7h30 Ventlevé
Je me levait de la branche où j'étais endormi.
Le soleil était levé depuis un moment déjà. Après m'être étiré, je refus mes deux tresses sarcelles et me coiffa de mon béret.
Que vais-je faire aujourd'hui ?
Le vent me portait les rumeurs de la ville qui s'éveillait, et, plus ténue celle de Deauclaire et de la formidable réserve de vin qui ne m'appartient pas...
Quoi de mieux qu'un bon verre pour commencer une si belle journée ? Allons-y !

…⁠ᘛ⁠⁐̤⁠ᕐ⁠ᐷ

8h10 Domaine de l'Aurore
J'avais pris mon temps pour aller dans le « nid » de « l'aigle » et j'étais actuellement accroupi entre deux rang de pieds de vignes et observait le grand manoir de style mondstatois ancien a travers les grappes de gros raisins presque mûrs (nous sommes en août).
Tout en machant un grain un peu amer, je réfléchissait comment accéder à la cave.
- Mmh... en passant par le soupirail? J'ai tout essayé sinon... pourquoi pas, je suis assez fluet pour m'y glisser en toute sérénité.
J'attendis le moment propice pour accéder au soupirail.
Adelyne passe... allééé....
GO!
Je courus vers la petite fenêtre à ras le sol, et grâce à une forte pression de l'air, elle s'ouvrît.
D'une roulade controlée, j'atterris sur le sol de pierre de l'immense cave du Domaine de l'Aurore.
J'inspirait profondément. C'ette odeur si douce a mes narines, pleine de souvenirs.
L'odeur du vin au repos.
Je demabula tranquillement et silencieusement entre les pyramides de tonneaux et les étagères.
Les bouteilles prêtes à la consommation s'alignaient droites et immobiles. Telle une armée attendant la bataille dans l'ombre du matin.
A moi les bouteilles de vin!
Je te dis la main vers l'une d'entre elle. Et a peine avais-je effleuré le verre poussiéreux que j'entendis, non loin, la porte de la cave s'ouvrir dans un soupir huilé.
Ni une ni deux, je filait derrière une pile de tonneaux en attrapant au passage une bouteille d'une autre étagères.
Bien caché derrière les tonneaux vides, j'entendis des pas. En jetant un œil a traver deux des barils de chêne, je pu voir l'aigle du domaine, le propriétaire du manoir.
Diluc Ragnvidr.
Mais que fait-il?
Accroupis dans une zone degagée, il semblait fixer quelque chose que je ne pouvais voir. Et étrangement, un embryon de sourire attendris sourit sur ses lèvres.

Qu'est-ce pour faire sourire cet Iceberg ainsi?

La réponse vint a moi.
Le regard rouge mordoré du riche mondstatois glissa vers les tonneaux qui me cachaient. M'avais t'il vu?
En tout cas, une envie pressante et impérieuse d'éternuer me pris tandis que les larmes me montaient aux yeux.
Me retenant de toute mes force pour ne pas éternuer et échapper à la surveillance assidue de l'"Aigle" je me recrovilla en espérant passer inaperçu.
Peine perdue.
Mon éternuement résonna dans toute la cave. Un court silence s'ensuivit rapidement brisé par les pas de Maître Diluc.
Dans un raclement, l'un des tonneaux de chêne massif qui me cachait fut déplacé.
Mais je n'attendis pas que l'on m'attrape. Je filais déjà par le soupirail, une bouteille en main.

Une fois bien loin du manoir, je pu enfin m'arrêter et reprendre mon souffle.
Fier de moi, je regardais la bouteille que j'avais prise et me rendis compte qu'elle était plus légère que ce que je connaissais d'habitude.
Je l'ouvris et bu une gorgée.
Enfin tenta de voir une gorgée.
La bouteille était aussi vide qu'un tonneau au petit matin après une nuit de breuverie.

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Je pris doucement dans mes bras le petit chaton qui miaulait tristement quand ce qui l'avait interessé avait honteusement filé.
La petite boule de poile grise perle enfoui son museau dans mes cheveux rouge. Peut-être appréciait t'elle leurs douceur ?
Bien qu'ayant vu le barde voleur de vin s'enfuir par le soupirail, je fis tout de même un tour dans ma cave et caressant la jeune chatte qui était logée dans mes bras.
Je finis par l'arrêter devant le soupirail resté ouvert, essayant d'imaginer le prochain coup que pondrais ce barde étrange.
D'un coup sec je referais la petite fenêtre.
Mis à part le doux ronronnement du félin et le bruit d mes pas, nul bruits ne venait troubler le repos de l'or rouge qui dormais dans mes tonneaux.
Je m'en retournis alors, refermant la porte derrière moi, a mon travail et il ne fut plus question de vin de vin de la journée.
Mis j'étais sur de retrouver ce soir, avachis sur le bar, Venti et ce stupide Kaeya, qui jouerons à boire a qui mieux mieux, choquant pour trinquer leurs verres aussi rudement qu'oncque leurs armes chevaliers en lice.
Je reposa au sol le chaton gris qui me gratifia d'un miaulements réprobateur et s'en fut quémander des caresses autre part.

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Bonsoir, Bonjour.
A toutes et à tous qui lisent et ont lu le début de cette fanfiction.
Je tiens d'abord à m'excuser pour cette si longue absence.
J'ai décidé, bien que l'histoire possédait déjà 18 chapitres prêts, d'arrêter ici mon écriture par ce que ma vision du jeu a changé et que je trouve l'histoire sans enjeux ni aventure vraiment palpitante.
Peut-être aurais-je un jour le courage de la réécrire?
Quoi qu'il en soit je vous invite fortement à me faire part de vos impressions dans les commentaires, cela me donnera peut-être des idées?
J'ai récit cette petite nouvelle pour vous divertir et j'espère que vous l'apprécierez. (Ce chapitre est selon moi le meilleur de tout ce qui est publié ici.)

Bonne vie a tous et que vous puissiez connaître la paix et le bonheur qui vous reviens de droit.

-- Naina1616