Helllooo!

N'hésitez pas à commenter à chaque paragraphe.

Cela ne me dérange absolument pas et j'aime vraiment lire vos commentaires!

En espérant que vous allez aimer!

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Il se pencha pour m'embrasser et je lui retournais avec passion sa demande.

Ses mains effleurèrent mes hanches qui étaient maintenant  à découvert,  et ce contact me procura des frissons inimaginables.

Alec descendit sa tête dans mon cou et le parsema lentement de baisers. Il s'arrêta un moment pour en aspirer doucement la peau :

-Mon Dieu... lâchais-je sous l'émotion intense qui me traversait.

Je sentis le sourire d'Alec dans mon cou alors qu'il murmurait:

-Oui je suis bien ton Dieu.

Je lâchai un rire :

-Idiot...

Mais mon rire se mua rapidement en un gémissement étouffé lorsqu'il mordit avec lenteur le lobe de mon oreille en ne cessant de caresser mon bas-ventre.

Plus il continuait, plus je resserais mon emprise sur ses cheveux blonds comme pour m'empêcher de me noyer dans cet océan de sensations inédites.

J'imitais alors Alec en l'embrassant le long de son cou et il grogna légèrement me tirant ainsi un sourire de contentement.

L'échange s'intensifia et l'air devint subitement suffocant.

L'air frais du pays ne suffit plus à calmer la chaleur de nos corps et bientôt l'envie d'enlever nos vêtements s'installa.

Je tirai impatiemment sur le bas de la chemise d'Alec et il sembla un instant attendre mon entière approbation du regard.

J'hochais imperceptiblement la tête et il déboutonna sa chemise.

Sa chemise tomba et je pus voir le torse d'Alec.

Celui-ci était finement ciselé et je traçais du doigt avec admiration les contours de ces muscles.

Il émit un sifflement me laissant croire qu'il aimait ce contact et j'esquissai un sourire.

Je continuai mon exploration, fascinée par la perfection presque inhumaine de son corps, alors que les yeux bleus d'Alec s'assombrissaient.

Je remarquai alors qu'il portait une chaîne en or, au bout duquel se tenait un pendentif.

Je n'avais jamais remarqué ce collier mais je pus l'observer plus longtemps lorsque Alec se mit à caresser avec plus d'insistance le bas de mon ventre.

Il voulut alors enlever mon haut mais il lâcha un rire:

-Je ne peux pas m'empêcher de penser que ton panda nous regarde depuis tout à l'heure. Je me sentirais presque mal.

Je ris alors qu'il passait mon haut par-dessus ma tête.

Je me trouvais bientôt en simple soutien-gorge devant Alec

.

Les yeux d'Alec parcoururent avec lenteur le haut de mon corps,en s'attardant  sur ma poitrine que j'estimais comme quasi-inexistante.

-Tu es magnifique Elena, murmura Alec en se penchant de nouveau.

Je m'apprêtais à protester mais ses lèvres se posèrent sur les miennes,  m'ôtant toute capacité à réfléchir.

Ses lèvres descendirent lentement et tombérent sur les courbes de mes seins.

Une explosion de sensations éclata dans mon ventre.

Bientôt ce furent le reste de nos vêtements qui s'emprèsserent de laisser libre cours à nos envies.

Et nos corps s'unirent bientôt de la plus intime façon qu'il soit.

***

Ma tête était posée sur le torse d'Alec.

Nous étions étroitement enlacés dans le lit et chacun de nous se remémorait les instants précédents.

Un sourire idiot me vint bientôt aux lèvres tandis que les doigts d'Alec traçaient lentement des cercles sur les miennes.

-C'était... déclara Alec d'une voix rauque.

-Oui, répondis-je le sourire aux lèvres.

Mes yeux se promenèrent sur la fenêtre de la chambre.

La lune était ronde et pleine cette nuit-là et semblait complice de nos étreintes passés.

Je levai alors la tête pour voir qu'Alec fixait lui aussi la fenêtre en souriant.

