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À chaque fois que j'y repense, c'etait inévitable, 
Chaque nuit, en mon sommeil, je pense à une seule âme. 
À chaque goutte de pluie tombant, j'espère, 
Un brève échappatoire pour apaiser mes yeux larmoyants
Apathique, perdu le goût du rire, sourire m'attriste, 
éclat de joie factice n'est qu'ombre qui persiste. 
À ces instants je prends conscience du pourquoi je craignais tant ces émotions.
Dans ces moments je réalise pourquoi t'aimer n'aurait pas dû être . 

Idiot,  fus-je, un temps naïf, illusion et  euphorie, aujourd'hui d'un lointain passé
Je ne remémore plus ton sourire radieux, 
Ou plutôt,  désire cacher d'oublie dans ce cruel bonheur
Cet amour qui me mis à l'agonie , cet amour si doux, 
C'est son bonheur à elle qui m'a brisé jusqu'au bout,  car c'est sans moi qu'elle souhaitais passer ses jours.

Désormais, dans vide que se lise  mes yeux éteints, 
désarroi envahissant mon visage, impassible au chagrin. 
noir profond enveloppant mon histoire, 
Ma joie s'est envolée, laissant place à l'angoisse du soir. 
Les larmes coulant, Cherchant à anéantir tout plaisir, Stop.
Ma poitrine se serre, une douleur affreuse, 
Mon cœur se comprime, subissant milles sévices.

Mon esprit s'égare, craignant que l'angoisse m'achève.
Terribles sont ces larmes, si froides sur mes joues, 
Terribles sont ces cris qui me hantent et me rendent fou. 
Je voudrais juste crier pour tout effacer, 
Hurlant pour oublier, oublier celle qui m'a un jour laissé. 
J'aimerai
Arrêter de souffrir pour une âme qui m'a déjà oublié, 
Cesser de ressentir pour celle qui fut un temps aimée. 
Je sais, je fais pitié, et pourtant je ne peux m'arrêter, 
Personne ne pourra m'aider à l'oublier...