Jeudi : Tout le monde a droit à l'amour
« Stéphanie ? L'interpelle Lila en se dirigeant vers elle en trottinant.
_ Oui ? Qu'est-ce qu'il y a Lila ?
_ J'ai un problème, il y a le directeur d'une grande entreprise agissant pour l'environnement, c'est un ami de ma mère. Il organise un cocktail ce soir, il y a aura plusieurs grands donateurs et ma mère a besoin de moi pour que ce directeur gagne le plus d'argent possible pour la sauvegarde des renards des neiges qui sont en voie d'extinction. J'ai déjà rencontré ce grand donateur et il m'apprécie car je suis jeune et que je peux apporter des idées nouvelles à son entreprises et qui sauraient convaincre les donateurs. Cependant le patron m'a confié ce gros dossier à lui rendre pour demain. Tu veux bien le faire à ma place, je te rendrais ce service, promis. Explique Lila en lui montrant le dossier en question.
_ Euh... bah je ne sais pas je...
_ S'il te plaît. Tu es une spécialiste dans le domaine, je suis sûre que cela ne te prendra pas longtemps, en plus c'est pour les petits renards polaires. Pense à eux.
_ Bon... très bien... mais tu me dois un service.
_ Evidemment. Merci et au revoir. Elle lui pose le dossier dans les bras et s'en va, tout sourire. »
La jeune fille, âgée maintenant de 26 ans, travaille dans une grande boîte d'assurance, elle a réussi à avoir un Master en commerce grâce à ses charmes et à son don du mensonge et de la manipulation. Grâce à ce master et à son CV qu'elle a créée de toute pièce, elle a eu le poste. Elle a manipulé et menti faisant qu'elle a réussi à grimper les échelons et à virer toutes personnes la gênant. Elle avance, tourne et se retrouve face à un blond aux yeux verts, nonchalamment adossé au mur.
« Un cocktail pour la sauvegarde des renards des neiges ? Pas mal, cela devient de plus en plus plausible ce que tu sors par rapport au collège. Attention, je pourrais finir par me faire avoir aussi. Commence le blond, Lila le regarde, c'est le portrait craché d'Adrien mais avec un style plus coincé et les cheveux plaqués.
_ Q... Ah j'ai compris, tu es Félix Graham de Vanilly ? C'est ça ? Le blond tourne la tête vers elle, surpris.
_ Impressionnant, généralement on me confond avec mon cousin germain Adrien.
_ C'était quand même bien tenté.
_ On pouvait toujours essayer. Comment se fait-il que tu saches qui je suis ?
_ L'affaire du cousin jumeau d'Adrien Agreste, il y a 5 ans, il n'y en a pas 15 et je reconnais que tu es sa copie conforme. Tu te faisais régulièrement passer pour ton cousin germain et tu as constamment cherché à détruire sa réputation mais Gabriel est intervenu pour que tout le monde sache que c'était toi le responsable et non pas Adrien. C'était quand même pas mal comme tour.
_ Tu ne m'en veux même pas de m'en être pris Adrien ? D'habitude, quand je me présente et que je dis mon lien de parenté avec lui, là on se rappel de moi et j'ai droit à une avalanche de critiques cinglantes. En plus, on m'a dit que tu lui courais après, limite tu le harcèles sans cesse malgré le fait qu'il soit marié avec Marinette.
_ Adrien me plaît oui mais seulement sur le physique et pour sa célébrité. Il est riche, beau et célèbre. J'en ai fait un défi, surtout que j'y gagnait en sortant avec lui. D'autant plus que je déteste Marinette, je n'ai pas réussi à la manipuler et elle a sans cesse cherché à me démasquer devant tout le monde. Alors réussir à avoir Adrien, ne serait-ce que pour une nuit serait une merveilleuse vengeance en plus d'avoir le plaisir de coucher avec un garçon beau comme un dieu. Mais il ne m'intéresse pas au niveau de la personnalité, trop niais, gentil et naïf. Donc non ça ne me gêne pas que tu le critiques.