Mes yeux descendirent sur la chaîne que j'avais aperçu plus tôt.

Il s'agissait d'une simple chaîne en or avec un  petit pendentif doré rond.

Je l'effleurai des doigts et m'étonnais de ne jamais l'avoir vu auparavant.

En même temps,  elle était assez fine et devait être dissimulée par les habits d'Alec.

-Elle appartenait à ma mère,  chuchota Alec.

Je levai la tête pour voir que ses yeux avaient quitté la fenêtre pour se poser sur moi et la chaîne en question.

J'hochais la tête en sachant que la mère d'Alec était un sujet épineux.

Un bref silence s'installa durant lequel Alec ressera son étreinte sur moi en me plaquant davantage sur son buste, tout en me caressant les cheveux.

-Alec, qu'est-il arrivé à ta mère? demandais-je avec douceur.

Ses mains cessèrent de caresser mes cheveux et je le sentis se raidir.

Je regrettai instantanément ma question et m'apprêtai à m'excuser mais il commença:

-Ma mère est morte quand j'avais huit ans.

Je gardais le silence l'incitant à se confier:

-Mes parents se sont mariés par intérêt. Leur allianceétait  purememt arrangée.

Je demeurais légèrement surprise quant à cette nouvelle:

Mes parents s'étaient mariés par amour et je trouvais inconcevable l'idée que cela ne puisse pas être le cas des parents d'Alec.

Ce dernier continua après avoir émis un soupir:

-Mon père tenait l'empire Harding de par mon grand-père et ma mère était la timide fille d'une grande famille. Leur union était donc inévitable pour l'intérêt des deux familles.

Leur mariage a été malheureusement catastrophique. J'ai su par Rosie qu'ils ne se parlaient jamais hormis à de rares occasions. Et encore.

Le tout début de leur ménage n'était pas si mal,  du moins si on voulait.

Mais la naissance d'Annabelle a été un tournant dans leur union. Mon père reprochait à ma mère son incapacité à lui donner un fils pour hériter et de là  une ambiance glaciale s'était installée dans la maison et mes parents ne cessaient de se disputer à tout bout de champ.

Lorsque que je suis né 12 ans plus tard  tard,  on aurait pu croire que cela aurait arrangé les choses mais au contraire tout allait de mal en pis.

Il s'arrêta un instant et reprit:

-J'ai grandi en ne comprenant pas pourquoi mes parents ne se parlaient jamais. Ils faisaient chambre à part et s'évitaient. Plus je grandissais, plus je remarquais qu'ils se disputaient. Ma mère reprochait à mon père les nombreuses allés et venus de nombreuses autres femmes.

Il serra les poings :

-Mon père trompait ouvertement ma mère et cela la meurtrissait. Ma mère essayait de me laisser à l'écart de tout cela en m'assurant que tout allait bien et elle gardait la tête haute.

Lors de soirées, j'entendais souvent des moqueries à l'égard de ma "cocue" de mère, dit-il sombrement, que je ne comprenais pas sur le moment.

A mes 5 ans une énorme dispute a éclaté.  J'ai compris plus tard, grâce aux employés que mon père avait eu un enfant avec une autre femme et qu'il l'élèvait depuis plusieurs années derrière son dos.

Ma mère était furieuse et pleurait toutes les larmes de son corps mais mon père n'en avait cure et la traitait de "comédienne en manque d'attention."

Ma mère vivait de plus en plus mal la situation.

Il caressa le haut de ma tête puis il déposa un baiser au sommet de celle-ci

-Je me suis toujours demandé pourquoi elle ne divorcait pas,  pourquoi elle ne partait pas du joug tyrannique de mon père.

J'ai su plus tard que mon père refusait le divorce pour ne pas altérer sa réputation.

Que dirait-on si le grand Aaron Harding était incapable de garder sa femme?  ricana-t-il amèrement.

-Il menaçait ma mère de ne plus jamais voir ses enfants en cas de divorce.

