Chapitre X- Massacre au clair de lune
« Grand Archon... rien que ça... »
Allongé dans son lit l'avant bras sur ses yeux; Diluc réfléchissait à ce qu'avait dit son invité un peu plus tôt. Il avait vérifié, le matin même, quel était le métier de la jeune femme. Les informations étaient claires: Naina aurait été -Si il n'avait pas été déchu- chef du clan Kahedehara, créatrice d'arme exceptionnelles (grâce à l'enseignement de son clan) fabriquant de cerf-volants (« Pourquoi? ») et voyageuse.
Elle avait également étudié à Sumeru pendant quatre ans, environ, car elle est venu à Mondstat pendant a peu près 8 mois. Et sinon, elle a fait le reste de sa scolarité à Inazuma.
« Ah, elle aurait disparu pendant dix mois d'affilée, on ne sais où l'année de ses 14 ans et serait revenue peu avant ses 15 ans... Étrange. »
Après avoir appris la nouvelle, Diluc avait mangé son repas les yeux dans les flammes, perdus dans ses pensées: il rassemblait toutes les informations (assez nombreuses) qu'il avait sur la mi-Dragon.
Il avait décidé de prendre un peu de repos avant de faire son second métier (enfin sa seconde identité)
« Même moi, à côté c'est rien... Héros de la Nuit. Grand Archon. Pathétique. Dire que je la voyait presque -presque!- comme une fille sans défense. Alors que non. Absolument pas. » Il se remémora ce qu'avait dit Jean plus tôt dans la journée. Le matin enfait. Que comme quoi il était plus puissant que Naina et donc plus apte à l'aider. Il eu un rire nerveux.
Diluc repensa aussi à la discussion surprise entre les serviteurs avant d'aller au salon. Est-ce que Jean est au courant? « Non. Elle ne lui aurait pas parlé comme cela. Bon. Cela veut dire qu'elle me fait confiance ».
Le jeune homme entendus une voix féminine dans le couloir:
- Mademoiselle! Où allez-vous ? Il fait nuit maintenant.
Il reconnu la voix de Christine, une servante.
- Qu'est-ce que cela peut bien vous faire ? Répondu une autre voix, plus grave, froide et neutre.
« Ah, ça c'est Naina. » se dit-il. « Attend, quoi? D'où elle sort à cette heure ci? Hier déjà . Aujourd'hui aussi! En plus, il y a des chances que je la croise... Oh non. »
- Je suis désolée, mais vous ne pouvez sortir comme cela. L'informa Christine
Il n'eut aucune réponse de Naina, mais Christine balbutia:
- Ma...ma...ma...Mademoiselle ? Diluc fut apeuré par la terreur primitive qui incarnait la voix de la servante. On aurait dit un mouton devant un tigre.
Diluc se leva et approcha son oreille de la porte à pas de loup.
Cette fois ci Naina répondis:
- Je. Déteste. Que. L'on. Restreigne. Mes. Mouvements. Je vais ou je veux, quand. Je. Veux.
Effrayant.
Oui, c'est le mot qu'avait le jeune homme pour décrire la voix de la Lalin. Sa voix semblable à un ruisseau avait disparue. Elle était désormais aussi tranchante qu'une épée parfaitement aiguisée, aussi froide que la neige des monts Dosdragons et anormalement grave et basse (NDA: du genre murmure)
Diluc ouvrit précipitamment la porte et vit la scène. Christine à gauche aussi pale que son tablier et avec les larmes aux yeux. Et a droite, Naina. Ses pupille rouges brillait de colère. On aurait dit deux flaques de sang éclairé de l'intérieur percé d'une fente fine, comme si une dague avait été plantée dans le sang et qu'il avait gardé le trou. La déesse avait l'air sacrément énervé. Une veine palpitait sans son cou. Et ses ailes frémissaient de colère. Les éventails de lames de sa queue était déployée et réfléchissaient la lumière des chandeliers du couloir.
Diluc se dépêcha d'intervenir.
- Pourquoi devez-vous vous disputer juste devant ma porte?
Quand il dit cela, la servante tourna son regard plaintif vers lui. Naina lui jeta à peine un regard vers lui, ne quittant pas la servante de ses ardent yeux rouges. Rapidement Christine détourna son regard du viticulteur en rougissant. Elle se ratatina sur elle même quand elle croisa celui de la Lalin et choisit enfin de fixer ses pieds. Et c'est seulement à ce moment là qu'il se rendis compte de sa tenue. Sa chemise avait les quatre premier boutons ouvert et ses cheveux détachés étaient vraiment... échevelés.
