Cauchemar
- Dis Temari, tu nous écoute?
- Hmm.
Les vacances étaient finit et la rentrée avait sonné au plus grand malheur de Temari et ses amies, après une première journée qui les avaient bousculer de toutes les mauvaises habitudes qu'elles avaient prises, elles rentraient ensembles en dégustant des viennoiseries tout en discutant, mais Temari ne prenait pas part, elle était épuisée de se brutal retour à la réalité, bien plus que ses amies ne pouvaient l'imaginer,en effet les deux derniers jours de vacances de Temari avaient été riches en émotions fortes, d'abord sa tante qui a pété un câble et a claqué la porte, et Hidan qui rentrait de plus en plus bourré, tellement que la nuit précédente Temari s'était barricadé pour ne pas qu'il lui fasse du mal.
Les filles s'étaient séparé, mais Tenten s'était retourner vers Temari et l'avait pris dans ses bras, se voulant rassurante pour la blonde.
- Temari, n'oublie jamais que je serais toujours là pour toi, s'il t'arrive quelque chose n'hésite pas!
Elle ne répondit pas et se laissa faire pas son amie, celle-ci en voyant la réponse inexistante de la No Sabaku se détacha d'elle et la salua avant de prendre le chemin de chez elle, sans prendre la peine de s'assurer que personne ne l'avait vu prendre cette route, seule la fatigue la guidait, elle priait pour que son cher oncle d'adoption ne soit pas présent.
La disparition de Yashamaru l'avais énormément frustré, la petite blonde commençait même a penser qu'il aimait sa tante plus qu'il ne le laisse paraître.
Temari entre dans l'appartement, soulagement, Hidan n'était pas présent, elle entra paisiblement dans la cuisine et s'empara d'un paquet de gâteaux et d'un verre du jus d'orange qu'elle emmena dans sa chambre, la blonde était heureuse que sa tante pense toujours a faire les courses malgré la vie merdique qu'elle menait, mais maintenant qu'elle n'est plus là, qui s'en occupera?
Un goûter plus tard elle s'affale sur son lit qui ne manqua pas de grincer en subissant le poids de sa propriétaire, Temari repensait aux paroles de Tenten, la colère d'Hidan, le départ de Yashamaru, et la solitude qui l'a pénétrait petit a petit par les failles que son cœur se permettait d'avoir, après une bonne dizaine de minutes avec les yeux fermés elle trouva le sommeil et y sombra.
Une petite fille a quatres couettes habillée d'un robe d'un blanc immaculé était la seule chose visible dans l'obscurité, le corps léger que Temari avait l'impression de possédé s'en approchait, puis a la hauteur de l'enfant, elle remarqua que celle-ci sanglotait, elle ne l'a pas vue seulement entendu car le visage de l'enfant lui était caché. Temari se voulant rassurante, posa sa main sur son épaule, l'enfant tourna sa tête, elle avait le visage en sang et pleurait. Temari se relève apeuré, c'était elle, elle recule et tombe a peu près la hauteur du premier étage d'un immeuble, une main est tendu devant elle, c'est Tenten qui répétait qu'elle serait toujours là avec une cicatrice horrible du coin de la bouche a sa tempe, Temari se relève et cours pour fuir cette vision d'horreur, mais une main la rattrape c'était Hidan qui riait aux éclats. Il l'a tirait vers lui et brandit son point en l'air près a frappé, mais la blonde sentait un objet dans sa main, un revolver, alors elle tire sur son assaillent qui fut dès lors couvert de pétales de fleurs qui le dissolvait pour laisser peu a peu, place a Yashamaru, se fût le corps de l'adulte qui tomba aux sol, inerte, les cris de Temari se firent entendre dans l'espace sombre qui semblait clos, elle se recroqueville sur elle même en pleurs. Jusqu'à se qu'une main se pose sur sa tête, le corps avait disparu et Shikamaru était au contraire apparus sans crié gare et avait pris la blonde dans ses bras, les allant tour s'illumine d'un blanc velours, les larmes lui montent tellement elle était ému par ce geste, mais cette sensation de chaleur fut interrompu par la vision au loin de ses parents et ses frères qui l'épiaient en murmurant des choses inaudibles pour la blonde, tout se qu'elle remarquait, c'était les yeux dont le sang coulait abondamment.
