'allais bien. Je fais un signe de main et Gilinsky se précipite pour me soutenir quand le pompier me lâche. Malheureusement, Samuel est plus rapide, dommage, Gilinsky ricane et nous laisse. Les bras de Sam me soutiennent au niveau de la hanche et je suis forcée de passer mon bras derrière sa nuque.

Fait chier.

Peut-être faut-il que je vous explique ? J'essaye de mettre de la distance entre lui et moi, de un parce que c'est trop chaud, de deux il m'a mise en cloque. Alors oui, je suis une pute, une salope, une Marie-couche-toi-là, une catin, une fille facile, tout ce que vous voulez, mais j'ai pas fait un bébé toute seule. J'en veux pas de ce gosse, encore moins de tous les problèmes qu'il va m'apporter. J'avais toujours pensé que si je tombais enceinte à partir de 16 ans je garderais le bébé, je savais ce que ça représentait puisque la grande sœur de Guillaume a déjà eu deux enfants, les "affreux" comme il les appelle. Mais là, c'est totalement différent, je suis une "star", comme on dit, j'ai des putain d'opportunités, alors je ne vais pas toutes les gâcher pour un lardon qui va rester scotché à ma hanche plusieurs années, pour qui je vais me saigner aux quatre veines afin de lui assurer une belle vie malgré les factures qui s'entassent dans un coin de mon appartement miteux du fin fond des USA.
Non, j'en veux pas les mecs.

Dès que je sens que ça va mieux, on est déjà arrivés à un bus. Notre petite troupe était restée bien calme, et je trouve que ça fait un peu beaucoup trop de calme en une journée.
Sam m'aide à monter dans le bus, je le remercie simplement et pars m'assoir au fond.

Ce con ne lâche pas l'affaire et me suit, il s'assoit à côté de moi, je recommence à l'ignorer et je sors mon portable, je remarque que j'ai le numéro de Luke dans ma coque d'IPhone. Je l'enregistre, le bus démarre.

TO Luke : 

"Dani la plus belle."

FROM Luke : 

"Luke le plus beau."

"On est faits pour être ensemble la miss ;) "

TO Luke : 

"Reste tranquille"

FROM Luke : 

"Nope, t'es à moi askip"

TO Luke : 

"T'as cru toi"

FROM Luke : 

"C'est le journal il la dit"

TO Luke : 

"Balekouille frère"

FROM Luke : 

"Thug"

TO Luke : 

" tu kiffes ;)"

FROM Luke : 

" grave "

Je ricane et verrouille mon téléphone, Sam me le prend des mains.

Il fait quoi lui, il veut mourir aujourd'hui ou non ?

Je le fusille du regard : " Tu veux quoi toi ?"

Il paraît surpris : " Qu'est-ce qu'il t'arrive ? "

Je grogne : " Un crétin m'a carotte mon téléphone."

Il arque un sourcil : " Sans déconner ? Où il est que je lui défonce sa race ?"

Je tente vainement d'attraper mon iPhone alors qu'il relève le bras : " Dans ton cul, donne moi ça."

J'arrête tout mouvement et plante mon regard dans le sien : " Tout de suite."

Hayes se retourne : " Vu le ton qu'elle emploie et la tête qu'elle fait, tu ferais mieux de le lui rendre avant qu'elle ne t'arrache la tête avec le siège qui est devant toi."

Je le fusille lui aussi du regard : " De quoi j'me mêle, Grier ?"

Nash proteste : " Eh, du calme !"

Cam lui met une calbot : " C'est pas à toi qu'elle parle du con !"

Grier n'1 acquiesce : " Ah, ok, désolé."

Grincheux en remet une couche : " Quoi désolé ? C'est elle qui supporte rien, elle a pas à gueuler, c'est tout."

Marina lui conseille de se taire, mais il insiste et elle le pince : " Shawn, tu la ferme."

Il se lève et me toise : " Non je la ferme pas, elle elle va se la fermer. Elle n'a pas à parler comme ça, c'est pas la reine ici, merde."

Je me lève à mon tour : " Qu'est-ce que tu veux toi ?"

Il me regarde bien de travers : " Baisse d'un ton avec moi."

Je le fixe, neutre, avant de prendre un ton ironique : " Oh, j'y suis, t'es frustré du fait que j'ai refusé de coucher avec toi hier, c'est ça ? Mon pauvre chéri."

Je vois sa colère monter encore et encore, j'imagine ses poings qui se serrent, alors je le pousse à bout : " Ben quoi ? Tu vas me mettre un autre coup ? Allez, vas-y, frappe moi !"

Parce qu'au fond, j'attends que ça.
Je me sens importante.
J'en ai besoin.
Je le déteste.
Je-- C'est..
Bizarre.

