Chapitre IX- Discussion au coin du feu

- A bientôt Maître Diluc! Et Merci!
- Je vous en prie, c'est normal. Répondis le jeune homme aux cheveux rouges, à Charles, l'habituel barman du Cadeau de l'Ange.
Le roux-rouge sorti en enfilant son manteau ébène en se disant ceci:
« Je vais me reposer, car je sort cette nuit. Il faut enquêter sur les fameux Fatuis d'Elite. J'enquête aux alentours de leur base. Bon, avant allons nous reposer. Par contre, j'espère que ce sort ne va pas m'affecter... »
Il était désormais non loin des porte de la ville, quand Jean l'aborda.
- Bonsoir Maître Diluc. Merci pour l'aide au temps tout à l'heure. Est ce que tu as moin mal? Le sort que tu as reçut ne semble pas vous faire effet. Ce qui m'intrigue surtout c'est la couverture du livre de magie qu'utilisait le mage. Pourquoi un chat ?
- Je n'en n'ai aucune idée. Répondis platement Diluc.
« Mais, c'est vrai que ce serai bizarre qu'il ne fasse pas effet... Peut-être que il attire tout les chats de la région? Si c'est le cas, je n'y voit pas vraiment d'objection. J'aime bien les chats et comme cela, Venti ne m'embêtera pas.»
Alors qu'il pensait cela, un chevalier de l'Ordre arrive en courant, s'inclina vers les deux personnes et s'adressa à Jean:
- Grande Maîtresse, vous été demandé au QG.
Jean soupira, puis sourit en se tournant vers Diluc:
- Je dois y aller! Si tu perçois des changements, n'hésite pas à en parler! Bon, c'est sûrement Kaeya qui m'attend. Ajouta t'elle.
L'ancien chevalier la regarda avec un regard froid (ce qui est habituel chez lui).
- Mais oui. Dit-il
Et Jean partit. Le jeune homme avait maintenant dépassé les porte et marchait sur le pond de pierre qui enjambait lourdement le Lac de Cidre. Perdu dans ses pensées. Il ne vit pas les pigeons devant lui. (NDA : les fameux). Diluc ne broncha pas quand les volatils gris s'envolèrent de tous côtés, paniqués. Il entendit une exclamation d'exaspération à quelque pas de lui. Tournant la tête dans cette direction, il vit un petit garçon roux qui le regardait énervé.
« Timmie Waltser : son père est parti mais n'es par encore revenu. Sa mère est chapelière. Fils unique. Aime les pigeons. » Quand le flamboyant regard de Diluc croisa celui de l'enfant, l'énervement visible sur les traits de l'enfant se mua en intimidation. Timmie détourna le regard ne pouvant plus soutenir celui de riche Viticulteur.

Au bout d'une demie heure, Diluc arriva enfin en vue de son manoir. En scrutant les environs, il ne vit aucun blobs. Il en déduit donc que la Lalin était ici. Quand il entra, et passa dans sa chambre pour troquer son habituelle tenue contre des vêtements qu'il trouvait plus confortable - une chemise noir et un bas de la même couleur-. Il renouait sa courte cravate quand il entendit toquer à la porte.
- Entrez.
C'était la gouvernante (NDA : j'ai oublié son nom. Mais c'est celle qui est suspecte là. Il y a une autre servante qui voit que la gouvernante a une clef en plus, et qui entend des bruit bizarre dans un couloir et qui voit ensuite la fameuse gouvernante derrière elle avec de la poussière sur sa robe. Eh bien celle qui a de la poussière, je ne sait plus comment elle s'appelle. Sorry, on reprend l'histoire.).
Le maître des lieux la regarda en attendant qu'elle s'explique. Celle-ci ne tarda pas et demanda:
- Ou voulez vous que je mette votre encas ? Le jeune homme se retourna vers son miroir et fixa la femme à travers celui-ci :
- Dans le salon du rez-de-chaussée.
La gouvernante eu un petit silence hésitant avant de répondre, gênée:
- Êtes-vous sûr ? Parce que...
elle s'arrêta quand son employeur planta ses yeux rouges flamme mais pourtant froid dans les siens. Il était irrité.
- J'ai dis dans le salon du rez-de-chaussée. Répéta t'il.
-Ou... oui. Répondis dis le femme qui a pourtant un bon sens de la répartie et qui l'avait presque élevé comme une mère.
Cela acheva d'exaspérer l'ancien chevalier. Sa journée avait été excérable (NDA: euuuh, je ne sais pas comment s'écrit le mot. Me tapez pas ok?), ces mages de l'abîme, ces enfo*rés, sont venu en nombre et n'ont pas arrêté d'appeler des brutocollinus.
Diluc soupira en pensant:
« on me cache quelque chose. Allons voir dans cette pièce ce qui m'empêche, MOI, le maître des lieux, a aller dans MON salon. » (NDA : MÔA!) 
En descendant les escaliers, île entendis deux serviteurs, qui balayaient, discuter:
- Il à forcé pour aller au salon
- Le maître ne sait peut-être pas qu'elle y est.
- Au fait, cela fait longtemps que Mademoiselle n'est pas venue.
- Oui, ils on tout deux beaucoup changés.
- Tu crois que leur relation pourrais revenir comme quand ils étaient enfants ?
- Je ne sais pas, mais cela pourrais prendre une autre tournure...
- Hehe, tu a raison bro. (NDA : j'ai pas pu m'en empêcher) Mais le bruit court que le Chevalier Pissenlit s'intéresse à lui.
Ils se turent car ils remarquèrent le sujet de la discussion dans le couloir. Il se remirent à balayer précipitamment.
Diluc, consterné, continua son chemin. « Jean serait donc intéressé par moi... ou mon argent? »
Il n'entendus pas les deux hommes chuchoter derrière lui:
- Frère, je parie sur la chevalresse
- Et moi sur la demoiselle !
- Top là ! Si tu perds tu le dois un repas au bon Chasseur
- Même chose pour toi.