« Oups. » pensa t'il il rosit légèrement. Naina fixait toujours Christine.
Diluc déclara:
- Bon, Visiblement, mademoiselle Naina voudrait sortir. Je ne voit pas ce qui pourrait la retenir.
-Mais... le couvre-f- commença Christine.
- Merci. Dit la concerné. Ce fut seulement à ce moment là qu'elle regarda Diluc. Elle parti précipitamment. Mais il eu le temps d'apercevoir ses pommettes rosies.
Christine se tourna vers le rouge vif et s'exclama en fixant le front de ce dernier:
- Mais Maitre ! Avez-vous vu sa tenue sous son manteau? C'est un uniforme des Fatuis!
Diluc se souvenait de son manteau. Un long manteau arrivant aux chevilles. Noir, et cintré à la taille par une ceinture qui était ouverte, à l'instar du manteau. Bien taillé au niveau des épaules, un col remontait légèrement sous sa tresse lâche. En soit, le jeune homme trouvait cela très saisissant. Lui donnât un air sérieux (encore plus que d'habitude). Mais il n'avait pas vu ce qu'elle portait en dessous. Il dit néanmoins:
- Je ne sais pas ce qu'elle fabrique, mais je lui fait confiance.
« Et surtout en le fait que dans la majorité des cas, les Fatuis et les Archons sont ennemis. »
Christine, comprenant que la discussion était close, s'inclinant et dit:
- Si vous le dites Maître. Moi, je ne fait pas confiance à ce démon. Et elle partit.
« Démon ? Un démon Grand Archon ? Impossible. »
Diluc soupira et rentra dans sa chambre- bureau. Ferma la porte à clef et enfila son habit noir accompagné d'une grande cape à capuche longue de la même teinte. (NDA : Son habit de Héros de la Nuit.). Il attacha ses cheveux en queue de cheval haut et accompagna le tout d'un masque; remplaçant les traits de la partie supérieure de son visage par ceux d'un aigle blanc rechaussé d'or. Diluc aimait beaucoup l'aspect que cela rendait avec ses yeux flammes. Il avait l'impression d'être plus courageux, plus rapide, plus léger.
Il se tourna vers son aigle, qui, perché près d'une fenêtre, il déchirait une souris et avalait les lambeaux de chair qu'il avait arraché de sa proie.
« Espèrons que je sois l'aigle et non la souris. Et les proies, je ne les arracherais pas si... sauvagement. » se dit-il.
« Bon, je vais surtout suivre Naina ducoup. Cette affaire m'intrigue beaucoup trop.»
Il rabattit sa capuche pour dissimuler ses cheveux rouges, ouvrit la fenêtre, fit monter l'aigle sur son bras et se dirigea vers la fenêtre. Il l'ouvrit, passa le buste, puis les jambe. Il était maintenant assis sur le rebord de l'ouverture. Diluc murmura à l'oiseau sur son gantelet:
Rapace, rapace,
envole toi et prête moi tes yeux sur je puisse trouver ce que je cherche.
À ces mot, le masque réagit. Les yeux de l'aigle apprivoisé prirent la teinte de ceux du héros. Diluc aimait bien ce changement, il se sentait à la fois aigle et humain. Quand il prenait le contrôle de son rapace. Le Héros de la nuit le fit s'envoler vers le toit. Il s'écarta mentalement de la vue de l'oiseau pour reprendre un instant la sienne. Quand ce fut fait, il se retourna, ferma la fenêtre de l'extérieur grâce à un mécanisme discret. Ensuite, il grimpa sur la toiture de sa chambre. Arrivé là haut, il s'assit et repris les mouvements du rapace, tout en lui permettant de garder ses réflexes. Car Diluc n'avait aucune idée de comment se diriger dans les airs -ni même voler-, mais il savait, par les brefs contacts avec l'esprit de l'aigle, que ce n'était pas à la portée du premier venu. L'oiseau aux yeux de flammes traçait des cercles concentriques de plus en plus larges autour de la propriété. Mais pas de traces de la jeune femme.
Alors le mondstatois réfléchit:
« Où est ce qu'elle serait partie? Bon déjà je peu supposer qu'elle utilise ses ailes, donc je n'aurais pas à chercher dans les forêts. Tant mieux. Oh! Mais attends! Christine n'avait pas dit qu'elle portait l'uniforme des Fatuis ? Bah, allons voir du côté de leur base. Mais je ne poserai pas un pied dans ce guêpier.»