On se défie du regard, le bus s'arrête devant l'hôtel mais personne ne bouge. Samuel prend les devants : " Et si on descendait maintenant ? "

J'ai pris un ton doux en faisant glisser vicieusement vers lui : " Et si tu me rendais mon putain de téléphone maintenant ?"

Il me regarda bizarrement avant de me tendre l'iPhone. Je lui fis un sourire des plus hypocrites : " Merci, Samuel."

Tout le monde descendit, je ne fis pas exception.

I'm sick inside, without a sense or feelings.

J'avais cette chanson qui me trottait dans la tête. Un peu en rapport avec le moment présent, sauf que je n'étais pas tout à fait dans le contexte puisque mon taux d'alcoolémie dans le sang était de zéro.

On me tape dans l'épaule : " Ça va meuf ?"

Est-ce qu'il est sérieux ?

Je me tourne vers Grincheux, les autres montaient déjà dans les ascenseurs. Je le fusille du regard, il ricane : " Qu'est-ce qu'il t'arrive ?"

Jésus.

Je le regarde méchamment dans les yeux : " Attends, t'as vu comme tu m'as parlé dans le bus ou quoi ?"

Il hausse les épaules avec un ghdoqd de sourire agréable : " On s'en fout de ça, t'es rancunière quand même."

Je sens mes yeux s'écarquiller : " Non, mais tu plaisantes ?"

Il me prend dans ses bras : " Oh ça va, fait pas la gueule."

Je le pousse violemment : " Mais, ohh !"

Je pousse un soupir énervé, il éclate de rire : " C'est tellement drôle quand t'es véner."

Je tente de lui mettre un coup de poing ( qu'il arrêta avec sa main ) : " Va te faite foutre !"

Il me tient les poignets, toujours en riant : " C'est toi que je vais mettre, tu vas voir."

J'ai fait les gros yeux : " Pardon ?!"

Il rigole, j'ai envie de rire mais je réprime le rictus qui tente de s'afficher sur mon visage : " Va.. Oh, et puis merde, lâche moi les mains mec."

Il me regarde en souriant avant de me lâcher pour poser ses mains de chaque côtés de mon visage et de m'embrasser.
Sur le front.

MEC, TU VEUX QUOI EXACTEMENT ? NON MAIS QJGKDLZBSNWM IL RIGOLE OU ÇA SE PASSE COMMENT ? Je vais lui fracasser sa grande race de maçon.

Je le fusille du regard : " Allez putain nique ta race."

Il commença : " Avec pl--"

Je le coupe en lui roulant une pelle, qu'il relève. Classe. Il prend le dessus sur le baiser, glissant sa main gauche dans mon dos et la droite derrière ma nuque. Je lui mis un coup de poing sur le torse, il me mordit la lèvre et je grognais. Je passais mes mains sur son torse, il ricana puis je lui coinçais la langue entre mes dents.

- Vous vous foutez de ma gueule ?

Je sursaute, on se sépare avant de regarder Bart devant les ascenseurs : " Vous montez de suite."

On se regarde avant de mpfrrer d'un coup, Bart monte dans un ascenseur et remonte. Grincheux et moi nous regardons, je hausse un sourcil : " J'ai soif. Pas toi ?"

Il sourit, rentrant dans mon jeu : "Je sais où on peut trouver de quoi se désaltérer."

Je glousse et saisis la main qu'il me tend, on part en courant vers je ne sais où dans des recoins de l'hôtel, on entre en mode ninjas dans la réserve où il n'y a personne.

Je chope une bouteille de Tequila, une de jus de fruit quelconque et Shawn des chips et du saucisson. Je vous promet, du saucisson.

Il est où le message subliminal ?

On se barre de la réserve avec nos victuailles et on prend les escaliers jusqu'au dernier étage. Je cherche une suite inoccupée ( il y a des sortes de cartes à côté de chaque porte, indiquant si c'est loué ou pas ) et tends mon chargement à Shawn qui fait le guet.
Je retire une pince plate de mes cheveux et arrache le plastique tenant le bouchon au goulot de la bouteille de jus d'orange. En deux coups, c'était fini.

Ils sont cons d'avoir mis des serrures aux suites et pas des pass à cartes comme pour nos chambres.

On rentre et je ferme la porte qui se verrouilla derrière nous, je replace ma pince sur ma tête et visite la suite en riant. Je l'entends poser les trucs sur la table et je sors de la gigantesque salle de bains.
Je saute sur le lit, rebondis et redescends en sautant à nouveau, je m'approche de Grincheux et ouvre la Tequila avant de lui lancer un regard de défi. Je commence à boire un peu de la bouteille avant de la lui tendre, il boit un peu et je pars chercher des verres.

Deux placards et je chopais deux grands verres pour faire des mélanges. Grands verres pour alcool fort, ça va mal finir et j'ai assez hâte.