Donc elle est restée.  Pour nous. Enfin surtout pour moi. Annabelle avait été envoyé depuis toute petite dans un pensionnat et elle ne revenait que très rarement à la maison. 

Ma mère était enfermée dans une prison dorée et elle ne pouvait en sortir.

Elle essayait de sauver les apparences mais tous les soirs lorsque mon père était "occupé" je l'entendais pleurer dans sa chambre. Elle était tout pour moi.  Elle était toujours là pour moi.  Et je suppose que j'étais sa seule raison de rester.

J'adorais ma mère. Elle était une des seules personnes en qui j'avais pleinement confiance.

Il soupira avant de déglutir:

-Un jour, une énorme autre dispute a éclaté.Celle qui a été la goutte d'eau qui a fait débordé le vase j'imagine:

Ma mère avait eu une brève liaison avec un des employés. Elle en était amoureuse et mon père était furieux. Non pas parce qu'elle était avec un autre homme mais parce qu'elle le trompait avec une personne de "classe inférieure".

Mon père a immédiatement vire l'employé en question.

Et c'est vraiment là que ma mère  a craqué.

Elle a fini par devenir profondément dépressive.  Elle a fini par ne plus vouloir se nourrir et Rosie devait la forcer. Mais elle gardait toujours le sourire, juste pour moi.

Elle est un jour tombée malade. Une simple grippe en apparence.

Ma mère avait toujours eu une santé fragile, mais la situation et ses problèmes ont aggravé son état.

Il garda le silence et murmura si bas que je dus redoubler d'attention pour l'entendre:

-Un mois. Elle est restée un mois au lit, à essayer de survivre.  Mais c'était beaucoup trop tard. La maladie la rongeait petit à petit. 

Je lui rendais visite tous les jours.Après mes cours particuliers du matin,  j'allai dans sa chambre et elle me parlait de tout.

Sa voix s'adoucit à ce moment-là:

-Du monde. Des fleurs qu'elle aurait aimé planté.  Des vêtements qu'elle aurait aimé acheté pour moi.

Il reprit alors d'une voix dure:

-En un mois mon père n'a jamais daigné visité ma mère. Hormis une fois pour me demander de sortir de la chambre car  "il ne manquerait plus que moi aussi je tombe malade à cause de son numéro."

Quelques jours avant sa mort,  Annabelle est revenue en urgence de son pensionnat.

Je suppose que j'aurais dû me douter que quelque chose allait vraiment mal,  mais j'étais tellement content de voir ma soeur. Puis j'imagine qu'à 8 ans, on est con.

Annabelle m'avait pris dans ses bras en silence après avoir vu ma mère en privé et m'avait dit "Qu'il fallait que je sois courageux"

Plus tard ma mère m'a appelé dans sa chambre.  Elle m'a raconté qu'elle m'aimait et que j'étais son petit garçon à elle, le plus beau du monde.Elle m'a dit qu'elle était fière de moi et que je serais toujours le plus beau et le plus adorable des garçons.

Il rit légèrement à cet instant et ses mains effleurèrent la chaîne:

-Puis elle m'a donné cette chaîne. En disant que comme ça elle serait toujours là. A veiller sur son beau petit garçon.

Sa voix s'altèra quand il prononça ces derniers mots:

-Quelques heures plus tard, elle était morte.

Une semaine plus tard, on l'enterrait

Mon père n'était même pas présent durant tout l'enterrement. Il s'est absenté au milieu car il avait soi-disant une affaire à conclure à Tokyo.

Et moi je venais de comprendre que j'étais maintenant orphelin de mère.

Un long silence s'installa.

Je me mordais la lèvre inférieure confrontée à un torrent d'émotions

Dans ma tête, je ne pouvais m'empêcher d'imaginer un petit garçon de 8 ans à peine, aux cheveux blonds et aux yeux bleus encore innocents, , qui voyait sa mère mourir.

Les mots d'Alec prirent alors tout leur sens:

le père d'Alec n'avait pas tué sa mère au sens propre,  avec un couteau ou une arme quelconque.