_ Intéressant... j'en conclue que je suis moi aussi beau comme un Dieu. Déclare Félix avec un sourire en coin, Lila est sans voix face à une telle remarque. »
Elle descend alors le regard sur le jeune homme pour le regarde, se fichant complètement d'être vue, le look coincé lui va divinement bien, il semble en effet bien bâti et son côté coincé et froid a un effet excitant, donnant l'envie de lui faire perdre le contrôle.
« Alors ? Verdict ? Demande le jeune homme ayant vu faire la jeune fille.
_ Je ne parlerais que sous la torture. Répond la menteuse.
_ Parfait... j'ai quelques techniques de torture spéciales pour les vilaines filles comme toi.
_ Je précise qu'il faudra mettre le paquet vilain garçon.
_ Tu ne devrais pas me sous-estimer, c'est un conseil.
_ En tout cas j'ai hâte de voir ça.
_ Sinon, ça te dirait d'aller prendre un verre ? Vu que tu n'as pas de dossier à préparer. Il se détache du mur et fait un pas vers la jeune fille.
_ Je ne sais pas... Répond Lila en mettant ses mains sur les hanches en prenant un air confiant en avançant d'un pas également.
_ Faut que je regarde dans mon agenda... Continue Félix en prenant une voix féminine. Sérieusement ? Tu préfères aller à un "cocktail pour la sauvegarde des renards polaires" ou boire un verre ? Il fait un autre pas en avant et se retrouve au-dessus d'elle.
_ Hum... disons que les œuvres caritatives commencent à me fatiguer donc je vais prendre un verre. Et puis comment refuser face un garçon qui se déplace exprès pour avoir une vue plongeante sur mon décolleté ?
_ Impressionnant, d'habitude les filles s'attendent tellement à ce que je les embrasse qu'elles ne réalisent pas que je m'approche exprès pour regarder.
_ Je suis une experte en manipulation et en homme, on ne peut pas me duper comme ça. Alors ? Verdict ?
_ Comme pour toi, je ne parlerais que sous la torture. Bon, allons-y alors. »
Ils se rendent jusqu'au parking, il lui ouvre la portière et se permet de la reluquer de nouveau et elle lui sourit fièrement en déboutonnant un bouton en le regardant droit dans les yeux. Il lui sourit puis referme la portière et la conduit jusqu'à un bar de Paris près de chez lui. Il s'installe à une table l'un à côté de l'autre. Ils commandent leurs boissons et sont rapidement servis.
« Alors ? Je peux savoir comment tu as entendu parler de moi ? Demande Lila.
_ J'ai fouillé dans le téléphone de mon cousin. Il est tellement débile quand même, le nombre de fois où j'ai réussi à lui faire croire que j'avais changé et que je voulais devenir ami avec lui. Bon c'est plus dur avec cette pimbêche de Marinette mais je réussis à l'éviter. Je ne comprends pas comment il peut être tombé d'elle, elle n'a aucune prestance, elle est simplette au possible. En plus elle ne sait pas profiter de la vie, tout ce qu'elle veut c'est fonder une famille, franchement, elle a 26 ans et c'est la seule chose qu'elle veut, pitié. Bref, j'ai fouillé dans son téléphone et j'ai appris à te connaître comme ça, au travers des conversations au fil du temps, tu as une imagination débordante quand même et tu es extrêmement douée dans la manipulation.
_ Tu sais donc qui je suis réellement. Ce n'est pas tous les jours que ça arrive, généralement les gens m'apprécient car je leur dis ce qu'ils veulent entendre. Tu sais parfaitement que je suis une menteuse et une manipulatrice et ça ne te gêne pas ? C'est assez... déstabilisant... j'aime ça...