On boit en se chamaillant, on mélange le jus de fruit avec la Tequila, on mord dans le saucisson tour à tour en torpillant le paquet de chips. Ça fait je sais pas combien de temps que nous sommes la, mais on rigole bien et on est au bout du jus de fruit. On a tout bouffé et il ne reste une petite misère de Tequila qu'on partage. Je me mets à péter le mini bar, malheureusement vide.

Pas cons les mecs.

Je vais voir s'il y a de l'eau et du gaz, et oui.

J'ai rien dit, en fait.

Je m'assois sur le plan de travail en regardant profondément Shawn : " Mec."

Il lève les yeux vers moi : " Tu vas pas dégueuler j'espère ?"

Je rigole et indique la boîte en métallique dans sa poche : " T'as de quoi fumer ?"

Il sourit : " Ah ouais c'est vrai !"

On rit, il sort deux énormes joints et un briquet, me tend un joint et allume les deux qu'on fume à la terrasse. Ouais, gars, y a une putain de baie vitrée avec une terrasse de malade, on s'est posés la. Je sais pas pourquoi je suis en culotte et lui sans t-shirt, j'en sais rien ne me demandez pas pourquoi.

On termine notre beuh, complètement pétés, il rigole pas quand il roule, puis on rentre en refermant la baie vitrée. Je retire mon pull et Shawn son pantalon, je ricane : " Oh là là, c'est tellement cool, pourquoi Bart il nous réserve pas ce genre de suites ? "

Il hausse les épaules, je m'assois sur le plan de travail et lui fais signe. Ses yeux sont noirs, je sens un truc bizarre monter en moi.

C'est chaud.

https://youtu.be/VYTk8aLNR3w

Genre, la c'est pas qu'une expression. Je lui fais à nouveau signe pour qu'il s'approche, je sens des fourmillements dans mon ventre. Son visage est fermé depuis qu'on est rentrés, il a l'air sévère et méchant.

Et j'aime ça putain.

Il se poste devant moi et pose ses mains sur mes cuisses : " Merde, j'te jure que t'es putain de déroutante."

On frappa à la porte : " Monsieur Steel ? Vous êtes dans cette chambre ?"

Grincheux grogna : " J'en ai marre qu'on soit tout le temps dérangés."

La femme qui avait frappé à la porte changea de porte et nous laissa tranquille.

Ma respiration s'alourdit, un blanc s'était installé entre Shawn et moi : " Bordel, j'ai envie de toi."

Son regard vrille le mien, sa main avance vers mon entrejambe, un sourire mesquin scotché aux lèvres : " Maintenant ?"

Mon dieu, sa voix, ses yeux, son corps, lui.

Je me mordis la lèvre, avant de lui donner une réponse impérative : " Tout de suite."

ATTENTION LEMON
( nda : le premier/ la première qui dit "ah ben enfin" gnagnagna je lui casse la palette humérale )

Le passage de sa main sur ma peau me causait des putains de frissons, des décharges électriques. Il approcha son corps du mien, déposant une ligne de baisers enflammés sur mon cou, ma clavicule, ma poitrine, faisant des allers-retours, ses lèvres, sa langue sur ma peau tandis que sa main s'introduisait dans mon intimité. Je développais mon cou, m'accrochant à ses cheveux, il grogna dans mon oreille.

- Salope.

Je frissonnais presque, sentant que je venais : " Baise moi merde."

Il retira sa main de ma culotte et me porta : " Putain mais ouais, carrément."

J'enroulais mes jambes autour de sa taille, il me jeta sur le lit je tâtonnais dans le tiroir pour chercher des capotes. Dieu bénisse l'Amérique. J'en escampais une à Shawn qui venait de retirer son pantalon, je retirais mon t-shirt avant de me redresser à genoux. J'ai appuyé sur les hautes épaules de Shawn qui s'est assis. Je me suis mise face à lui et l'ai poussé sur le dos, il se retrouva allongé avec un regard curieux de savoir ce que j'allais bien pouvoir lui faire. Je souris avant de me mettre face à son bassin, je passais mes doigts dans l'élastique de son boxer pas mal ( gsdlqjk seigneur jésus ) bombé avant de le retirer. J'introduis son membre gorgé dans ma bouche, faisant des vas et viens, y mettant la langue, la retirant, etc.
J'vous explique pas comment on taille une pipe svp.

Il s'accrochait aux draps, luttant pour ne pas trop soulever son bassin, gémissant de plus en plus fréquemment. Il eut un soupir rauque : " Bouge, je viens."

J'eus à peine le temps de me retirer qu'il relâcha à côté de moi. Il se redressa, haletant : " Bordel de merde, où t'as appris à faire ça aussi bien ?"

Je ricanais simplement : " Je suis française."