Non c'était bien pire que ça. 

Le père d'Alec s'était attaqué, à cause de son indifférence et de sa froideur inhumaines,  à la fierté et à l'âme de sa femme,  la "tuant" ainsi à petit feu.

Quel genre de personne un tant soit peu normal,  pouvait faire preuve d'autant de cruauté?

J'avais soudainement éprouvé une bouffée de haine à l'égard du père d'Alec bien que je ne l'aie jamais rencontré.

Et moi qui ne comprenais pas pourquoi Alec détestait son père.

C'était amplement justifié. Bien que triste.

Je resserais mon étreinte sur Alec et celui-ci fit de même.

-Je suis désolée Alec. Je suis sûre qu'elle est fière de toi là où elle est, murmurais-je.

Je sentis le sourire d'Alec sur le haut de ma tête alors qu'il l'embrassait une énième fois

-Ouais j'imagine.

Je lui serrai la main et de nouveau un silence s'installa.

Je traçais des petits cercles sur le torse d'Alec en ne pouvant m'empêcher de penser qu'il était quelqu'un aux innombrables facettes.

Les doigts d'Alec se promenèrent doucement dans mes cheveux.

-J'adore tes cheveux,  ils sont vraiment sublimes , murmura-t-il.

Je levai la tête  pour voir s'il plaisantait. Mais il semblait sérieux.

-C'est un crime de les attacher Ele. Tu devrais les lâcher plus souvent,continua-t-il en promenant toujours sa main dans ma chevelure dénouée suite à nos ébats passés.

Je touchais alors mes cheveux. 

Je n'y avais jamais prêté vraiment attention.

Je les attachais tout le temps et c'était rare que je les dénouais entièrement.

Alec les trouvaient donc beaux?

Un sourire bête me vint aux lèvres et je levai la tête vers Alec en me mettant sur le ventre.

Celui-ci me regardait en souriant:

-Moi, j'adore tes yeux, murmurais-je en tendant ma main vers ces derniers.

Alec avait des yeux vraiment magnifiques.

D'un profond bleu azur et qui dissimulaient de nombreuses facettes inavouables.

Je caressai doucement le haut des sourcils d'Alec et  il ferma les yeux lorsque j'effleurai ses paupières.

Il les rouvrit et me regarda en souriant:

-Tu aimes mes yeux?

-C'est ce que je préfère chez toi, répondis-je en souriant pleinement.

-Tu ne préfères même pas Mini-moi avec qui tu as fait connaissance plus tôt?  chuchota-t-il espiègle.

-Alec!

-Tu le disais ou -plutôt gémissais- autrement et beaucoup plus agréablement plutôt, dit-il en haussant les sourcils d'un air suggestif.

Je le frappai une énième fois alors qu'il lâcha un rire.

Il dévoila ses dents blanches et déclara:

-Mes yeux sont beaux alors?

-Oui tu as de la chance. Les miens sont juste d'un marron crotte,  grimacais-je.

-Moi j'aurais dit marron chocolat, souffla Alec. Un délicieux marron chocolat

Une bouffée de joie m'envahit soudainement.

Alec avait toujours les mots pour me parler.

-C'est ça que j'apprécie aussi chez toi Alec: avec toi j'ai l'impression d'être unique, répondis-je en posant mon menton dans ma main tout en ne cessant d'observer Alec.

-Mais tu es unique.

Je m'apprêtais à sourire à ces paroles mais il continua:

-Aucune autre fille n'est aussi chiante et enmerdeuse que toi, dit-il espiègle.

-Idiot, répondis-je en frappant son torse.

Il stoppa mes mains qui se défoulaient sur son torse et il me prit par les hanches de sorte à ce qu'il se trouvat bientôt au - dessus de moi.

-Oui, mais je suis ton idiot.

Il se pencha pour m'embrasser et reprit :

- Et toi tu es mon enmerdeuse.

- Tu m'énerves Harding.

- Je sais Ele.

Un court silence s'installa durant lequel Alec en profita pour m'embrasser le cou.