_ Je te comprends, j'ai ressenti la même chose quand j'ai compris que tu savais également qui j'étais. Et c'est vrai aussi que c'est super grisant de sentir ses débiles nous manger dans la main quand on leur offre ce qu'ils veulent, on peut ensuite en faire ce que l'on veut et ce sentiment de pouvoir est génial. Cependant ce que j'ai retenu aussi de ces conversations que j'ai lu parlant de toi, c'est que toi aussi tu as cette rage en toi, cette envie de te venger de la vie et de prouver que tu existes. Toi, ta mère travail à l'ambassade et ton père l'a quittée quand elle a appris qu'elle était enceinte et moi, mes parents gèrent les studios Graham, mon oncle est un célèbre créateur de mode, ma tante était une grande actrice et leur fils a eu la chance d'avoir des parents lui offrant tout, il a pu faire du doublage, faire la une des magazines, avoir plein de jouets, il a tout eu sans rien faire. Nous en revanche... on nous a mis dans un coin et on nous a oublié. Toi et moi avons donc décidé que l'on ne nous ferait pas taire et que l'on existerait qu'ils le veuillent ou non. Je me trompe ou non ?
_ Pour l'instant tu as tout bon et c'est... vraiment étonnant... J'en conclue donc que tu es vraiment un vilain garçon... quels sont tes crimes... ? »
Ils racontent chacun les mensonges et manipulations qu'ils ont fait pour gâcher la vie de personne et/ou obtenir ce qu'ils voulaient. Ils n'en revenaient pas, l'autre est exactement comme lui, ils ont tous deux cette noirceur. En général, ils ne rencontraient que des personnes ayant une gentillesse et une naïveté qui leur donnaient constamment envie de vomir mais là, leur interlocuteur a tourné le dos à la lumière sans aucune hésitation et avance dignement vers les ténèbres, leur offrant un spectacle remplit à la fois de beauté et de folie. C'est un spectacle des plus envoutants les séduisant au plus haut point. En plus de parler en toute liberté de leurs pires actions, excitant davantage leur interlocuteur chaque minute, chacun se permettait des gestes. Lila a croisé les jambes et caresse de plus en plus haut sa jambe et lui, il pose sa main sur sa cuisse et remonte de plus en plus haut. Il caresse doucement sa culotte à l'endroit où se trouve l'intimité de la jeune fille, cette dernière retient son souffle, attendant la rencontre. Il retire brusquement sa main, un sourire en coin et boit une gorgée, Lila ne peut retenir un grognement de frustration et de colère.
« Je préfère quand même m'amuser à domicile, non pas que cela me gêne d'avoir recours à ce genre de pratique en public, ça en décoincerait plus d'un d'ailleurs, mais je n'ai pas envie de me faire virer de ce bar pour une durée indéterminée. Et puis... Il se rapproche et se colle à son oreille en posant de nouveau sa main sur sa cuisse. Tu ne vas pas me dire que cela ne t'excite pas que pour une fois les rôles soient inversés, qu'un homme te domine et te défie d'inverser les rôles. Il lui murmure cela très bas et d'une voie roque mais Lila ne peut s'empêcher de frissonner à cette remarque.
_ Qu'est-ce qui te fait dire que j'ai envie de jouer à domicile avec toi ?
_ Hum... parce que l'on dit toujours aux gentilles filles de ne jamais le faire le premier soir mais que toi tu es une vilaine fille. Et puis je semble te faire de l'effet vu ta réaction quand j'allais te pénétrer et quand ma main s'est ravisée. Et je ne te parle même pas de ta respiration saccadée et de l'humidité que j'ai sentie entre tes jambes. Alors ? Tu as envie de rester fière ? Ou décides-tu de céder à la tentation et de croquer le fruit défendu ?
_ On dit souvent que le meilleur moyen de résister à une tentation c'est d'y céder, généralement je n'écoute jamais ce que l'on me dit mais pour une fois, je vais écouter, mais je reste une vilaine fille attention. Déclare-t- elle d'une voix sensuelle à son oreille en envoyant un souffle chaud dans le cou du jeune homme sentant le brasier entre ses jambes grandir.
_ Décidément, tu es beaucoup plus intéressante que toutes les autres filles que j'ai rencontrées, je sens que je vais passer la meilleure nuit de ma vie.