L'aigle mit le cap sur l'endroit désigné. Diluc, a travers les yeux de l'animal vit une silhouette glissant sur l'air en ras-Motte. Six ailes noires aux reflets d'argent était entre-ouvertes. Une grande tresse s'agitait dans le vent. Une tâche clair dans l'obscurité.
« Là ! Elle est là... vas t'elle vraiment aider les Fatuis ? Mais je pensait que les dieux étaient majoritairement contre l'organisation. Mais bon, majoritairement ne veux pas dire entièrement. » se demanda t'il. Sans prendre le temps d'approfondir sa réflexion, il repris son point de vue tout en gardant un lien avec l'oiseau qui suivait Naina pour la localiser.
Et il s'élença dans la nuit.
La nuit était claire, car la Lune presque pleine éclairait bien. Pratique pour repérer les intrus, mais moins pour dormir. « Tant mieux pour moi » se dit la sentinelle. « Les garde de nuit de la base c'est long et ennuyant. À en mourrir d'ennui. »
Claude soupira.
Il avait envie de dormir, de boire ou de jouer. Pas de rester debout devant un rocher immatériel. Il était là dans ses pensé quand il aperçut une silhouette. Un grand manteau noir ouvert, une tresse blanche orné d'une mèche rouge luisante, deux flamboyants yeux aux couleurs de l'automne et...
des ailes ?! Une queue?!
Ni une ni deux, Claude se mit en position de combat, sa lance en avant. Cette silhouette appartenait à une jeune femme. « Entre 19 et 22 ans. C'est étrange, j'ai du mal à lui donner un âge... et elle est très jolie! »
Mais ses yeux rouges lumineux faisait penser à du sang à la lumière d'un feu. Le Fatui pris son courage à deux mains
(NDA : ... et le balança à la figure de l'intruse. BAM! Eeeh! Stop, Je blague.)
et s'exclama d'une voix où, à sa plus grande fierté, ne perçait aucune peur:
- Halte! Veuillez décliner votre identité !
Puis il remarqua l'uniforme des lieutenants Fatuis sous le manteau entrouvert. Il se repris en baissant sa garde et en se mettant au garde à vu:
- Oh, bonsoir Lieutenant , je n'avais pas vu votre uniforme. Pourrais-je savoir de quelle base venez-vous ?
Son interlocutrice sourit, découvrant ses crocs d'ivoire sous ses lèvres. Elle prit la parole d'une voix douce mais tranchante:
- Ma base? Célestia.
« Hein? »
Ce fut tout ce que pensa Claude. Son cerveau et son corps était paralysé face à cette créature.
Comme une souris face à un aigle. Puis, la sentinelle s'effondra sur lui-même sans bruit, la gorge proprement tranchée.
« Irk, j'en ai sur les doigts!
Bon, je peux rentrer maintenant. J'ai prévenu Kazuha. Allons-y. Je ne fait plus demi tour. Il est droit devant moi! »
L'Inazumienne ouvrit sont esprit et ses sens, et sorti deux coupeur de jade qui virèrent au noir quand elle les imprégna de ténèbres. Pas la moindre lumière cette nuit. Elle doit rester une ombre permis les ombres; certe une ombre meurtrière, mais tout de même une ombre. La Lalin entendus des pas.
Cinq personnes.
Leurs esprits indiquèrent qu'il y avait quatre homme et une femme qui bavardaient bruyamment.
Naina devint vraiment une ombre qui se glissa dans un coin sombre du plafond. Quand les cinq Fatuis passèrent en discutant, la Grande Archon atterrit sur les épaule du premier et le tuas tous, deux par deux. Il se turent dans le silence de la mort.
Elle pu sentir les esprits des Fatuis aux alentours de mettre en alerte face à ce silence brusque.
Le massacre avait commencé.
Kazuha entendis les planches du pont craquer derrière lui. Il ne fut pas surpris. Il s'arracha à la contemplation du ciel étoilé se reflétant dans les vagues de la mer calme. En se retournant il pu voir Beidou, la capitaine de la flotte du Crux. Son cache-oeil indiquait qu'elle n'était pas débutante.
Ses cheveux bruns mi-long s'agitait dans la brise.
Sa voix forte s'éleva dans la nuit, rompant le silence bruyant que côtoyait l'Inazumien quand les bouches étaient closes, mais que les vies chantaient.
- Eh bien! Notre poète ne dors pas? Sache, petit, que je n'ai toujours pas compris comment fonctionne ton cycle de sommeil! Trop dur pour mon cerveau replis d'alcool et d'exploits.
