Chapitre 3. À nous le concours.
PDV SEIJURO:
Moi: ils sont proches ?
Daiki: bah ils sont voisin de table et de maison alors ça les a rapproché je pense.
Moi: de toute façon cet histoire de faux couple ne pouvait pas durée éternellement, je compte y mettre fin.
Daiki: ah bon pourquoi ?
Moi : regardes les.
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Je les ai pointé.
Daiki: et tu crois vraiment qu'ils s'aiment sans se l'avouer ?
Moi : on va vite être fixé.
Daiki: Qu'est-ce que tu v...
J'ai attrapé le bras de Yuko pour la faire pivoter vers moi et y déposer mes lèvres sur les siennes.
Yuko: Mais Seijuro ça va pas ?! Qu'est-ce qui te prend tout un coup ?
Akabane a détourné ses yeux sur le coté opposé au notre.
Avant, ça ne la dérangeait pas que je l'embrasse, elle m'aimait. Mais je crois que ses anciens sentiments pour moi ne sont plus existant. Se qu'on ressentait l'un pour l'autre n'est plus réciproque.
Moi: Au moins maintenant je suis fixé.
Yuko: De quoi tu parles ?
Moi: Tu finiras par le comprendre, mais notre couple ne tient plus.
Yuko: A-attend, pourquoi ?
Karma: De quoi il parle ?
Yuko: je t'explique demain.
Karma: D'accord.
J'était retourné au coté d'Aomine.
Daiki: Ils sont aveugle ma parole ?
Moi: En effet, c'est dommage, je trouvais qu'il allait bien ensemble.
PDV YUKO:
Je suis rentré chez en compagnie de mon père, les deux autres nous avaient quitter en cour de route, Karma avait d'après lui certaine chose à faire avant de rentrer chez lui.
Le lendemain j'ai retrouvé Karma.
Karma: Bon, tu m'expliques ?
Moi: Oui, je te l'ai promis, je ne vais pas revenir sur ma parole. J'ai depuis maintenant quelques années des accrochages avec mes parents, depuis le jours où ils ont découvert que j'étais quelque peu différentes des autres. Pour eux je ne suis "qu'un monstre", je ne peux être blessé mortellement. Mais pour avoir la paix, il fallait de l'influence et heureusement les Akashi en ont, en me mettant avec lui, mes parents me laisseraient tranquille. Tout ça devait déboucher sur un mariage une fois l'age adulte atteint.
Karma: Mais tu l'aimes au moins ?
Moi: Je l'aimais.
Oui avant je l'aimais énormément, je ne pouvais pas me passer de lui, mais c'est vrai que depuis quelque temps, je ne ressent plus la même chose pour lui.
Karma: Je suis pas sur d'avoir tout compris, mais en un mot tu ne peux pas mourir, t'es aussi un Koro-sensei ?!
Moi: Si je peux mourir d'une maladie, de vieillesse par exemple, c'est jusque que ma régénération est très rapide je dirais.
Karma: T'es un X-Men ?
Moi: Mais arrête un peu de sérieux ! Tu es la seule personne à qui j'en parle sans y être vraiment forcé.
Karma: Désolé, comment tu l'as découvert ?
Moi: C'est en me coupant avec un couteau de cuisine que je n'en suis rendu compte, mais bien sur au début j'ai cru à un coup de chance.
Karma: Tu veux dire que ça se referme comme ça en claquant des doigts ?
Moi: Oui, si tu ne me crois pas, je peux te faire une démonstration.
Il n'a pas eu le temps de donner une quelque conque réponse que j'avais déjà saisie mon ciseau pour m'entailler le dos de la main qui se referma aussi tôt.
Karma: Pas besoin de ça. On a un poulpe en tant que que prof alors pourquoi pas un élève X-Men !
Je ne pus m'empêcher de sourire à sa façon légère de prendre les choses, si seulement tout le monde pouvait être comme lui, enfin sauf pour son coté détraqué.
On est allé en cours comme tout les jours, on essaye d'assassiner Koro-sensei mais rien n'y fait on y arrive toujours pas, il est d'un tout autre niveau.
Le jour de examen du deuxième trimestre est arrivé. On est descendu pour aller dans le bâtiment principal où se passait l'examen. La salle dans laquelle l'on se trouvait était des plus silencieuse, seul le son des aiguilles de l'horloge murale résonné.
Fin des examens.
Moi: enfin ! C'est autre chose, le niveau est pas du tout le même qu'à Teiko.
Karma: Déjà fatiguée ?
Son sourire était des plus sournois.
Moi: Te fou pas de moi.
?: Karma ça fait longtemps
Karma: pas assez pour moi Asano.
Un gars de notre âge avec des cheveux oranges bizarre est venu vers nous.
Moi: Et c'est ?
Karma: un gars sans importance.
Moi: Encore un qui te ressemble.
Karma et Gakushu : PAS DU TOUT !
À l'unisson c'est pas mal, peut-être un futur couple homosexuel.
Karma: oublie cette idée tout de suite Yuko.
Moi: mais j'ai rien dit.
Karma: justement c'est ça qui fait...
Le jumeaux de Karma l'a coupé dans sa phrase.
Gakushu: Et elle c'est ta copine ? Je pleins cette pauvre fille non seulement d'être avec toi, mais en plus de se retrouver avec des gens de votre espèce, elle mériterait bien mieux. Enfin ce n'est pas difficile de savoir pourquoi tu es avec elle, si elle veut pas c'est son choix, ça sert à rien de forcer.
Il se prend pour qui, pour insinuer se genre de chose celui là ?!
Moi: t'es peut-être le jumeau de Karma, mais t'es un belle abruti, j'ai jamais vue quelqu'un d'aussi arrogant que toi ! Et puis Karma et moi on est pas ensemble.
Gakushu: si vous êtes pas ensemble, j'ai toute mes chances alors.
Karma: À mon avis tu as perdu d'avance, elle est déjà avec quelqu'un, un membre de la famille Akashi.
Gakushu: la famille Akashi est très connue mais mon père a trouvé leur fils Seijuro Akashi très impolie.
Moi: Sei a toujours été comme ça !
J'ai pouffé de rire, ça lui ressemble bien.
Gakushu: Sei ?
Moi: Seijuro si tu préfères.
Gakushu: tu le connais bien ?
Moi: on peut dire ça, je le connais grâce à mon frère, ils font du basket ensemble.
Karma: Yuko, il faut y allé.
Moi: D'accord, d'accord.
Un peu avant d'arrivé devant le bâtiment.
Moi: t'abuses j'étais en train de me faire un pote là.
Karma: tu es désespérante.
De retour dans notre salle de classe, Koro-sensei allait nous annoncer quelque chose.
Koro: À propos du concours pour gagner le voyage on sait enfin en quoi il consiste.
Nous étions tous suspendu au lèvre de notre professeur.
Koro: Il consiste à faire une chasse à l'homme.
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