Diluc s'arrêta devant la porte du salon, balaya toute ses incertitudes et pris son habituel visage froid. Personne ne l'interdisait quoi que ce soit.
Et il entra.
Tout d'abord, il ne vit rien de spécial. La pièce décorée de manière assez chic et luxueuse toute en restant apaisante était normale (NDA : Pour lui). Un feu vif brûlait dans la cheminée. Il vit un empil'tout et un verre de jus de raisin sombre.
Il pris l'assiette et le verre et les posa sur une table, ronde, de taille moyenne, agrémentée de deux fauteuil à haut dossiers confortables. Enfin, normalement, car là seul un des deux fauteuil était présent. Il fronça brièvement les sourcils. Diluc allait s'assoir dans le seul restant quand il entendit un léger sanglot derrière lui. Il se retourna et vit...
Naina dans le fauteuil mis dans un coin sombre de la pièce. La Lalin avait ramené ses genoux contre elle et entouré ses bras autour. Ses ailes l'enveloppait partiellement de sorte, que dans l'obscurité du coin du salon, on ne la voyait presque pas. En regardant mieux Diluc vit qu'elle tremblait et que ses joues ruisselait de larmes. Les motifs argentés de ses plumes reflétaient la lueur dansante du feux. Sa mèche rouge luisait faiblement.
« Un cauchemar » compris le jeune homme.
Il connaissait mieux qu'il ne le voulait ces rêves ou l'on est coincé et que les situations aussi horrible qu'improbables se suivent et se superposent.
Diluc se perdit un moment dans la contemplation de l'Inazumienne, jusqu'à que quelques larmes coulent de ses yeux clos et dévalent ses joues pâles. Il alla s'accroupir devant elle.
Il inspira un coup avant de l'appeler doucement:
- Naina, Naina.
Lentement, la jeune fille émergea de son someil agitée et cligna lentement des yeux.
Perdue elle dit:
- Murata?
«  Hein? »
La Lalin promena son regard autour avant de murmurer:
- Diluc? Je suis désolée. Je ne m'était pas rendue compte que le someil m'avait pris. Je vais dans ma chambre.
Et elle se leva et se dirigea vers la porte, quand le jeune homme aux cheveux rouge se leva a son tour et posa sa main sur l'épaule de Naina.
Cette dernière s'arrêta dans un tressaillement.
- Oui? Fit- elle sans se retourner.
Diluc avait fait cela instinctivement, et mis donc un instant avant de déclarer, pour justifier ce geste:
- Je ne sais toujours pas quel métier vous faites.
Devant lui, les six ailes en plumes se serrèrent contre leur propriétaire. Et le viticulteur pu sentir les muscle des épaules de la jeune fille se crisper sous sa main. Il nota qu'ils étaient aussi dur qu'un mur de métal.
Sans se retourner, elle demanda:
- Voulez-vous vraiment le savoir?
- Oui.
Le son d'un soupir et d'un « Céleste toute-puissante. » murmuré lui parvient.
- Grand Archon. Voilà quelle est ma vie. C'elle d'un Grand Archon.
Les légende et les contenqui avaient bercé l'enfance de Diluc refirent surface.
Naina sorti laissant seul son hôte perdu dans la confusion la plus totale entremêlée de parole d'histoires.
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Bonsoir.
C'est celui que vous appelez « l'Iceberg».
L'auteur n'était pas sure de publier ce chapitre, mais finalement...
Le voilà.
N'hésitez pas à commenter pour proposer des idées.
A votre avis, que cédait comme cauchemar notre chère Naina?
Bon, j'ai a faire, bonne journée/après-midi/soirée, à vous.
- Diluc Ragvindr

Bonus;
les secrets de Teyvat:
Grand Archon: C'est un dieu de haut rang (les Archons sont des dieux majeurs), il consiste à gérer les problèmes des Archons et les disputes entre eux. Pour le devenir, il faut suivre des études que donne tous les Archons approuvant le candidat (six Archons pour Naina.). Au bout de cinq ans d'étude Non-stop, le candidat passe une « épreuve ». Ensuite, si l'Imperium de Celestia approuve cette épreuve et ses études, le candidat absorbe et entre en symbiose avec le Gnosis Originel (attention, il peu y avoir rejet!). Si il réussit, le candidat deviens Grand Archon, qui, comme tous les dieux de Haut Rang, on des appartements à Celestia, des serviteurs et leurs trésors. Aussi, le titre de Grand Archon est particulier; le personne ayant ce titre devient le chef du quartier des Archons (une zone non négligeable de Célestia). Notons aussi que le titre de Grand Archons possède le plus grand trésor de Teyvat , Célestia comprise. C'est le légendaire Trésor des Archons (NDA: qui fera sûrement le sujet d'un autre bonus, on ne se lasse jamais de vanter ses richesses.). Néanmoins, le Grand Archon ne détient pas l'autorité absolue. Au dessus de lui se dresse L'Impreium. Aussi, un Archon peu perdre son Gnosis. Cela est juste TRÈS douloureux. Un Grand Archon qui perd son Gnosis est en danger de mort. Plus l'affinité avec le Gnosis Originel est haute, moins il peu s'en passer. (Naina n'a pas une bonne affinité, donc elle peu s'en priver un mois et demi environ. Mais pas en parfaite santé. Quinte de toux puissante, insomnies ,maux, appétit instable et vomissements de sang sont le prix à payer de cette séparation.)

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