Temari hurla et se réveilla en sursaut, le cœur battant a toutes vitesse, le ciel commençait à se coucher, sont premier réflexe face a cet horrible cauchemar néanmoins révélateur fût de prendre un petit papier plié pour protéger la précieuse chose qui était a l'intérieur, sa lame de taille crayon, Temari s'assoit sur le sol, devant le miroir a pied de la chambre. Avant de trancher sa chair elle prend le temps de contempler les larges cicatrices sur son poignet bien entamé, pour la plupart elles avaient bien cicatrisé, le résultat la dégoûte, avec son index elle les touches, le relief que ça avait créé lui donne des frissons, si seulement elle pouvait se les faire tranché, ses deux bras, pour que plus jamais elle ne puisse toucher a une lame.
Mais le vide en elle est bien plus fort que cette envie d'arrêter, alors elle tranche sa chair, sans pitié pour son pauvre corps, et pour elle ne sait quelle raison, elle ferme les yeux, pour ne pas voir le chaos qu'elle crée sur son bras. Elle pense a son avenir, et si elle arrêtait, est-ce qu'elle pourrait vivre avec se dégoût d'elle même ? Est-ce que c'est réellement possible ? Et si, elle n'avait pas d'avenir ? Et si, elle, mourait ? Rejoindre ses frères, c'est se qu'elle désire le plus, mais elle n'y arrive pas! Quelques chose l'en empêcher, mais un jour cette chose la laissera, et elle pourra mourir sans regret. Un large sourire se dessine sur son visage, oui, c'est sa qu'elle souhaite, que cette chose la lâche pour qu'elle meure, sans regrets.
Elle souffle un bon coup, et rouvre ses yeux, puis elle contemple ses nouvelles blessures, finalement elle banda ses poignets. Depuis le temps qu'elle se coupe, elle s'est habitué a la douleur et la vue du sang ne la dérange plus.
Elle ne déversait même plus de larmes, s'était devenu naturel, de se couper, de se faire mal uniquement pour ressentir autre chose que ce dégoût d'elle même, elle se haïssait, la haine, mêler a l'amertume et la répulsion créait ce mélange aussi démoniaque que dangereux qui lui fait subir l'oppression de plus en plus lourde, grandissent au même rythme que les jours qui s'écoulent douloureusement. Temari se demandait encore plus qu'avant pourquoi est-ce qu'elle restait toujours vivante, alors qu'à l'intérieur elle était morte, tout aussi morte que sa famille, le bruit de la porte d'entrée s'était fait entendre, il était rentré, après un claquement de porte ont pu entendre des cris.
- Yamaki! Sors de ta piaule si tu veux pas que je défonce cette putain de porte !!! Dis il en tambourinant sur le morceau de faux bois
Elle se lève en vitesse, non sans trembler de peur, mais elle fut surprise de voir que malgré le ton agressif qu'avait ses avertissement il souriait amicalement, comme un enfant heureux, il alla jusqu'au salon suivis de Temari, il ouvrit un sac a bandoulière pausé sur le divan et en sortis des drogues dures qu'ils tendit a l'adolescente toujours son sourire au visage. Le tableau, déjà choquant le devena encore plus quand le violet y ajouta des mots.
- À partir de maintenant tu vas dealer dans ton lycée.
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Je suis de retour les gens, ainsi les publications reprendrons, je n'aime pas trop ce chapitre, je préfère le suivant, et vous?
À la prochaine bande de dinde!
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