Il rit, m'embrassant, on était bien la. Défoncés, bourrés, en train de baiser. Il m'attrapa et me fit basculer sous son corps : " On va voir si je te satisfais autant."

Il passa sur chacun de mes sweet spots, me faisant soupirer. Il arrivait à ma hanche droite, le pire.
Enfin le meilleur. Vous m'avez compris.

Il fit le chemin inverse en tirant sur le bord de ma culotte, frôlant du nez ma poitrine et plaqua sa bouche contre mon oreille : " Si tu permets, ça me gêne. Mais si tu permets pas, c'est pareil."

Je gloussais et l'aidais à retirer mes sous-vêtements. Il enfila le préservatif et entra en moi, accompagnant nos parties basses dans leur danse endiablée.
Puis enfin, un énième coup de bassin ancré au creux de mes hanches et je m'abandonnais à lui. Nos cris s'étaient mêlés, je me foutais de savoir si on nous entendait dans une suite qui était occupée à proximité, ou même n'importe où ailleurs.

Il s'était retiré avec un léger rire, on était allongés l'un à côté de l'autre, reprenant notre respiration. Je roulais sur le ventre en attrapant un putain de fou rire, Shawn me regarda : " Et ben ?"

Je mpfffrr et articule : " J'sais pas, j'sais pas."

Puis je me mis à chantonner un air niais : " We don't have to be ordinary, make your best mistakes, cause we don't have the time to be sorry.."

- Baby be the life of the party-y" Compléta t'il, en souriant " Je savais pas que tu connaissais les paroles."

Je le regardais, choquée : " Ah mais c'est de toi ?"

J'ai mpfrré, sans comprendre il a ri à son tour. On a continué de rire, puis on s'est habillés rapidos et il m'a bien matée avant de me proposer : " Tu veux pas qu'on se mette ensemble ?"

Je le regarde en terminant d'agrafer mon soutien-gorge et éclate de rire : " Arrête tes conneries."

Il sourit : " Je suis sérieux, j'étais sérieux hier soir aussi."

Je le regarde enfiler son pantalon et ricane : " Tu veux qu'on déclenche la fin du monde ou ça se passe comment ? "

Il rit et reboutonne son pantalon en me regardant enfiler mon t-shirt : " Ça peut être drôle... Et puis on vient de coucher ensemble non ?"

Je le regarde avec tout mon sérieux et m'approche doucement de lui. Je laisse un petit sourire tordu s'installer sur mon visage et le pousse en arrière sur le lit. Je lui grimpais au dessus, à quatre pattes : " Shawn, le fait qu'on ai baisé ça veut pas dire qu'on va finir notre vie ensemble mon chéri."

J'ai pas envie de me faire tabasser toute ma vie. Même si t'es un bon coup.

Il a eu un sourire mesquin et m'a attrapée par les poignets en me retournant sous lui : " C'est dommage, on aurait plus l'occasion de faire ça."

Il enfouit sa tête dans mon cou en mordillant ma peau, je rigolais, il me chatouilla avec son nez. Je riais beaucoup trop, ça me faisait mal aux abdos, il ricane contre mon cou : " J'ai trouvé comment te chatouiller sans que tu ne me frappes."

11: 57 pm.

On a fini le dernier joint de Shawn, on a encore soif et il commence à avoir un peu faim, alors on redescend chercher de quoi se satisfaire. On retourne en mode furtif dans la réserve, je prends une bouteille de Jack Daniels et une de jus de pomme, Shawn prend une bouteille de Vodka. Il attrape des chips.
J'aperçois une porte derrière des cartons, Shawn m'attrape la main et ouvre la porte.

Visiblement, c'est une chambre froide, trop cool.

Je glousse ( tel un dindon, on l'aura compris ) et attrape du jambon tandis que Shawn boit une gorgée de Vodka. J'entends quelqu'un arriver et on se planque, un homme rentre, clairement véner, il attrape une cagette pleine et repart en claquant la porte après avoir grommelé.
Shawn rigole et m'aide à me relever, on pars vers la porte, main dans la main et il pousse la poignée de la porte qui ne bouge pas.

Je ricane : " Eh beh ?"

Son sourire s'efface.

Oh non.

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Sinon, Shawn il portubaise.

Revenons à nos moutons urlistes.
Mdr Dasha coincés dans la chambre froide peuchère 

Et pour le ship de Taylor et Ethan, vous voulez voter ? Si c'est le cas, je vous laisse jusqu'à la prochaine partie que je posterai :) On m'en a proposé quelques-uns, sinon j'avais pensé aux numéros 2 & 5.

1. Etanor.

2. Taythan.3. Etlor.4. Ethay.5. Tayan.

Voilà j'vous aime fort, bisous sur vos fesses. ♥
Lucie.
xx