_ Oh donc il y en a eu d'autres. Parfaits, j'aime les hommes ayant de l'expérience.
_ Il faut bien être à la hauteur d'une fille ayant autant d'expérience que toi. Ni tenant plus, ils s'embrassent passionnément en se levant. Oh attend. Il lui prend la main et tapote l'épaule d'un gros bras plus loin. Excusez-moi de vous déranger mais, moi et ma compagne, sommes à côté de cet homme et de son ami depuis tout à l'heure et ils n'arrêtent pas de se moquer de vous, disant que vos muscles que c'est de la décoration et que vous n'avez pas ce qu'il faut si vous voyez ce que je veux dire. Ma copine et moi n'en pouvons plus et avons décidé de partir mais j'ai jugé bon de vous avertir malgré tout.
_ Quoi ?! Il va voir si c'est de la déco ! Merci mon gars, finalement les Agreste sont sympas. Le type se lève et s'avance vers l'homme ayant été désigné par Félix et le frappe immédiatement, s'engage alors une bagarre collective. J'avais la flemme de sortir ma carte de crédit, de toute façon, se sera Adrien qui paiera.
_ Oh le vilain garçon. Attention, je vais devoir te punir dès que l'on arrivera chez toi.
_ J'ai hâte de voir ça. Il l'emmène en dehors du bar et s'éloigne rapidement avant que la vitrine ne soit cassée par l'une des brutes. »
Rapidement ils arrivent dans l'immeuble de Félix, tout au long du trajet à pied, ils se sont embrassés et, quand il y avait un peu moins de monde, plaqués contre un mur pour s'embrasser dans le cou et passer leurs mains sous leurs vêtements. Félix emmène Lila dans l'ascenseur, il appuie sur le bouton et note avec plaisir qu'ils sont seuls dans la cabine. La jeune fille le plaque contre l'un des murs.
« Je propose que l'on commence à s'amuser un peu en attendant. Elle se met alors à détacher le bouton de pantalon du jeune homme et est entrain de descendre la braguette quand un "Ting" retenti, annonçant que l'ascenseur va s'arrêter, sauf que c'est trop tôt pour que ce soit le bon.
_ Ce n'est pas vrai. Râle le jeune homme en remettant son pantalon correctement.
_ Grr... Et à tous les coups ça va être une vieille peau.
_ Faut pas exagérer, on n'est pas dans une fiction clichée où... Félix se coupe en voyant une vieille dame en déambulateur entrer. Il la regarde et elle lui fait un signe voulant dire "Tu vois je te l'avais dit." Euh... excusez-moi madame. Mais il m'a semblé entendre un chat, ce n'est pas le vôtre ?
_ Euh... j'ai bien un chat mais je ne vois pas le problème.
_ Eh bien j'ai l'impression qu'il fait un drôle de miaulement, je pense que vous devriez vérifier au cas où.
_ Vous pensez ? Au mon dieu, mon pauvre Garfield. La vieille dame sort alors de l'ascenseur et Félix appuie sur le bouton de fermeture des portes.
_ Bravo.
_ Le chat en danger. Un grand classique chez les vieux.
_ Je note pour la prochaine fois.
_ La prochaine fois que tu rencontres une vieille personne ou la prochaine fois que tu viens ?
_ Ça ne dépend que de toi. Sinon, il me semble que nous étions entrain de faire quelque chose. Lila se rapproche de lui et reprend son œuvre.
_ Vas-y, je ne doute pas de tes talents. »
La jeune fille glisse une main dans son boxer et empoigne délicatement le membre du blond, ce dernier s'accroche fermement à la barre de l'ascenseur. Elle met sa seconde main dans le sous-vêtement et effectue des va-et-vient très appréciés par Félix. La jeune fille sourit en voyant l'effet qu'elle lui fait. Lui qui jusqu'à présent semblait à la fois coincé, sombre et froid, semblait déjà nettement plus chaleureux et moins dans le contrôle.