Ce à quoi le samouraï répondis:
- C'était donc pour vous oublier au fond de votre verre qui vous ne dormiez pas? Si je sommeillait maintenant, les cauchemars grifferaient et mordraient ma conscience. Il faut donc que j'attende qu'elle finisse.
Et le jeune homme retourna à la Contemplation de l'océan.
Intriguée, la capitaine s'approcha d'une démarche quelque peu chancelante:
- Qui ça? Demanda t'elle
- Ma sœur jumelle. Répondis Kazuha.
- Ah oui !... Nani? C'est ça?
- Je vous déconseille de l'appeler ainsi. Je ne pense pas qu'énerver le dragon est une bonne chose. Ceux qui s'y sont essayé ne prononce plus ce mot de peur de subir une seconde fois sa colère.
Beidou demanda après un silence:
- Et, elle est comment énervée? Pire que Ningguang?
Là samouraï soupira avant de dire:
- Je n'ai jamais vu Dame Ningguang énervé et je ne tiens pas à la voire. Et ma sœur en colère ?
Comme moi, mais en pire...
- Trop abstrait, lâcha la pirate. Toi? Énervé ? Impossible. Je ne t'ai jamais vu énervé.
Kazuha eu un lège rire amer avant de murmurer dans la nuit:
- Tant mieux pour vous.
Il senti un léger parfum (détectables de lui seul) d'inquiétude et de peur. La musique ( toujours perçue que par son oreille) changea de tempo.
« Je fais donc peur à Beidou? Ou l'alcool amplifie les effets? »
La femme le regarda incrédule:
- Et... ducoup, ta sœur ça donne quoi?
Sachant son amie pompette, il se doutait que sa réponse aurait aucun effet sur elle. Mais il vaut mieux prévenir que guérir, non?
Dans un murmure il dit en fixant les vagues au loin:
- La mort elle-même tremblerait devant elle. Si elle le voulait, elle pourrait déchirer les tissus de la réalité, par une haine profonde et vicérale.
« Même si je doute qu'elle s'en rende compte et qu'elle sache maîtriser ceci. »
Ajoutait-il mentalement.
La pirate s'arrêta et réfléchi un instant et demanda avec une voix un peu inquiète:
- Et ducoup je l'appelle comment?
- Naina.
Dans la tête du jeune homme, il ressentait presque les mouvements de sa jumelle. Il baissa les yeux vers ses mains posées sur ses genoux s'attardant à moitié à les voir recouverte de sang.
Mais non.
Le bandage qui recouvrait sa main droite était toujours d'un blanc parfait et la peau de sa main gauche paraissait argenté sous la lune presque pleine.
« Bonne chance sœurette, tu vas y arriver.»
La voix de Beidou rompu de nouveau le silence apparent:
- Mais ducoup, elle fait quoi Naina?
- Elle fait voler ses sabre et valse avec la mort.
Repondis t'il
- Joli. Commenta son amie.
Il l'a remercia brièvement.
Puis:
- Bonne chance en tout cas! HAHAHA! s'exclama t'elle si fort que le samouraï eu un léger rictus de douleur à cause du bruit soudain.
La pirate vida sa chope et parti en rigolant toute seule d'un pas zigzaguant vers le bastingage non loin.
« Oui, reviens saine et sauve, s'il te plaît. »
Une voix lointaine et occupé lui répondis:
« Ne t'inquiète pas Kazuha, j'ai bien l'intention de te revoir. Prends soin de toi. Et encore désolée pour le dérangement. »
Et la connexion se réduisit à l'habituel fil d'énergie qui les reliait où qu'ils soient.
Le massacre continuait.
Une lourde épée dansait et tranchait la nuit de ses flammes écarlates.
Ôtant des vies et balayant la poussière dans une valse sans fin, elle apportait sa « paix » sur le fil de sa lame.
Diluc senti soudain une douleur au niveau de l'épaule gauche. Il y jeta un coup d'œil et ne vit rien.
Exaspérée il tua le dernier brutoccolinus et sorti de la zone qu'il avait enflammé.
Il pu enfin mieux regarder son épaule, enleva sa cape. Il n'y avait vraiment rien.
« Ah. C'est Naina. Ça lui fait deux fois plus mal. A-t'elle besoin d'aide ? »
Il jeta un œil autour de lui. S'arrêtant parfois sur un fragment de masque brisé perdu dans l'herbe.
Rien d'interessant.
Il se détourna et parti d'un bon pas suivit de son rapace qui planait au dessus de lui.
Quand le héros nocturne arriva non loin de l'entrée de la base fatuie, il grimpa dans un exquisier et attendis.
