«Moi: "Maman? Pourquoi les gens sont méchants avec moi?

Maman: "De quoi tu parles?"

Moi: "Bah... À l'école, ils sont tous méchants avec moi.

Elle rigola et afficha un sourire de psycopathe.

Maman: "C'est normal que personne ne t'aime ! Parce que personne ne t'aimeras. Jamais !  Tu n'es qu'une erreur ! Ma mère avait raison quand elle m'a dit de me méfier de ton père !"

J'allait commencer à pleurer mais elle me tira par les cheveux et m'amena à la cave.

Moi: "Maman?"

Elle me foutu une claque, j'avais les larmes aux yeux.

Elle ovrit la porte, me poussa à l'intérieur et entra.

Et là... Elle m'avait frapper toute la nuit, avant de m'enfermer.

J'avais hurlé en espérant que quelqu'un vienne m'aider ou qu'elle arrête, mais rien ne c'est passé.»

Je marchais toujours dans les rues de Trofors, les écouteurs dans les oreilles.

Le ciel était magnifique, on peut dire que c'est un magnifique couché de soleil.

Marcher c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour me liberer de ma mère, de ma famille qui la plus part est aussi du côté de ma mère, surtout ma grand-mère, de mes amis. De toutes ces personnes qui me veuillent du mal.

J'en ai marre de tout ça. Je veux pouvoir vivre normalement, comme les autres...

Les filles dans les vestiaires se moquaient de tous les hématomes que j'avait sur la peau, j'ai donc commencé à me changer avant la sonnerie, comme ça personne ne risquait de voir mon corps. Ce corps sans vie, plein de cicatrices du passé et  d'aujourd'hui.

??: CLAUDIA!"

Je retira mes écouteurs à l'entente de mon prénom et me retourna, mais peut-être que je n'auras pas dû me retourner.

Maman: VIENS ICI TOUT DE SUITE!"

Elle était folle de rage.

Elle traversa la rue et je me mis à courir.

J'ai pas peur d'elle, mais j'ai pas non plus envie de revivre l'enfer qu'elle me fait vivre tous les soirs.

Quand elle rentre de ses voyages, principalement le soir, elle vient me chercher dans ma chambre et m'amene à la cave. C'est sur moi qu'elle défoule sa colère. Je suis son jouet...

Je regarda par dessus mon épaule et me cogna contre quelqu'un. J'allais tomber mais la personne me rattrapa par la taille.

Moi: "Martinus?"

Maman: "CLAUDIA!"

Je me redressa et regarda ma mère courir vers nous.

(-C: elle va faire genre d'être inquiéte.)

Moi: "Viens!"

J'attrapa la main à Martinus et on se mit à courir.

*

On s'arrêta devant un park.

Je possa mes mains sur mes genoux, éssouflée de cette course.

Martinus: "Ça vas?"

Je releva la tête.

Moi: "Oui, t'inquiéte."

Je me redressa.

Martinus: "Elle va pas tarder. Viens!"

Il me prit la main.

Moi: "On va où?"

Il s'approcha de moi, toujours en tenat ma main.

Martinus: "Dans ma cachette."

Il me fit un clin d'oeil et je rigola.

Moi: "Cachette?"

Martinus: "Oui, maintenant on y va parce qu'elle est là."

On se remit à courir.

*

Moi: "C'est ça ta cachette?"

Martinus: "Ouais. On avait construit cette cabane avec mon frère quand on était petits."

Je me plaça devant la petite fenêtre.

Martinus mit ses mains autour de ma taille, me faisant ainsi sursauter et plaça sa tête sur mon épaule.

Martinus: "Ça vas toi?"

Je baissa la tête.

Il me retourna face à lui et me releva la tête.

Martinus: "Je veux pas que tu sois triste."

Je lui souris faiblement et il me prit dans ses bras.

Je plaça ma tête dans son cou.

Il sent trop bon!!!

Martinus: "Alors? Je sens bon?"

Je rigola et on se détacha.

Moi: "Peut-être..."

Martinus: "Je sais que je sens bon, c'est évident."

Moi: "Ah oui?"

Martinus: "Bah oui. Je suis Martinus Gunnarsen, le plus beau. Je suis pas n'importe qui."

Je rigola.

Moi: "Et moi je suis Claudia Gomez, la... Laisse tomber."

Martinus: "Non! Dis... Je suis Claudia Gomez, la fille la plus discrète, la plus belle, la... La meilleure!!"

Je plongea mon regard dans ses magnifiques yeux bruns.

Moi: "Euh... Je... Je... Ferais peut-être mieux de rentrer..."

Martinus: "Non!! Marcus veut que tu viennes et... Moi aussi, je veux que tu viennes. "

Moi: "D'accord... Mais vos parents? Ils vont jamais accepté que je viennes chez vous sans que ma mère soit au courant."

Martinus: "Mais..."

Il fut couper par une sonnerie de téléphone.

Martinus: "Allô? Oui... Quoi?... Ok... Je lui dis, oui... Bye..."

Il raccrocha.

Martinus: "C'est ta mère..."

Moi: "Elle est a quoi encore?"

Martinus: "Elle vient d'avoir un accident et... Elle est entre la vie et la mort."

(-C: yeeeeeeeees!!!)

Moi: "Et bah... Elle a qu'à partir, elle risque pas de me manquer."

Martinus: "Pourquoi t'es comme ça avec ta mère?"

Moi: "Comme ça comment?"

Martinus: "Genre méchante... Je sais pas mais..."

Moi: "T'entends ce que tu dis? Tu sais pas de quoi tu parles! "

Je sortis de cette cabanne et me mis à marcher, ou plutôt à courir, pour éviter que Martinus m'attrape.

Je sais... Je suis parfois peut-être dure dans ce que je dis... Mais pourquoi c'est toujours tout de ma faute?

Je reçus des messages.

*

*
Attend quoi? Elle se prend pour qui celle-là ? C'est pas ma mère! En plus, elle me dit que l'autre elle m'aime! C'est une blague?

(-C: c'est quoi ce genre de grand-mère ?
-Moi: je sais pas...
-C: je vais la tuer cette veille!)

*

Êtes-vous sûr de vouloir bloquer ce contact?

Oui                       Non

*

J'appuya sur oui.

Si elle croit que je vais avoir de la peine pour ce monstre, elle se trompe! Ça ne me fais ni chaud, ni froid!

Je reçu un appel.

*
Moi: "Allô?"

??: "Oui? Bonjour."

Moi: "Bonjour."

??: "C'est l'hôpital *******. On vous appelle pour vous signaler que votre mère, Madame Katherine Gomez, est à l'hôpital, suite à un accident de voiture."

Moi: "Écoutez... Elle est à l'hôpital, ok, mais là je peux pas venir. Je suis prise dans les bouchons."

??: "D'accord. Comptes-vous passer?"

Moi: "Je sais pas..."

??: "Très bien, dans ce cas, au revoir."

Moi: "Au revoir."

*

Je sais... Ça se fait pas de mentir, mais j'allais pas lui que je voulais pas savoir. Ça serait bizarre, non?

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Dites-moi ce que vous pensez de l'histoire s'il vous plaît.

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