Elle range ensuite le membre du blond, fait claquer son boxer, referme le pantalon et tapote sur la bosse du jeune homme en lui susurrant à l'oreille "Vaut mieux garder ça au chaud le temps de traverser le couloir mais ne t'en fais pas, je reprendrais bien vite mes petites gâteries." Félix se racle la gorge, reprend une façade sérieuse et impassible mais dès que les portes de l'ascenseur s'ouvrent, il lui prend la main et l'entraine rapidement devant sa porte, montrant une envie non-dissimulée de continuer. Pendant qu'il tourne la clé, Lila se colle à lui dans le dos et commence à caresser le haut de ses jambes, frôlant l'aine à plusieurs reprises. Une fois la porte ouverte, il la tire à l'intérieur et la referme. Il se retourne et voit Lila assise sur le dossier du canapé, enlevant nonchalamment ses escarpins. Elle a à peine le temps de descendre qu'il se jette sur elle et l'embrasse fougueusement. Leurs langues s'enlacent et dansent à un rythme endiablé.
Félix met brusquement ses mains sous la jupe de Lila, lui empoigne les cuisses et la soulève, elle serre les jambes autour de sa taille et il l'emmène jusque dans sa chambre, tout en continuant de l'embrasser. Il la jette sur le lit, lui faisant lâchée un petit cri de surprise, excitant encore plus le jeune homme qui voit une demoiselle allongée dans son lit et qui semble avoir appréciée sa fougue soudaine. Il se met à quatre pattes au-dessus d'elle et commence à l'embrasse dans le cou. Il déboutonne un par un et une vitesse incroyable chaque bouton du chemisier de la jeune fille, embrassant immédiatement cette nouvelle parcelle de peau dévoilée. Il lui enlève rapidement son chemisier puis plaque chaque poignet de la jeune fille à côté de sa tête et embrasse plus lentement sa peau dévoilée, l'effleurant à peine. Il joue avec elle, il alterne entre le calme et l'intensité pour faire durer le plaisir et la torturer. Son manège fonctionne, la jeune fille ne parvient pas à dissimuler sa frustration et rapidement se cambre, sa respiration est saccadée, elle tourne la tête de plus en plus vite et remue les jambes de manière de plus en plus incontrôlable. C'est de la torture et cela devient de plus en plus insupportable. En générale, elle parvient à exciter suffisamment les hommes pour les dominer et quand c'est eux qui la déshabillent, ils sont directement dans la passion, elle n'a pas l'habitude que l'on fasse durer le plaisir et que l'on la torture ainsi, c'est elle qui le fait en générale.
Finalement, Félix décide de passer à l'étape supérieure. Il l'embrasse fougueusement puis descend en effleurant à peine son corps tout en soufflant un air chaud dessus. Il lui enlève sa jupe rapidement, ensuite attrape une des chevilles et la lève. Il commence alors à lentement caresser et embrasser sa jambe à l'intérieur, il progresse et c'est encore une fois de la torture pour la jeune manipulatrice qui sert les draps, aussi fort qu'elle le peut. Il accorde le même traitement à l'autre jambe et c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Elle inverse les rôles et se retrouvent à califourchon sur lui. Elle pose son index sur les lèvres du blondinet pour lui intimer le silence, ensuite elle descend lentement son doigt, traçant une ligne invisible le long du corps du jeune homme et ceci jusqu'au ronflement de l'aine. Elle pose ensuite ses mains sous sa chemise, caressant ses tablettes de chocolat, puis défait les boutons avec une lenteur calculée en suçant chaque partie qu'elle découvre. Elle écarte les pans de chemise en lui caressant lentement les épaules et les bras, elle se recule un peu et passe aux chaussures, chaussettes et au pantalon du jeune homme qui semble finalement bien apprécié cette situation de dominé, il a la respiration saccadée et se tient aux draps comme une bouée de sauvetage.