(NDA: aucun arbre de Teyvat n'a de secret pour moi. Je les reconnais tous et je sais tous où ils se trouvent. J'ai tellement bûcheronner)
Au bout d'une bonne demi-heure où il avait grignoté les pommes crépusculaires de l'arbre, il vit une silhouette ténébreuse avec deux yeux rouges fendus à la verticale sortir du rocher immatériel.
Des filaments de ténèbres s'échappait de la silhouette et s'évaporait dans l'air.
La forme humanoïde s'arrêta, regarda autour d'elle et leva ensuite les yeux vers la lune.
Alors, la couche de ténèbres glissa, laissant paraître un visage à l'apparence calme, mais que le mondstatois devinait tourmenté. Diluc reconnu Naina, et fut surpris de voir cette expression en lieu et place du regard froid et du masque impassible ou du doux sourire et de ses yeux lointains. L'ombre recouvrait maintenant plus que ses jambes, et elle se retirait encore.
La Lalin était habillée comme il l'avait vu la dernière fois. Mais là, le jeune homme dû retenir une nausée quand il vit l'état de ses vêtements. Ses bottes qui montait jusqu'au dessus de genoux étaient éclaboussés de sang. L'ourlet de son manteau gouttait du liquide rouge, et ses mains, ses mains d'habitude aussi pâles que la lune était rougies par le liquide vital jusqu'aux coudes!
Soudain, le Héros de la Nuit région une exclamation de douleur. Il baissa les yeux vers ses mains et vit qu'il serrait le bois de la branche qui le soutenait si fort qu'une écharde s'était logé dans sa paume. Il se rendis alors compte qu'il avait peur de tomber, comme si il était au bord de la falaise Arrachetoile un jour de tempête. Il pouvait presque entendre le vent rugir à ses oreilles.
Pourtant, seule une légère brise soufflait sur la clairière.
« Une force Anémo, que même un porteur de vision Pyro peut sentir... Vraiment très puissante, qui émane de... Naina? » compris t'il. En regardant d'avantage, il remarqua qu'une lueur bleut- vert pale se diffusait de son poing.
La jeune femme cherchait quelque chose dans son sac en bandoulière.
Et elle en sortit un petit cube noir... qui se trouvait être une boîte. Elle l'ouvrit d'une main, et regarda ce qu'elle serrais dans son poing depuis tout à l'heure. Ensuite, elle le pris entre le pouce et l'index et la leva pour le contempler.
Diluc pu donc voir à la lueur de la lune gibbeuse une sorte de sablier a la couleur caractéristique de l'énergie élémentaire Anemo orné d'or pâle (NDA: d'électrum?).
« Un sablier semblable à ...il plissa les yeux, et fit discrètement approcher son aigle pour voir à travers ses yeux, ... la Dame dans un jeux d'échec. Une pièce d'une grande rareté et d'une puissance encore plus grande. »
Il remarqua alors le mouvement incessant de l'objet.
« Il tourne? »
Le Héros de la Nuit compris ensuite que c'était des particules Anemo qui tournoyaient autour et donnait cette impression de mouvement constant.
« Donc, cet objet vaux tant de vies? » se demanda t'il.
La Grande Archon le déposa dans la boîte noire et la ferma.
Le chant Anemo se tut.
Le massacre était terminé.
___________________________________
Haha! Bonjour à tous!
C'est la reine des mers, l'honorable Capitaine de LA PUISSANTE FLOTTE DU CRUX!
HAHAHAHA!
Bon bon, Drake, mon second me demande d'écrire correctement. Je vais l'écouter.
J'espère que ce chapitre vous a plus.
ENFIN de l'action! Même si nous n'en étions pas au cœur. Mais l'auteur a un peu de mal à décrire les combats même si, il y en auras d'autre (et, vous, lecteurs, vous serez au cœur de l'action!).
Bon l'auteur m'a demandé de s'excuser de sa part de l'irrégularité de la sortie des chapitre et de l'histoire qui peu vous paraître barbante...
Voilà
...
Hum, hum...
HARDI MOUSSAILLON!
VOTRE PUISSANTE CAPITAINE VOUS SALUE!
- Beidou,
la plus grande capitaine de tous les temps.
PS: J'ai oublié de prévenir que le prochain chapitre était en partie un défi lancé à l'auteur. Dooonc, ne jugez pas (NDA : s'il vous plaît!)
PPS: L'auteur voulait aussi vous dire, qu'il fallait pas hésiter à commenter l'histoire. Elle aime ça. Merci!
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