-Tu devrais t'en aller, dis-je en me retirant à grande-peine de son étreinte, il va faire jour dans quelques heures.

Il hocha la tête et sortit du lit dans le plus simple appareil.

Il étira longuement ses muscles en poussant un cri guttural.

Je ne pus m'empêcher de contempler son anatomie quasi-impeccable.

- Ça va? Tu mates bien? dit Alec moqueur en tournant sa tête vers moi.

Mes joues s'empourprèrent lorsque je me fis surprendre.

-Tu n'as qu'à mettre un tee-shirt, marmonnais - je. Et un pantalon aussi.

- Et te priver de la vue de mon magnifique corps d'athlète? répondit - il l'air toujours aussi arrogant en roulant ses muscles. Je ne suis pas aussi égoïste,  dit-il en tournant sur lui-même

-Alec va mettre quelque chose! 

-Bon bon j'ai compris. Mais tu l’auras voulu.

Il mit son tee-shirt et enfila son pantalon de la veille en me jetant un regard narquois.

Je mis les couvertures autour de moi, ne pouvant me résoudre à galoper nue à travers la chambre et mit à mon tour mes vêtements, sous le regard moqueur d'Alec. 

Je partis vers la porte et l'ouvris discrètement:

-Maintenant file avant que quelqu'un nous voit, chuchotais-je.

Alec leva les yeux au ciel mais s'avança pour partir.

Mais au dernier moment,  il se pencha vers moi et m'embrassa délicatement:

-Merci Elena,  murmura Alec la voix pleine d'émotions.

Et avant que je ne puisse lui demander de quoi il voulait parler,  il était déjà parti.

Je refermai la porte et retournai dans mon lit.

Je me remémorais la nuit passée et un sourire me vint aux lèvres aux souvenirs de nos étreintes.

Mon sourire se fana lorsque me vint également en mémoire les confidences troublantes d'Alec.

Enfin je m'endormis pour les quelques heures restantes.

***

Je me réveillais alors que l'alarme de mon réveil vibrait.

Je l'éteignis  puis allait dans la salle de bain.

Je pus remarquer l'état de mes cheveux, vestiges de ma nuit passée avec Alec.

Je promenais mes doigts sur mes lèvres encore gonflés de plaisir et je souris.

Je me rafraîchissais rapidement et me peignai.

Je m'apprêtais à faire ma queue de cheval habituelle,  mais y renonça au dernier moment.

"Tes cheveux sont sublimes. Tu devrais les lâcher plus souvent"

Les paroles d'Alec me revenèrent et je pris la décision de les lâcher simplement.

Je secouai la tête et me regardai pour voir de quoi j'avais l'air, les cheveux dénoués.

Je me trouvais presque jolie ainsi.

Je sortis de ma chambre fin prête, ravie, et descendit à la salle de réception où se tenait le petit déjeuner.

Je repérais rapidement la chambre où étaient les autres ainsi qu'Alec et m'en approchai le sourire aux lèvres.

-Bonjour! m'exclamais-je joyeuse.

Ayana, Harry et Damon me répondirent aimablement mais je vis Ethan et Cory ainsi que Cassidy s'échanger un regard.

Puis je sentis leurs regards insistants  sur mon cou et avant que je puisse leur demander ce qu'il se passait, Ethan s'exclama alors:

-J'avais raison! dit-il avec arrogance en tendant sa main vers Cory qui lui donna un billet ainsi que vers Cassidy.

-Ça ne veut rien dire! protesta Cassidy. Ils ne sont peut-être pas allés jusqu'à la!

Je mis ma main sur mon cou pour voir ce qui avait provoqué leur réaction.

Et je sentis sous ma main une légère douleur.

Un suçon.

Je regardais soudainement Alec:

-Putain Alec, tu étais obligé de leur dire?!

-Mais j'ai rien dit moi! protesta-t-il.

-C'est vrai. Le concert que vous nous avait fourni hier nous a amplement suffit,  répondit Ethan en souriant diaboliquement. Maintenant passe moi l'argent, dit-il à l'encontre de Cassidy qui  s'exécuta en gromellant.