Ils sont maintenant tous les deux en sous-vêtements mais Lila décide d'y remédier. Elle a discrètement réussi à récupérer la ceinture de Félix et elle décide de l'embrasser fougueusement pour le distraire et l'attacher à la tête de lit. Une fois son œuvre accomplie, elle lui baisse le boxer, révélant le membre que Lila avait déjà pu toucher dans l'ascenseur. Ni une ni deux, elle recommence ses va-et-vient, la différence est que Félix se permet de gémir plus fort, d'encourager la jeune fille dans son œuvre, même de la supplier. Lui qui a toujours le contrôle et qui a toujours les cartes en main sur la situation, voilà qu'entre les mains habiles de Lila, il ne parvient pas à garder son masque et c'est assez déroutant pour lui. Brusquement, les mains de la jeune femme abandonnent son membre et c'est la bouche de Lila qui se met à faire des gâteries, au début, se sont de simples bisous, de légers coups de langues, mais progressivement, la zone s'agrandit et le membre de Félix finit entièrement avalé par Lila qui joue de sa langue pour jouer davantage. Le reste de son corps n'est pas en reste car ses mains explorent chaque parcelle de peau. Au bout de plusieurs longues minutes de torture, elle s'éloigne enfin de l'organe du jeune homme, va dans le salon, laissant ce dernier attaché à son lit comme un idiot et commence à se débattre mais se calme quand il la voit revenir avec un préservatif à la main qu'elle avait dans son sac à main. Elle a un sourire malicieux et enjôleur, ravi du spectacle qu'elle a en revenant. Elle s'assoit sur les jambes du blond et lui met la protection avec une habileté montrant parfaitement son expérience dans le domaine. Elle va ensuite se positionner devant la table de nuit, elle détache ses cheveux et enlève ses bijoux en jetant des sourires en coin, fière de la situation devant Félix essayant de se libérer tout en jetant des regards d'envie au corps de la jeune fille juste à côté de lui, désire trahi également par son organe droit comme un i.
Elle s'assoit doucement sur lui de nouveau et le détache en veillant à ce que ses seins frôlent son visage. Dès qu'il fut libre, il se jeta sur elle, renversant leur position. Il l'embrasse fougueusement et lui enlève en moins de deux son soutien-gorge et joue avec ses deux mains sur cette poitrine libérée, produisant des gémissements auprès de la demoiselle sonnant comme une douce mélodie pour son partenaire. Il joue avec s peau, ses tétons, avec les mains, la bouche, la langue, les dents, il ne laisse aucun répit à ces seins généreux. Il rapproche son visage de la jeune fille qui le regarde dans les yeux et voit à son sourire malin qu'il va lui jouer un tour. Cela ne manque pas, la seconde d'après, elle sent la main du blond glisser dans sa culotte et rentrer en elle. D'abord un doigt, il en met rapidement un deuxième et un troisième. Il joue avec son intimité tout en étant au première loge pour la voir réagir, elle gémit et se cambre, elle apprécie vraiment cette douce torture qu'il lui fait subir. Au bout de quelques minutes, il enlève sa main, retire le dernier morceau de dentelle noire et insert sans gêne sa langue à l'intérieur. Lila pousse des cris de plus en plus fort, elle gémit, supplie et exprime de plus en plus son bonheur. Au bout de plusieurs longues minutes, il la laisse reprendre un peu son souffle et une fois remise, elle l'allonge violemment, la dernière étape est arrivée, le grand final, et il est hors-de-question que ce soit Félix qui ait les rennes, ce qui ne déplaît pas à ce dernier qui jusqu'à présent à dû diriger ce moment avec des filles se contentant de lui au lieu d'Adrien. Lila se met à califourchon et aide à la rencontre, elle fait plusieurs petits rebonds, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Leurs gémissements, leurs cris d'extase, leurs supplications alternent sans cesse et ce n'est qu'au bout d'un très long moment qu'arrive le mouvement final avant que Lila s'écroule aux côtés de Félix, tous deux plus que satisfait, malgré leur expérience, c'est la meilleure fois qu'ils viennent de vivre, c'est indéniable.
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