Je me rappelais soudainement qu'il  partageait la chambre contigue à la mienne.

Je vais l'étrangler...

-Alors c'est vrai? Et bien tu es moins coincée que tu en as l'air, déclara Cassidy à mon encontre.

-J'en reviens pas.  Vous avez parié sur le fait de savoir si nous avions ou non passé la nuit ensemble? demandais-je stupéfaite.

Les trois fautifs se regardèrent et Ethan s'exclama:

-C'est exactement ça!

Je soupirai puis m'assis non sans me sentir profondément embarrassée.

Ayana me regarda avec un petit sourire, compatissante, puis s'exclama:

-Tu es très jolie aujourd'hui Elena!

-C'est vrai,  tu as l'air... différente, renchérit Harry.

Je les remerciai ravie et je perçus le regard complice d'Alec qui affichait un sourire triomphant.

Ethan s'exclama alors sans complexe à table:

-Et toi qui me disais que tu venais juste lui rendre visite! s'écria - t - il à l'égard d'Alec.

Je croisai le regard d'Alec qui haussait les épaules et me regarda une once de malice dans le regard.

-Disons que ma visite s'est prolongée:

-Alors petite Elena, Alec mérite-t-il sa réputation au lit?

Je crachais soudainement le thé que j'avais commencé à boire.

-Je te demande pardon?

-Bah oui, moi je veux des détails!  s'exclama Ethan.

Je vis alors que toute la tablée me regardait.

-Et toi tu dis rien? m'exclamais-je à l'égard d'Alec.

-Eh je te signale que je suis moi aussi victime.

Je retournais mon attention envers le reste de la tablée:

-Bande de pervers.

-Dit celle qui s'est envoyé en l'air, ironisa Cassidy.

Je m'apprêtais à lui répliquer violemment mais le professeur intervint dans la salle pour nous informer du programme de la journée.

Dès qu'il fut parti, chacun se prépara pour la visite du jour.

Ethan ne put s'empêcher de me taquiner à propos de mes "folles nuits" et c'est sans que je m'en rende compte que le reste de la semaine passa.

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Voilà!

Alors que pensez vous de ce chapitre?

N'hésitez pas  dire s'il vous a déplu!

En particulier de

-De la nuit d'Alec et Elena?

-Des confidences et du passé d'Alec?

Petit indice: les confidences d'Alec contiennent des éléments importants pour la suite de l'histoire!  Surtout un qui sera le précurseur de nouveaux ennuis ;) Je ne vous en dis pas plus!

L'histoire n'est pas encore fini.

En fait j'ai plein d'idées en tête pour bien foutre le bordel. ^^

J'ai un peu peur de me louper mais j'essaierai de ne pas vous décevoir.

Je sais que vous êtes nombreuses à écrire des histoires!

J'aimerais vraiment toutes les lires mais j'en ai pas forcément le temps :/

Vous avez peut être du voir mon nouveau livre intitulé "Vos histoires".

Comme le titre l'indique, ce livre est dédié à vos histoires.

Vous commentez votre livre en suivant les indications données selon le genre de votre livre.

Il y plusieurs parties comme Romances,  Bad-Boy etc... et vous devez commentez votre livre selon son genre (vous suivez? )

Vous n'êtes pas obligé de commentez que votre livre, vous pouvez aussi commentez un livre que vous avez beaucoup aimé!

Bref n'hésitez pas à poser vos questions!

Je vous remercie vivement pour les plus de 467k de vues!

C'est vraiment incroyable!

Oh un dernier petit truc:

si vous avez des problèmes personnels, sachez que je vous écouterais avec plaisir en MP

Je vous aime bandes de babouins vert pomme.

PS: je suis ravie de vous dire que cette fiction Unique est traduite! 

un grand merci à @juju-horan28 qui m'a proposé de traduire la fiction!  Si vous avez envie de la lire en anglais,  n'hésitez pas!